[Pétition] 6 mesures d’urgence pour protéger les animaux d’élevage lors du transport par fortes chaleurs

[Pétition] 6 mesures d’urgence pour protéger les animaux d’élevage lors du transport par fortes chaleurs

© Rony Zmiri/amoghdesign

Alsace Nature soutient l’association Welfarm qui a publié des recommandations relatives à l’élevage et au transport d’animaux en période de fortes chaleurs dans le cadre de sa campagne « Chaud Dedans ! ». Retrouvez dans cet article 6 mesures d’urgence à mettre en œuvre lors du transport d’animaux par fortes chaleurs.

Le changement climatique fait peser d’importantes menaces sur le bien-être des animaux d’élevage. Au-delà d’une certaine température, les animaux souffrent en effet de stress thermique, ce qui a des conséquences sur leur physiologie, leur santé, leurs comportements et leurs performances zootechniques. Pire encore, les fortes chaleurs entraînent d’importantes mortalités, dans les élevages où les animaux sont maintenus à de fortes densités et lors de leur transport.
 
Partant de ce constat, Welfarm demande, dans le cadre de sa campagne « Chaud Dedans ! », que l’adaptation des activités humaines au changement climatique concerne aussi les animaux d’élevage. L’association a ainsi formulé une série de recommandations destinées à réduire les souffrances des animaux lors de l’élevage et du transport.

 
 

Retrouvez ci-dessous 6 mesures d’urgence à prendre en cas de transport d’animaux par fortes chaleurs.

1. Vérifier la disponibilité en eau, l’adaptation et le bon fonctionnement du système d’abreuvement.

2. Réduire les densités de chargement, veiller à la bonne répartition des animaux dans le camion afin de faciliter la circulation de l’air et s’assurer qu’un espace suffisant soit présent entre le toit et la tête des animaux pour leur permettre de respirer convenablement.

3. Charger et décharger les animaux sans délai en évitant tout arrêt ou retard inutile.

4. Éviter les trajets en milieu de journée : Pendant les transports, les animaux terrestres peuvent être en souffrance avant d’atteindre le seuil règlementaire des 30 °C, notamment lorsque l’humidité de l’air est importante.

5. Lors des pauses, brumiser les animaux, en particulier pour les porcs et éventuellement les bovins, caprins et ovins (agneaux ; pour les adultes, uniquement s’ils sont tondus) avec de l’eau fraîche avant que le camion ne reparte.

6. Adapter les heures d’abattage pour éviter les transports aux moments les plus chauds de la journée.

Une pétition est en ligne pour demander au Gouvernement de prendre des mesures ambitieuses pour transformer les conditions d’élevage et de transport des animaux.

 

 

ALSACE NATURE ET WELFARM SERONT

jeudi 3 août 11h-18h  place Kléber à STRASBOURG, 

POUR FAIRE SIGNER LA PETITION

VENEZ NOUS REJOINDRE !

Stocamine : pour sauver la nappe phréatique, aidez-nous à financer une contre-expertise scientifique !

Stocamine : pour sauver la nappe phréatique, aidez-nous à financer une contre-expertise scientifique !

LA « POUBELLE » STOCAMINE

TOUTE DERNIERE CHANCE pour sauver l’eau de la nappe phréatique alsacienne

Il y a urgence ! Suite à de nombreuses péripéties dans ce dossier très sensible, la stratégie juridique de nos associations repose sur l’obtention d’une contre-expertise scientifique très couteuse, mais nécessaire pour assurer une victoire définitive en Cour d’appel (voir détails ci-dessous).

Merci infiniment aux premiers contributeurs qui nous ont permis d’atteindre en un week-end près de 10 % du financement nécessaire à la poursuite de cette action ! Mais ce n’est pas suffisant, nous avons besoin de vous pour y arriver, vous pouvez également mobiliser vos proches.

Je participe aussi au financement*

 

Stocamine vous connaissez ?

