Wihr-au-Val Terres Durables : Rassemblement le samedi 14 janvier 2023 !

Wihr-au-Val Terres Durables : Rassemblement le samedi 14 janvier 2023 !

Le collectif Wihr-au-Val Terres Durables et Alsace Nature vous invitent à :

RASSEMBLEMENT le SAMEDI 14 JANVIER 2023 – 14h00

à WIHR-AU-VAL, place des Ecoles

pour rappeler notre opposition au projet de lotissement sur 5,8 ha dans une zone à fort intérêt écologique.

VENEZ NOMBREUX !

 

Ce projet aurait non seulement un impact sur les jardins situés en périphérie du village mais menacerait de nombreuses espèces protégées.

Alertée par des habitants du village, Alsace Nature a adressé des courriers au maire et au préfet du haut-Rhin pour demander que le projet soit réexaminé, eu égard à l’intérêt écologique du secteur concerné. Nous avons également demandé que le PLU soit modifié pour que le site soit inscrit en zone non urbanisable et que ce projet de lotissement soit stoppé en attendant l’étude éventuelle d’un autre emplacement.

Voir le courrier d’Alsace Nature au préfet du Haut-Rhin, le 22 novembre 2022.

 

Images prises lors d’un précédent rassemblement en août 2022 :

[Biodiversité] Chantier de plantations de haies à Bischheim

[Biodiversité] Chantier de plantations de haies à Bischheim

Dans le cadre de notre partenariat avec la commune de Bischheim sur la renaturation de la Trame Verte et Bleue, Alsace Nature a organisé les 25 et 26 novembre 2022, un chantier participatif.

Le chantier, qui s’est déroulé sur deux journées, a mobilisé une vingtaine bénévoles, 5 personnes du Conseil municipal de Bischheim et 4 agents des services techniques de la ville, tous motivés pour planter cette haie champêtre.

Au total, un joli linéaire de 220 mètres a été planté avec une haie à 3 rangs, bénéfique à la biodiversité.

Cette haie offrira à maturité, un couloir de migration, une zone de refuge, de nourriture et d’accueil pour la faune et la flore.

Au total, une douzaine d’espèces différentes de végétaux (tous d’origine locale) ont été plantées offrant de nombreuses fleurs, baies et fruits à la faune locale :
Aubépine à un style (Crataegus monogyna)
Nerprun purgatif (Rhamnus cathartica)
Noisetier (Corylus avellana)
Pommier sauvage (Malus sylvestris)
Prunellier (Prunus spinosa)
Sureau noir (Sambucus nigra)
Baguenaudier (Colutea arborescens)
Cornouiller sanguin (Cornus sanguinea)
Eglantier (Rosa canina)
Epine-vinette (Berberis vulgaris)
Fusain d’Europe (Euonimus europeaeus)
Troène commun (Ligustrum vulgare)
Viorne lantane (Viburnum lantana)

Liépvrette : chantier création de mare à Sainte-Marie-aux-Mines

Liépvrette : chantier création de mare à Sainte-Marie-aux-Mines

L’association BUFO et le groupe local d’Alsace Nature ont organisé ce 19 novembre 2022, un chantier de création de mares sur la commune de Sainte-Marie aux Mines.

Munis de leurs bottes, leurs gants, leur pelle ou leur pioche, 8 bénévoles motivés, encadrés par Nicolas Roser de BUFO, ont participé au chantier, malgré la météo un peu humide.

Il s’agissait de restaurer une mare forestière destinée à accueillir la petite faune aquatique et à sensibiliser les promeneurs à la biodiversité. Deux mares ont été creusées en faveur des amphibiens présents dans la vallée (Crapaud commun, Grenouille agile, Salamandre tachetée, Triton alpestre et Triton palmé)

 

Enquête publique sur le projet de révision du plan de sauvegarde et de mise en valeur de Strasbourg

Enquête publique sur le projet de révision du plan de sauvegarde et de mise en valeur de Strasbourg

 

Dans le cadre de l’enquête publique prescrite sur le projet de révision et extension de plan de sauvegarde et de mise en valeur de Strasbourg (PSMV), le groupe local d’Alsace Nature a transmis, le 18 novembre 2022, ses remarques au commissaire enquêteur.

