Gestion de l’eau et protection des rives du Muhlbach à Eschentzwiller

Gestion de l’eau et protection des rives du Muhlbach à Eschentzwiller

Le Muhlbach d’Eschentzwiller est un de ces petits cours d’eau qui coulaient des collines du Sundgau vers le Rhin, en se perdant dans les graviers de la Hardt. Maintenant, coupé de son exutoire naturel par les routes, voies ferrées et autres infrastructures, il menace, en cas de très fortes précipitations, de noyer Habsheim. Les événements de l’été 2021 montrent que ce scénario n’est pas totalement irréaliste. Et donc il est question de bassins d’écrêtement de crues, dans un espace déjà fort contraint.

Par ailleurs, l’agriculture intensive ayant remplacé les prairies et l’élevage,  les berges du cours d’eau sont exploitées, la ripisylve se réduit, les roselières aussi.

Là au milieu, une petite association de riverains, « les amis du Muhlbach », rêve de retrouver un ruisseau bucolique, d’entendre chanter des oiseaux, de voir courir des lapins…

Le groupe local m2A d’Alsace Nature essaie de lui apporter un soutien, tant pour réfléchir aux idées à promouvoir que pour aider aux négociations avec tous les autres acteurs de la gestion de ce cours d’eau.

[chantiers nature] Plantation de haies à Dietwiller

[chantiers nature] Plantation de haies à Dietwiller

A Dietwiller, dans le cadre de la formation « Organiser et animer un chantier de Plantations » organisée par Alsace Nature, plusieurs membres du groupe local M2A ont participé à la plantation d’une haie longue de 500m organisée par Haies Vives d’Alsace et la commune de Dietwiller. Presque une cinquantaine de personnes ! Une belle opération très bien menée.

Nous avons pris contact avec le Maire de la commune, très présent toute la journée, et l’un des responsables des services techniques des espaces verts, et nous prévoyons d’échanger avec eux sur la gestion des zones herbeuses dans la commune, dossier qui nous tient beaucoup à cœur et sur lesquels nous nous investissons dans plusieurs communes de M2A, ainsi que sur la gestion d’une gravière dans cette commune, en lien aussi avec le Conservatoire d’espaces naturels d’Alsace (CEN Alsace – CSA).

GCO : Retour sur la mobilisation du 13 novembre à Ittenheim

GCO : Retour sur la mobilisation du 13 novembre à Ittenheim

Le 13 novembre dernier, Alsace Nature, le collectif GCO NON MERCI, aux côtés d’autres organisations environnementales et citoyennes, appelaient à réagir aux opérations de « Greenwashing » de Vinci/ARCOS et à participer à un rassemblement à côté du péage d’Ittenheim.

Une centaine de militants se sont rassemblés malgré la pluie, dans un champ (amputé en partie par les mesures d’expropriation du GCO) situé à côté de l’aire de péage d’Ittenheim où se situait le village d’animation de Vinci.

Parmi eux, Germaine, 93 ans, figure emblématique du mouvement d’opposition, a tenu à participer à l’événement !

Bruno Dalpra, un des portes-paroles du collectif a rappelé l’inutilité de ce projet climaticide et écocide et le fait que l’Etat et Vinci avaient tout fait pour imposer ce projet par la force. Y compris avec cette opération de journée porte-ouverte organisée avant l’annonce de la décision de la Cour d’appel de Nancy qui doit annoncer si elle confirme ou non l’arrêt du tribunal administratif de Strasbourg qui avait conditionné l’ouverture de l’autoroute à la réalisation de nouvelles études et mesures complémentaires. (la décision de la CAA de Nancy doit être rendue le 16 novembre 2021)

Dany Karcher, ancien maire de Kolbsheim a également pris la parole :

« Quand j’ai réfléchi aux slogans et aux discours que je voulais faire aujourd’hui, je n’ai rien trouvé de nouveau à dire. En 20 ans, on a déployé tellement d’arguments. Tout a été dit maintes fois. La justice nous a donné raison le 20 juillet, alors que la route est quasiment prête. »