  • Stocamine est une entreprise de stockage de déchets hautement toxiques (amiante, mercure, chrome, arsenic, cyanure…) à Wittelsheim.
  • 42 000 tonnes de ces déchets sont stockés sous terre et mettent en danger toute la nappe phréatique rhénane, qui alimente en eau potable 7 millions de personnes !
  • La seule solution responsable est le déstockage de ces déchets, or l’Etat s’entête à vouloir les confiner définitivement
Pour en savoir plus sur Stocamine et le collectif d’opposants

 

 

 

 

Les derniers faits en date

Alors que le Tribunal Administratif de Strasbourg a donné raison à Alsace Nature en janvier 2023, en annulant partiellement l’arrêté préfectoral qui autorisait des travaux préparatoires à un enfouissement des déchets toxiques (voir infos ICI), le préfet du Haut-Rhin a rédigé un nouvel arrêté dont l’objectif est le stockage des déchets pour une durée illimitée. Ce projet d’arrêté a fait l’objet d’une enquête publique.

Le 26 juin dernier, les commissaires enquêteurs ont donné un avis favorable à l’enfouissement des déchets contre l’immense majorité (98%) des 1571 contributions qui exprimaient un avis défavorable. Une fois de plus on ne tient pas compte de l’opinion des citoyens, ni des risques avérés de pollution de la nappe phréatique alsacienne et rhénane.

En effet, les seuls rapports existants recommandent d’enfouir les déchets toxiques définitivement, or ils sont directement commandités par l’Etat et MDPA-Stocamine à des bureaux d’étude étroitement liés.

 

Nous demandons donc à pouvoir mener une contre-expertise,
réalisée par des experts indépendants.

Or nos associations n’ont pas les moyens de payer seules cette nouvelle étude et nous devons faire appel à la contribution financière du public pour y arriver ! Cette contre-expertise devra être opposable avant la parution de l’arrêté préfectoral prévu en septembre, d’où l’urgence à se mobiliser.

JE VEUX SAUVER NOTRE EAU, JE PARTICIPE AU FINANCEMENT*

 

 

Pour aller plus loin

L’enfouissement coûte que coûte ? Une épopée juridique…

Suite à la première victoire juridique d’Alsace Nature en octobre 2021, annulant l’enfouissement définitif, l’État a d’abord tout tenté pour construire le coffrage en béton (rendant irréversible le stockage des déchets), malgré cette décision de justice :
  • de façon légale : il s’est pourvu en cassation. Le Conseil d’État l’a débouté, renforçant encore le point de vue défendu par nos associations
  • de façon bien moins éthique : il a tenté de faire passer un amendement au sein de la loi de finances pour permettre l’enfouissement définitif sans devoir re-déposer un dossier de demande d’autorisation. Le Conseil Constitutionnel l’a déclaré inconstitutionnel
  • de façon détournée : il a fait passer un décret pour supprimer l’obligation de recourir à une tierce expertise. Alsace Nature a contesté ce Décret devant le Conseil d’État, procédure toujours en cours
  • de façon subtile : il a tenté de faire procéder aux travaux de confinement au nom de « mesures conservatoires » par un arrêté préfectoral de janvier 2022. Alsace Nature a fait suspendre en mai, puis annuler en novembre cet arrêté, stoppant les travaux
  • de façon entêtée, malgré la suspension des travaux, l’État a voulu au moins couler les 3 premiers barrages de confinement : Alsace Nature a obtenu qu’il en soit débouté par jugement du mois d’août 2022

Malgré tous ces jugements en faveur du déconfinement : l’Etat tente encore de passer en force ! Sans le rapport de contre-expertise, toutes ces démonstrations n’auront servi à rien : Mobilisons-nous pour l’obtenir !

 

 

 


* Un don de 100 € ne vous coûte que 33 € !

Les dons pour cette campagne sont fiscalement déductibles de 66% pour les particuliers.
Vous pouvez également répondre à l’appel à don par chèque, à l’ordre d’Alsace Nature (8, rue Adèle Riton 67000 Strasbourg). 