Tout d’abord, nous avons relevé que la promotion de la nature en ville qui s’inscrit dans la lutte contre les îlots de chaleur, et dans la reconquête de la biodiversité en ville est une réelle plusvalue apportée dans ce document du PSMV, et que l’OAP « nature en ville » prolonge la Trame verte et bleue au cœur de Strasbourg par le maintien des continuités écologiques identifiées dans le PLUi de l’Eurométropole de Strasbourg.

Nous avons insisté sur la prise en compte de la reconquête de la biodiversité dans certaines zones particulières, telles que :

  • la place de Haguenau – en la reconnectant avec le parc de l’Aar – en repensant le statut des parking autour de la place (désimperméabilisassions), végétalisation et en densifiant la végétation (rue Jacques Kablé, rue Adèle Riton, parking place de Haguenau).
  • la place saint Pierre – en procédant à une déminéralisation du secteur et en favorisant la végétalisation
  • OAP Université – en réaffirmant au cœur de la ville la fonction écologique du parc (préservation du patrimoine végétal) et en transcrivant dans les documents d’urbanisme l’interdiction de toute nouvelle construction.

Cliquez ici pour en savoir plus

Monsieur le Commissaire Enquêteur,

Nous vous faisons part de nos observations concernant le projet de révision et extension de plan de sauvegarde et de mise en valeur de Strasbourg, mis à l’enquête publique.

La promotion de la nature en ville qui s’inscrit dans la lutte contre les îlots de chaleur, et dans la reconquête de la biodiversité en ville est une réelle plus- value apportée dans ce document du PSMV.

L’OAP « nature en ville » prolonge la Trame verte et bleue au cœur de Strasbourg par le maintien des continuités écologiques identifiées dans le PLUi de l’Eurométropole de Strasbourg. Elle encourage la création d’espaces verts, et valorise les cours d’eau et leurs ripisylves. Dans la Neustadt, les jardins typiques sont protégés par le règlement en vue de conserver l’aspect contribue de quartier-parc. Dans la Grande-Île, les secteurs de renforcement du végétal sont identifiés ainsi que les groupes d’arbres à préserver.

Parmi les différentes OAP sectorielles de sauvegarde, la place de Haguenau mérite une attention particulière. En effet, outre cette OAP, d’autres projets de l’EMS (parc métropolitain, tramway nord, valorisation des entrées de ville) entrent en résonance. Nous souhaitons rappeler quelques principes même s’il apparaît à la lecture du dossier soumis à l’EP que ces éléments sont largement considérés.

I. OAP Place de Haguenau :

Trame verte et bleue

Le premier élément à prendre en compte c’est la requalification vers l’état naturel des berges de l’Aar (débétonisation des berges). Recréer des ripisylves compatible avec la nécessité de reconquête de la biodiversité.

Connecter le parc avec l’Aar et profiter de la présence de l’Aar pour créer une diversité de milieu dans le parc pour avoir une trame bleue latérale à l’Aar (par exemple: roselière en bordure de parc, végétalisation des berges avec des espèces locales, création de ripisylve, …). La proximité d’un tel cours est une opportunité à saisir. L’Aar est un corridor identifié dans le SRADDET (caractérisé avec un état fonctionnel « Satisfait » et des Enjeux « À préserver ». Les espèces cibles de ce corridor sont l’agrion de Mercure (une demoiselle) et l’Hypolaïs polyglotte (un passereau).

Élargir l’espace parc public en repoussant les limites au-delà de la première couronne d’arbres. Créer une couronne végétale entre la route et les immeubles dans le prolongement de ce qui existe déjà. Conserver tous les arbres (intérêt tant patrimonial que naturel) Faire de la place de Haguenau un lieu perméable à la faune.