… suivi par François Giordani, président de la FNAUT Grand-Est, association des usagers des transports :

« J’espère que les magistrats sauront nous entendre. Nous les appelons à ne pas céder au discours de Vinci. L’autoroute ne permettra pas de répondre au problème des bouchons, et encore moins à celui de la qualité de l’air, c’est documenté par de nombreuses études. Cette autoroute est une aberration démocratique et écologique. »

Ludivine Quintallet, conseillère à la Collectivité européenne d’Alsace pour EELV, ainsi que Sandra Regol, porte parole nationale d’EELV étaient venues apporter leur soutien ainsi que des militants de partis de gauche. Mais ce sont surtout des citoyens, riverains ou non de l’autoroute, qui sont venus une nouvelle fois exprimer leur opposition à ce qui est un non-sens écologique.

Julien Haegy, maire de Duppigheim a rappelé également que le GCO allait entrainer le développement d’autres projets annexes tels que l’aire de service (sur le territoire de sa commune), la liaison GCO-Entzheim et autres projets d’aménagement à venir … intensifiant encore la bétonisation des terres.

 

 

 

Pendant ce temps là, un groupe d’une dizaine de militants a manifesté sur l’autoroute avec banderoles et s’est glissé au village de Vinci pour essayer de faire entendre une autre voie.

« Ainsi, la petite bande joyeuse est remontée en direction du festival Vinci dédié à son auto-promotion en déployant sa banderole « GCO, Alsace couloir à camion », peu fier de leur petit coup !
Arrivé au village des stands, le petit groupe est accueillis par Jean-Luc Fournier, le grand manitou de Vinci. Généreusement, il autorise les militants anti-GCO d’entrer, mais sans leur banderole. Sous l’oeil des vigils d’Arcos, leur chef prévient : « si vous fichez le bazar, j’appelle les gendarmes ». Dans l’attente du jugement de ce mardi, la petite troupe prend l’engagement de ne pas faire d’esclandre. »

Ils ont également échangé quelques arguments avec Robert Herrmann, abcien président de l’Eurométropole et fervent défenseur du GCO.

cf infos ICI

 

REVUE DE PRESSE :

rue89 Strasbourghttps://www.rue89strasbourg.com/manifestation-ecologistes-portes-ouvertes-gco-221101

DNA :

France Bleu Alsace :  https://www.francebleu.fr/infos/transports/les-deux-visages-des-portes-ouvertes-du-gco-se-font-face-a-ittenheim-1636878046

France 3 Alsace : https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/bas-rhin/strasbourg-0/gco-journees-portes-ouvertes-pour-decouvrir-la-nouvelle-route-les-opposants-denoncent-une-illusion-d-ecologie-2330725.html?

Eurojournalist : http://eurojournalist.eu/ce-week-end-le-vinci-greenwashing/

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DIRE NON au GREENWASHING de VINCI

ARCOS, filiale de Vinci,concessionnaire du GCO – la très controversée et écocide autoroute A355 de contournement Ouest de Strasbourg – organise durant le week-end des 13 et 14 novembre 2021, des journées portes ouvertes pour présenter au public son autoroute en mettant en avant les trois années de travaux «d’exceptions » (selon ses mots), ainsi que toutes les mesures entreprises en matière d’environnement : autant sur l’autoroute que pour les mesures compensatoires. Cette campagne de communication de VInci intervient alors que la Cour d’appel doit statuer sur la possibilité de mettre en service l’autoroute avant la fin de l’année (décision attendue le 16 novembre)   >> cf infos ICI

MAIS une autoroute ne sera jamais vertueuse en matière d’environnement, d’autant plus que ce contournement n’est pas destiné à désengorger le trafic pendulaire autour de Strasbourg mais à servir de couloir à camions entre l’Europe du Nord et l’Europe du Sud.  >> cf infos ICI

 

EN CONSEQUENCE,

Nous, militants et militantes anti-GCO, membres de GCO NON MERCI ou d’associations locales soutenant la lutte, ou habitants impactés, tous soucieux des enjeux climatiques et sociaux face au réchauffement climatique, appelons à un RASSEMBLEMENT SAMEDI 13 NOVEMBRE, à 14 h sur une parcelle privée appartenant à une militante anti-GCO et proche de la gare de péage du GCO à ITTENHEIM.