[Communiqué de presse] Appel à agir : moins de bruit et de pollution pour tous et un juste partage des nuisances à l’aéroport binational Bâle/Mulhouse

[Communiqué de presse] Appel à agir : moins de bruit et de pollution pour tous et un juste partage des nuisances à l’aéroport binational Bâle/Mulhouse

Ce 6 juillet 2023, l’Association de Défense des Riverains de l’Aéroport Bâle-Mulhouse (ADRA) ainsi que leurs homologies allemands (BISF) interpellent, via un communiqué de presse,  les décideurs politiques et économiques à Berne et Paris, ainsi que les instances régionales et locales, pour qu’ils prennent des mesures concrètes et rapides pour limiter les nuisances liées au trafic aérien dans le secteur des Trois frontières.

Plusieurs associations, dont ALSACE NATURE, sont signataires de ce communiqué.

 

Mesdames, Messieurs,
Pendant des années l’aéroport de Bâle-Mulhouse a développé ses activités de transport low-cost (tourisme de masse) et de fret (cargos bruyants et nocturnes) entraînant un fort impact pour la santé des populations (bruit et pollution de l’air), ainsi qu’une accélération du changement climatique, de l’artificialisation des sols et de la pollution lumineuse.
L’aéroport étant implanté sur territoire français et la Suisse prenant au fil du temps des mesures de protection contre son survol, les nuisances aéroportuaires ont augmenté de façon disproportionnée en France et en Allemagne.
Au vu de l’impact sanitaire, social et environnemental, il est temps, que les responsables s’engagent à réduire le trafic et veillent à un juste partage des nuisances.

Alors que le monde entier s’engage sur des accords sur le climat, que l’Europe a un plan pour la transition, que la France et la Suisse légifèrent (Loi Climat Net Zero 2050), l’aéroport vise le retour au trafic de 2019 (100.000 mouvements et 9,1 millions de passagers).
Le transport aérien est le seul secteur des transports qui n’a pas réduit ses émissions de gaz à effet de serre. D’ailleurs le Canton de Bâle-Ville n’intègre pas le CO2 engendré par les activités économiques suisses de son aéroport dans son bilan carbone (Net Zéro 2037).
Il en va de-même du bruit et de la pollution, qui ont augmenté avec la croissance du trafic. Bien que de nombreuses études internationales aient démontré l’impact sanitaire sur la population (maladies cardio-vasculaires, diabète, maladies respiratoires, diminution de l’espérance de vie en bonne santé, dégradation du cadre de vie), les mesures réglementaires sont mises en œuvre avec retard, elles sont insuffisantes et inefficaces (PPBE).

Pour changer le cours des choses et pour répondre à l’urgence de la situation, il faut analyser et traiter les nuisances globalement et à la source. Des mesurettes à la marge, des modifications de détail et l’attente de progrès techniques irréalistes et inappropriés ne sauront régler le problème. A cela s’ajoute le report inconvenant et égoïste des nuisances sur les voisins*.
Car le bruit ne s’arrête pas aux riverains directs de l’aéroport, mais est ressenti jusqu’à 20-30km.
La pollution aux particules ultrafines, PUF, est mesurable à 40 km, les gaz à effet de serre touchent l’ensemble de la planète.

Nous interpellons les décideurs politiques et économiques à Berne et Paris, ainsi que les instances régionales et locales, afin qu’ils prennent leurs responsabilités et protègent l’ensemble des populations des 3 Frontières. Mesdames, Messieurs, pensez aussi aux générations qui montent et celles qui viendront après nous. Par vos comportements et le manque de décisions vous hypothéquez leur avenir.

Nous, ADRA et BISF, vous demandons de prendre sans tarder des mesures :
● Pour le respect strict du repos nocturne de 23 à 6 heures,
● Pour la réduction du trafic pour préserver la santé des populations et lutter contre le changement climatique,
● Pour des trajectoires moins bruyantes et polluantes et un juste partage des nuisances,
● Pour un moratoire sur la Nouvelle Liaison Ferroviaire et sur l’extension de l’aéroport.
En bref, nous exigeons moins d’avions pour plus d’AVENIR !

Bruno Wollenschneider
Président
ADRA – www.adra-bale-mulhouse.fr

Jürgen Fingerle
Vorsitzender
Bürgerinitiative Südbadische
Flughafenanrainer BISF e.V.

