Chauve-souris du PMC : lumière sur une triple boulette

Un article paru le 11 février 2013, sur rue89 Strasbourg, revient sur les « boulettes » faites dans ce dossier, qui auraient pu éviter le dérangement d’espèces protégées…
« Mais ce sont les chauve-souris retrouvées dans un arbre abattu au PMC qui devraient le plus occuper nos élus. Explications sur cette triple boulette avant de suivre les débats. »
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Près de 500 chauves-souris découvertes dans un arbre abattu à Strasbourg

Une colonie de près de 500 chauves-souris a été découverte, lors de l’abattage d’un arbre centenaire à Strasbourg. Des bénévoles de la LPO ont repêché  une grande partie des chiroptères pour les mettre à l’abri du froid et les nourrir (car ayant été réveillées pendant leur hibernation, la grande majorité d’entre-elles sont trop faibles pour s’en sortir…).
Des discussions sont en cours pour savoir si  la Ville de Strasbourg aurait pu éviter ce dérangement d’espèces protégées, et si elle participera financièrement à la prise en charge des soins apportés aux chauves-souris par les associations.
 
Voir l’article des DNA paru le 22 janvier 2013
 
Voir l’article de Rue89 Strasbourg à ce sujet paru le 23 janvier 2013
 
 

Grand Hamster – Sept associations font des propositions

Suite à la conférence de presse tenue le 11 décembre par Alsace Nature et les associations alsaciennes concernées par le Grand Hamster, les DNA ont publié l’article suivant :
« Sept associations de protection de la nature (*) ont décidé d’unir leurs forces de proposition pour définir une stratégie globale de protection du hamster.
L E CONSTAT : en 1993 il n’y avait plus guère que 150 communes en Alsace qui abritaient encore des grands hamsters. L’animal était déjà en voie de disparition et décrochait le peu enviable statut d’animal protégé. Aujourd’hui, ces communes se limitent à 18, pour l’essentiel à l’ouest de Strasbourg, dont 9 comptabilisent moins de cinq terriers sur leur territoire… En tout et pour tout, les hamsters communs ne seraient plus que 309 à vivre à l’état sauvage.
LES CAUSES : l’agriculture intensive et plus particulièrement la maïsiculture, ainsi que l’étalement urbain qui privent le hamster de son habitat naturel (champs de céréales d’hiver ou luzerne sur sol loessique).
LES RESPONSABILITÉS selon les associations de protection de la nature : « L’État, qui a trop tardé à prendre la mesure des enjeux et qui n’a pas su travailler en bonne intelligence avec les acteurs locaux, les collectivités territoriales qui continuent d’aménager et le monde agricole qui, malgré des efforts qu’il faut bien reconnaître, persiste dans des pratiques intensives destructrices de biodiversité », détaille Maurice Wintz, président d’Alsace Nature.
[…] (*) Alsace Nature, GEPMA (groupe d’étude et de protection des mammifères d’Alsace), Sauvegarde Faune Sauvage, CERPEA (centre d’études et de recherches pour la protection de l’environnement en Alsace), Association Nature Ried, APELE (association pour la protection de l’environnement de Lingolsheim et environs) et SOS Grand hamster d’Alsace. »

DOSSIER DE PRESSE
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Article de presse : AG d'Alsace Nature Bas-Rhin / Nature en ville et respect dans le débat

La section Bas-Rhinoise d’Alsace Nature était réunie samedi 1er décembre pour son assemblée générale annuelle.
Les débats qui ont suivi l’adoption des rapports présentant le bilan des actions de l’année écoulée (2011), portaient sur   » La nature en ville » et le respect des associations dans le débat citoyen.
 Voir l’article des DNA à ce sujet