Notre objectif est de dénoncer le GREENWASHING de l’entreprise VINCI sur le contournement Ouest de Strasbourg qui ne sera JAMAIS une autoroute écologiquement vertueuse.

C’est pour le collectif GCO-Non-Merci l’occasion de montrer qu’il existe et existera toujours une voix discordante sur ce dossier. L’avenir n’est pas à plus de route, mais à des mobilités douces et alternatives afin de réduire le trafic routier pour diminuer la pollution de l’air et protéger la santé publique. NOUS NE VOULONS PAS QUE LA PLAINE D’ALSACE SE TRANSFORME EN COULOIR A CAMIONS.

LIEU DU RENDEZ-VOUS :

Indication : la parcelle a le pylône de la ligne électrique en tant que repère.
Stationnement : dans le village d’Ittenheim, proche et venir à pied.

EVENEMENT FACEBOOK :

facebook.com/events/298400858721622

Premiers signataires :

  • Collectif GCO non merci,
  • Alsace Nature
  • ZAD du Moulin / Grand Hamster – Non GCO
  • Le Chaudron des alternatives
  • Greenpeace, groupe local de Strasbourg
  • Strasbourg à vélo
  • Vélorution Strasbourg
  • Alternatiba ⋅ ANV ⋅ Strasbourg
  • Citoyen·ne·s Pour Le Climat · Strasbourg
  • ASTUS
  • Duppigheim Qualité de Vie (DQV)
  • FNAUT Grand Est (42 associations membres)
  • CADR67
  • les Fédinois contre le GCO
  • Collectif Montramjytiens
  • La Ruée VERT le Futur de Kolbsheim 
  • association MVPV (Molsheim)
  • la Réserve du Bishnoï
  • Association HERON
[Communiqué de presse] STOCAMINE : que de temps perdu !

[Communiqué de presse] STOCAMINE : que de temps perdu !

La Cour Administrative d’Appel de Nancy vient de rendre son arrêt dans le dossier de Stocamine. Elle prononce l’annulation du jugement du 5 juin 2019 du Tribunal Administratif de Strasbourg ainsi que de l’arrêté préfectoral du 23 mars 2017 qui autorisait l’enfouissement définitif de plus de 40 000 tonnes de déchets toxiques, et relance ainsi le débat sur le déstockage total des déchets enfouis.

C’est une grande victoire pour Alsace Nature, la CEA, la Région Grand Est, la commune de Wittenheim et la CLCV qui ont porté conjointement ce recours en appel.

De par leur décision les juges reconnaissent que l’enfouissement définitif fait courir un risque sanitaire et environnemental important, que le caractère « ultime » des déchets n’est pas fondé et que les capacités financières tout au long de l’exploitation n’étaient pas garanties.

C’est un camouflet pour les services de l’État qui ont tout fait pour que les citoyens et les collectivités n’aient pas voix au chapitre dans ce dossier.

Maintenant il est urgent que l’ensemble des parties puissent se réunir et avancer dans le même sens à savoir le déstockage maximal des déchets enfouis.

Les associations attendent de Madame la Ministre qu’elle revienne très vite en Alsace pour lancer les travaux qui doivent mener à la remontée et au traitement des déchets de Stocamine. Après avoir plaidé que le temps risquait de manquer, les citoyens ne comprendraient pas que ce dossier ne devienne pas la priorité des services de l’État. Beaucoup d’années ont été perdues inutilement, aujourd’hui la place est à la seule action responsable envers les générations futures : le déstockage.

Alsace Nature se tient prête à contribuer à ce nouvel élan rendu possible grâce aux juges de la Cour d’Appel de Nancy.