Texte du communiqué en Français et en Allemand en version pdf

 

Signataires / Unterzeichner :

actif-trafiC / umverkehR, association écologiste pour des transports durables, CH
Alsace Nature
Bundesvereinigung gegen Fluglärm e.V.
Dr. Christine Magendie, Pédiatre, Vice-President ECPCP, Confédération Europ. de Pédiatrie
Greenpeace Regionalgruppe Basel
regioWasser e.V. – Freiburger AK Wasser im BBU, Mitglied im Klimaschutzbündnis Freiburg
Rester sur Terre, Stay Grounded France
Stay Grounded (International)
Strasbourg Respire, Dr. Thomas Bourdrel
UECNA, Union Européenne Contre les Nuisances Aériennes
UFCNA, Union Française Contre les Nuisances des Aéronefs
VCS Beider Basel (Verkehrs Club der Schweiz / ATE Association Transport Environnement, CH)

*) Effet NIMBY, not in my backyard

 

Historique :

De façon constante, la Suisse a développé le trafic aérien de son 3ème aéroport national sur notre territoire, tout en cherchant à préserver ses citoyens.
En 1974 elle a conditionné le financement de la prolongation de la piste à l’interdiction partielle du survol du territoire Suisse.
En 1998 elle impose un accord tacite qui limite les envols directs vers le Sud au-dessus de Bâle à 8 par jour (4 par jour en moyenne annuelle) et étend le repos nocturne pour Bâle de 22h à 7h.
En 2008, l’introduction de l’ILS33 limite à 10% les atterrissages par le Sud au-dessus de la Suisse, suite à une étude d’impact contestable selon la Convention d’ESPOO.
En 2015-2016 le projet FABEC-SWAP pour rééquilibrer les envols vers le Sud, est finalement abandonné, trop ambitieux et compliqué à mettre en place ?
A partir de 2015, l’aéroport développe le fret tout-cargo à Bâle-Mulhouse sous l’impulsion de la Suisse (Zürich et Genève ayant atteint les limites de bruit nocturne et faisant face à une forte opposition des riverains).
De 2018-2022, la nouvelle procédures RNAV en Piste 15 concentre les trajectoires sur le territoire français au nord de la frontière.

 

Projet de ZA d’Odratzheim : une sortie nature pour sensibiliser à la destruction de milieux naturels

Projet de ZA d’Odratzheim : une sortie nature pour sensibiliser à la destruction de milieux naturels

Le groupe local Mossig organisait le 24 juin 2023, une sortie pour découvrir les richesses naturelles qui sont menacées de destruction ou de perturbations par l’implantation, sur 7 ha, de la future Zone d’Activités de la communauté de communes Mossig Vignoble à Odratzheim. Il s’agit de zone humide, de prairies, vergers et de haies à préserver.

Une trentaine de participants, guidés par Dominique Bersuder et Benoît Rosin, ont ainsi emprunté la voie verte qui va d’Odratzheim à Westhoffen sur l’ancienne emprise du tram interurbain. Cette voie verte longe la ripisylve du ruisseau Kohbach et un milieu semi-ouvert de pré-vergers dont certains sont à l’abandon.
Ce fut l’occasion d’écouter et d’apercevoir quelques oiseaux caractéristiques de ces milieux: Bruant jaune, Fauvette à tête noire, Pie-grièche .. . ainsi qu’un écureuil.
Ont également été évoqués les enjeux de préservation des écosystèmes traversés (cf infos ci-dessous).
A l’issue de la balade, l’apéritif à l’ombre des haies a été apprécié.

 

 

ZA Odratzheim – Rencontre avec les élus de la Comcom et d’Odratzheim

Lors de cette rencontre, les représentants d’Alsace Nature ont insisté sur la nécessité de protéger un certain nombre de milieux naturels :

cliquer sur l’image pour agrandir :

  • Pré-verger à préserver en raison de la directive Habitat pour préserver le gîte et le couvert
    • d’oiseaux (34 espèces recensées telles que Bruant jaune, Tarier des prés, Verdier, Busard des roseaux, Milan noir, alouette des champs, …)
    • de mammifères dont certains sur liste rouge (muscardin, écureuils roux, …),
    • d’ amphibiens (crapauds vert, …)
    • de reptiles (lézard des murailles, …)
    • plusieurs insectes…
  • Zone à préserver selon l’étude environnementale : 2,7 ha