Réfléchir à comment organiser le fonctionnement routier de cette place pour que sa fonction de trame verte urbaine soit efficiente.

 

Une place pour la biodiversité

Augmenter de façon générale la place réservés pour des haies vives (autour zone canine, autour de la place…), favorables à la biodiversité.

Améliorer les stratifications végétales de la place. Il y a beaucoup d’arbres actuellement. La présence d’arbustes et de buissons locaux favoriserait une plus grande diversité d’espèces.

Renaturation écologique du bassin (zone humide). Création de noue avec la possibilité de récupération d’eau de pluie.

Imaginer une variété de zones favorables (humides, sèche) aux insectes et autres pollinisateurs.

Promouvoir une gestion différenciée des zones herbeuses. Laisser des zones où la strate végétale peut être gérée de manière différente, pour favoriser la présence d’insectes. Éventuellement faucher le premier mètre le long des chemins mais laisser les cœurs des zones enherbées pousser librement .

 

Traiter la pollution sonore

L’enjeu est de limiter tant l’impact sonore du au trafic routier.

  • Apporter des solutions pour réduire la circulation (Place,A355,A35).
  • Requalification des autoroutes dans le cadre du” parc métropolitain”
  • Jouer avec le végétal pour faire obstacle aux bruits générés par la circulation routière. (buttes support à une haie vive…).

 

Traiter la pollution lumineuse

  • Aménagement lumineux avec un impact faible voir neutre sur la biodiversité. (Tant au niveau de l’Aar que du parc).

 

II. Zones à requalifier : place saint Pierre

Si la suppression du parking n’est pas possible, une opération de déminéralisation de la place semble être en accord avec les enjeux environnementaux.

Dans les avenues : Déminéraliser au maximum entre les pieds d’arbre, augmenter l’apport en eau lors de pluie..

Redonner de la place au végétal quand c’est possible et préserver les arbres déjà présents.

 

En zone proche de l’OAP

Repenser le statut des parking autour de la place (désimperméabilisassions), végétalisation

Densifier la végétation (rue Jacques Kablé, rue Adèle Riton, parking place de Haguenau).

 

 OAP Université

Réaffirmer au cœur de la ville la fonction écologique du parc et préserver le patrimoine végétal. Transcrire dans les doc urbanisme l’interdiction de toute nouvelle construction.

 

OAP sectorielles de mise en valeur et OAP sectorielles de renouvellement urbain.

Pas plus de commentaire sur les différentes nous considérons en effet que l’esprit du documents est cohérent avec les enjeux qui sont aujourd’hui bien identifiés et compris.

 

Pour en savoir + : https://www.strasbourg.eu/plan-sauvegarde-mise-en-valeur-psmv

 

Enquête sur le hérisson étendue au niveau national

Enquête sur le hérisson étendue au niveau national

 

Symbole historique du mouvement France Nature Environnement dont Alsace Nature fait partie, le hérisson d’Europe nous accompagne dans tous nos combats depuis 1968. Protégé depuis 1981, il reste toutefois relativement méconnu. Face à ce constat, une vaste opération de recensement au niveau national s’est mise en place pour mieux connaître et mieux protéger ce petit mammifère. Aujourd’hui, c’est l’ensemble de la fédération qui se met au service de son animal totem.

Pourquoi lancer un recensement participatif du hérisson d’Europe ?

Le hérisson bénéficie d’un fort capital de sympathie populaire, mais s’il peut sembler familier, on connaît en réalité bien peu de choses sur lui : quelle est l’abondance réelle de sa population ? Comment évolue-t-elle ? Quels peuvent être les effets du dérèglement climatique et des activités humaines sur son activité ? Autant de questions pour l’instant sans réponse qui incitent à mener l’enquête.

