Expérience : consommer moins d'électricité
Exemple d’initiative individuelle pour consommer moins d’électricité.
Un article de Joël et Maïa Henry pour Rue89Strasbourg, paru le 23 décembre 2012 en parle : ICI
Exemple d’initiative individuelle pour consommer moins d’électricité.
Un article de Joël et Maïa Henry pour Rue89Strasbourg, paru le 23 décembre 2012 en parle : ICI
Le projet de création d’une unité de production de biocarburants sur le site de Stracel à Strasbourg a pour enjeu notamment de « favoriser la filière bois » jolie formule pour dire industrialiser l’exploitation forestière…
Ce projet (qu’on labelisera sans doute Développement Durable) est une hérésie qui, sous couvert d’emploi (80 emplois annoncés), va engloutir non seulement des millions d’€ au profit d’actionnaire et réduire nos forêts à des champs d’arbres. Cela interdira tout autre projet d’utilisation du bois pour des projets locaux… Arrêtons le massacre !
Voir le reportage de France 3 Alsace
Un article paru dans le Journal de l’Environnement le 20 décembre 2012, met en avant les coûts exorbitants qui résulteraient d’une catastrophe nucléaire majeure.
Selon cette étude, « Un « Tchernobyl-sur-Seine » coûterait environ 400 milliards d’euros »
Lire l’article
Article de France 3 Alsace du 21 décembre 2012
sur la cartographie des ondes de téléphonie mobile au niveau de la Communauté Urbaine de Strasbourg.
La municipalité avait levé le moratoire concernant l’installation des antennes -relais. L’opposition est opposée à la levée de ce moratoire.
Lire l’Article en entier
Suite à la conférence de presse tenue le 11 décembre par Alsace Nature et les associations alsaciennes concernées par le Grand Hamster, les DNA ont publié l’article suivant :
« Sept associations de protection de la nature (*) ont décidé d’unir leurs forces de proposition pour définir une stratégie globale de protection du hamster.
L E CONSTAT : en 1993 il n’y avait plus guère que 150 communes en Alsace qui abritaient encore des grands hamsters. L’animal était déjà en voie de disparition et décrochait le peu enviable statut d’animal protégé. Aujourd’hui, ces communes se limitent à 18, pour l’essentiel à l’ouest de Strasbourg, dont 9 comptabilisent moins de cinq terriers sur leur territoire… En tout et pour tout, les hamsters communs ne seraient plus que 309 à vivre à l’état sauvage.
LES CAUSES : l’agriculture intensive et plus particulièrement la maïsiculture, ainsi que l’étalement urbain qui privent le hamster de son habitat naturel (champs de céréales d’hiver ou luzerne sur sol loessique).
LES RESPONSABILITÉS selon les associations de protection de la nature : « L’État, qui a trop tardé à prendre la mesure des enjeux et qui n’a pas su travailler en bonne intelligence avec les acteurs locaux, les collectivités territoriales qui continuent d’aménager et le monde agricole qui, malgré des efforts qu’il faut bien reconnaître, persiste dans des pratiques intensives destructrices de biodiversité », détaille Maurice Wintz, président d’Alsace Nature.
[…]
(*) Alsace Nature, GEPMA (groupe d’étude et de protection des mammifères d’Alsace), Sauvegarde Faune Sauvage, CERPEA (centre d’études et de recherches pour la protection de l’environnement en Alsace), Association Nature Ried, APELE (association pour la protection de l’environnement de Lingolsheim et environs) et SOS Grand hamster d’Alsace. »
DOSSIER DE PRESSE |
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La section Bas-Rhinoise d’Alsace Nature était réunie samedi 1er décembre pour son assemblée générale annuelle.
Les débats qui ont suivi l’adoption des rapports présentant le bilan des actions de l’année écoulée (2011), portaient sur » La nature en ville » et le respect des associations dans le débat citoyen.
Voir l’article des DNA à ce sujet