Or, pour l’instant ce qui est retenu par la Comcom ne représente qu’1 ha constitué principalement de la zone humide et de haies en périphérie.
Le site n’est pas bien choisi pour une Zone d’activités car elle est particulièrement en pente ce qui nécessitera énormément de remblais et déblais.
A noter que les prés-vergers sont principalement situés dans la zone la plus pentue.
Alsace Nature comprends que la haie située le plus au nord soit plus difficile à préserver. C’est pourquoi une option intermédiaire serait possible et partiellement compensée par la plantation de haies en limite nord de la ZA. Surface naturelle qui serait ainsi préservée : 1,7ha
Nous avons proposé de faire passer la route en boucle vers le nord en mutualisant le chemin agricole et la desserte de la ZA, plutôt que de faire une boucle vers le sud qui impacte la zone des pré-vergers.

 

Cette rencontre a permis un temps d’écoute et d’échanges.
La situation peux encore évoluer dans le sens d’une meilleure préservation des réservoirs de biodiversité
Ont été évoqués un projet de trame verte auquel Alsace Nature serait associé et la possibilité de convention à long terme entre la Comcom et le Conservatoire des Espaces Naturels Alsace pour la restauration et l’entretien des prés-vergers abandonnés

 

Quelques points d’amélioration sont à noter toutefois :

  • La surface naturelle préservée est notoirement insuffisante
  • Les habitats d’espèces sur liste rouge, oiseaux et mammifères principalement, ne sont pas suffisamment pris en compte
  • De la même manière, les avis de la MRAE ne sont pas suffisamment pris en compte
  • Les besoins en surfaces et la liste des entreprises qui veulent s’implanter sur la ZA n’ont pas été communiqués.

 

Nous avions déjà interpellé officiellement les élus à l’occasion d’enquêtes publiques au sujet de révision du PLU d’Odratzheim et lors de l’enquête du SCOT Bruche-Mossig en 2021.

Cf courriers ci-dessous :

 

 

APPEL A MOBILISATION LE 11 JUILLET A STRASBOURG – Loi sur la restauration de la nature – Suite du Vote au parlement européen

APPEL A MOBILISATION LE 11 JUILLET A STRASBOURG – Loi sur la restauration de la nature – Suite du Vote au parlement européen

L’examen par le Parlement européen de la proposition de règlement sur la restauration de la nature (cf infos ICI ) devrait connaître une nouvelle étape décisive le 12 juillet prochain avec le vote en plénière, lors de la session parlementaire qui se tiendra à Strasbourg du 10 au 13 juillet 2023.

 

Encore une fois, les risques de rejet de ce texte sont réels lors de ce vote. C’est pourquoi, un nouveau rassemblement est prévu devant le Parlement européen à Strasbourg le 11 juillet de 08h00 à 09h00 (la veille du vote en plénière donc). Il est organisé cette fois-ci par les jeunes activistes européens, qui seront rejoints par la coalition principale d’ONG (WWF, BirdLife, EEB, ClientEarth) porteuse de la campagne #RestoreNature, ainsi que par leurs membres et leurs partenaires.

L’objectif est le même que celui des rassemblements des 13 et 14 juin : demander aux eurodéputés de soutenir le texte au travers d’une mobilisation visible (pancartes, banderoles) et sonore (slogans, prises de paroles).

 

ALSACE NATURE APPELLE A SOUTENIR LES ONG ET A PARTICIPER au

rassemblement prévu devant le Parlement européen à Strasbourg

le 11 juillet 2023 de 08h00 à 09h00

 

 

Le 12 juillet, l’Europe a l’occasion d’entrer dans l’histoire en adoptant la loi sur la restauration de la nature.

 

Vous pouvez encore interpeller votre député européen !

Dites à vos député·es d’écouter les milliers de scientifiques, les citoyen·nes et les entreprises en faisant un choix responsable le 12 juillet.
Nous avons besoin de la loi pour restaurer la nature. Nos vies en dépendent !