Et le meilleur moyen d’obtenir des données nombreuses, c’est de faire appel à toutes les bonnes volontés, partout en France ! Sur les routes, en forêt ou dans le jardin, il n’est pas rare –dans certaines régions du moins– de voir un hérisson, vivant ou mort. Chaque signalement peut fournir des renseignements précieux aux scientifiques. Chacun, chacune peut ainsi contribuer, à son échelle, à la constitution d’une vaste base de données qui permettra de mieux connaître ce petit mammifère, et donc de mieux le protéger.

Comment créer un environnement propice au hérisson ?

Le hérisson est un allié précieux pour qui cultive son jardin, puisqu’il vous débarrassera des limaces, chenilles et autres insectes qui pourraient menacer votre potager. Si vous voulez avoir la chance d’en voir un s’installer dans votre jardin, créez un environnement favorable :

  • N’utilisez pas de produits toxiques tels que les anti-limaces, qui risqueraient de l’empoisonner ;
  • Favorisez son installation en préservant des recoins sauvages dans votre jardin (buisson, tas de feuilles ou de branchages…), en construisant ou en achetant un petit abri en bois ;
  • Mettez à disposition une gamelle d’eau, notamment en période de sécheresse.

Et si un hérisson s’installe bel et bien, laissez-le faire sa vie sans le déranger et prenez soin de vérifier qu’il n’est pas dans les parages avant de déplacer un tas de feuilles ou de débroussailler une parcelle !

Comment participer à l’opération de recensement ?

 

C’est très simple : si vous voyez un hérisson, il vous suffit de le prendre en photo ou en vidéo et de renseigner votre observation ici.

Le hérisson étant un animal nocturne, il n’est pas normal de le croiser pendant la journée. Toutefois, si vous n’êtes pas noctambule, des indices peuvent vous permettre de détecter sa présence : empreintes, crottes, nids… Pour en savoir plus sur le hérisson et apprendre à identifier ces indices, rendez-vous sur le site de FNE 25 !

Je participe à l’opération

Attention : le Hérisson d’Europe est une espèce protégée, qui bénéficie d’un statut de protection réglementé. Sont interdits par la loi : la destruction ou l’enlèvement des nids, la mutilation, la destruction, la capture, le transport, la détention, la vente ou l’achat (sauf spécimen légalement détenu) de l’animal (article L. 411-1 du code de l’environnement).

Crédit photo (en-tête) : Baumann, FNE 25-90 (Étouvans, 21 juillet 2019)

[Revue de presse] Grand Hamster : plus de terriers mais une hausse artificielle

[Revue de presse] Grand Hamster : plus de terriers mais une hausse artificielle

Les chiffres des comptages des terriers de grands hamsters réalisés au printemps dernier ont été publiés fin août 2022. D’après l’Office Français de la Biodiversité, 960 terriers ont été identifiés, contre 488 l’année dernière, sur 24 communes du Bas-Rhin et du Haut-Rhin.

Même si ce résultat est jugé encourageant par les services de l’Etat, cela montre aussi que les effectifs de cricetus cricetus « restent encore fragiles et en deçà du seuil de viabilité ». Les associations de protection de la nature estiment également que leur habitat ne devrait pas être limité à quelques îlots protégés mais qu’ils puissent vivre sur tout leur territoire historique et s’approcher au maximum de leur fonctionnement naturel.

 

Le grand hamster d’Alsace (ou Hamster d’Europe) fait partie des espèces menacées d’extinction, une bonne partie de la population actuelle est liée aux lâchers pratiqués depuis quelques années.

L’aire de répartition de l’espèce est en baisse de 94 % en France – où l’espèce se limite désormais à l’Alsace – et de plus de 75 % en Europe de l’Est, notamment en Ukraine et en Russie. Si rien n’est fait, le hamster d’Europe disparaîtra d’ici trois décennies, selon l’UICN.

Maurice Wintz, administrateur d’Alsace nature, avait participé aux négociations avec l’Etat lors des premiers plans d’action, dans le cadre du plan national hamster. Il rappelle que « Cette espèce vit naturellement dans les steppes, mais chez nous elle est inféodée à l’activité humaine et agricole en particulier. » Or, depuis les années 1960, les populations de Grand Hamster n’ont cessé de diminuer, jusqu’à atteindre un seuil critique pour la survie de l’espèce. « Si on veut préserver l’espèce, il faut planter de la luzerne, du blé, de l’orge, des oignons, de la betterave (les agriculteurs sont soutenus financièrement pour cela) dans des zones où les terres sont en loess, soit idéales pour creuser des terriers. »

« Leur survie dépend du biotope » explique Maurice Wintz, « on sait que plus les parcelles sont petites, avec des cultures variées, mieux ils arrivent à se reproduire. Mais quand les parcelles agricoles sont grandes et couvertes de monocultures, ils n’arrivent pas à se maintenir tous seuls. Et quand le système agricole et les politiques d’urbanisme défavorables se conjuguent, en grignotant des terres qui constituent l’habitat des hamsters, les populations sont en régression.

Le Grand Hamster est protégé par la directive européenne Habitats-Faune-Flore de 1992.  L’Etat français avait été plusieurs fois rappelé à l’ordre par la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) qui avait condamné la France pour ne pas avoir pris de mesures suffisantes pour protéger le grand hamster d’Alsace, un des mammifères les plus menacés d’Europe.

C’est pourquoi, l’Etat a lancé un plan national d’actions (PNA) en faveur du Grand Hamster, piloté par l’Office Français de la Biodiversité (OFB) avec plusieurs partenaires institutionnels et associatifs. Les lâchers effectués régulièrement font partie de ce plan d’actions. Au total, 404 individus ont ainsi été relâchés cette année dans le cadre du PNA, selon des données fournies par la Dréal Grand Est. 180 avaient été relâchés par Vinci Autoroutes dans le cadre des mesures « compensatoires » liées à la construction du Grand Contournement Ouest de Strasbourg. 

« Ces bons chiffres viennent de ces lâchers de plus en plus importants », tempère Stéphane Giraud, directeur de l’association Alsace Nature, qui dénonce une hausse « artificielle des effectifs ». « Quand on est obligé de protéger des prédateurs les lâchers de grands hamsters par des clôtures, ou de laisser pourrir du blé sur pied pour qu’ils se nourrissent, ce n’est plus vraiment une espèce sauvage ».

 

Selon l’OFB L’aire de répartition du Grand Hamster est aujourd’hui circonscrite à 2800 hectares, répartis sur 39 communes des deux départements alsaciens.

En Alsace, les naturalistes regrettent que l’Etat n’ouvre pas la protection du grand hamster à tout le territoire. A leur avis, il faudrait qu’il soit toléré au-delà des communes actuelles.

Atteindre les 1500 individus permettrait à la France de répondre à l’objectif imposé par l’Europe. 1500 étant le nombre estimé nécessaire à la survie de l’espèce. « Mais » précise le directeur d’Alsace Nature, Stéphane Giraud, « il faudrait que les 1500 individus vivent dans une même zone, en interaction entre eux, et non pas séparés comme actuellement en trois sous-populations, qui ne sont pas connectées entre elles. Cela montre toute l’ampleur du travail qui reste à mener. » 

Maurice Wintz, pose la question : »Est-ce qu’on fait en sorte que les hamsters soient en mesure de se reproduire naturellement ou est-ce qu’on se limite aux lâchers ? »

L’idéal serait que les hamsters puissent vivre sur tout leur territoire historique et s’approcher au maximum de leur fonctionnement naturel. Engager des mesures favorables sur un territoire plus vaste constituerait une dynamique positive pour la biodiversité, favorable également aux autres espèces. Le Grand Hamster est en effet une espèce dite « parapluie » : sa bonne ou mauvaise santé reflète la situation des autres espèces évoluant dans le même habitat naturel.

 

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