Mise à jour (au 19 novembre 21) La presse nous apprend que : « Le gouvernement a introduit un amendement dédié à Stocamine dans le Projet de loi de finances pour 2022 adopté en première lecture à l’Assemblée nationale ce mardi 16 novembre. Cet amendement, voté vendredi dernier, autorise le ministre de l’Économie à accorder la garantie de l’État aux MDPA pour mener les travaux de confinement des déchets stockés sur le site Stocamine, à Wittelsheim. Il autorise aussi, et surtout, leur enfouissement définitif. » (…) « Une adoption définitive devrait intervenir à la mi-décembre, permettant les premières coulées de béton à Stocamine probablement début janvier. » https://c.dna.fr/environnement/2021/11/17/stocamine-le-confinement-definitif-adopte-par-l-assemblee-nationale
Retour sur la manifestation contre l’implantation d’un méthaniseur à Munchhouse (68)

Retour sur la manifestation contre l’implantation d’un méthaniseur à Munchhouse (68)

Alsace Nature et l’association Hardt environnement appelaient à une manifestation le 5 juin dernier contre un projet de méthanisation, porté par la société Kaligaz regroupant 3 agriculteurs à Munchhouse, près de Mulhouse. Ce projet, tel qu’il est prévu, présente des risques pour l’environnement et tout particulièrement pour la ressource en eau potable.

Cette usine de méthanisation serait en effet construite à proximité d’un puits de captage d’eau potable
qui alimente 4 communes. Le syndicat des eaux local a même pris position contre ce projet qui pourrait engendrer de sévères pollutions, dans une zone de forte sensibilité de la nappe phréatique.

M. Peterschmitt, l’un des porteurs du projet, possède déjà un méthaniseur à Andelnans, dans le territoire de Belfort. Il présente son exploitation comme une solution pour les questions climatiques car cela permettrait de valoriser des déchets en captant le carbone.

Or, ce n’est pas si simple. Interrogés par Thibault Vetter, journaliste pour Rue89Strasbourg, les experts expliquent que la méthanisation engendre des risque importants pour l’environnement et la santé. (cf article ICI)

Jean-François Fleck, expert sur les questions de méthanisation pour France Nature Environnement, estime que « le procédé industriel de la méthanisation produit de grandes quantités de digestat, polluant pour l’air et l’eau. Le modèle économique de ces structures prévoit d’épandre ce digestat sur les cultures. Il émet beaucoup de dioxyde d’azote, selon  dangereux pour les poumons et le sang.

« Quant à Daniel Chateigner, physicien membre du Comité scientifique national pour la Méthanisation raisonnée (CSNM), il trouve « absurde de dire que la méthanisation est une solution » pour le climat : « Le digestat est très volatile et contient de l’ammoniac, qui se disperse dans l’air, s’oxyde et développe du protoxyde d’azote, un gaz à effet de serre 300 fois plus puissant que le CO2. »

Rue89 Strasbourg a consulté une note de l’Agence de l’eau Rhin Meuse, datée du 25 juin 2019. Elle décrit
« une dégradation significative de la qualité de l’eau à cause de la méthanisation dans la zone où
l’agglomération de Metz prélève l’eau potable ». L’instance publique affirme aussi que « les digestats
sont facilement lessivables. » En d’autres termes, l’eau de pluie transporte ces éléments dans le sol.

La pollution des eau serait d’autant plus facilitée que les sols de La Hardt agricole, où se situe Munchhouse, sont connus pour être particulièrement perméables.
« C’est d’ailleurs en « considérant la sensibilité de la nappe phréatique d’Alsace à Munchhouse », que le préfet du Haut-Rhin a refusé le permis de construire d’une porcherie, exactement sur le même emplacement que le projet de centrale de méthanisation, dans un arrêté préfectoral du 5 décembre 1997. »

Les habitants ont reçu le soutien de la présidente du Syndicat Intercommunal d’adduction en Eau Potable de Munchhouse et Environs, qui s’inquiète du risque de pollution de la nappe. Le syndicat a voté contre le projet.

Interrogée aussi par le journaliste, « elle s’inquiète du fait que le capital social de Kaligaz est de
seulement 10 000 euros : « C’est loin d’être suffisant. En cas de problème, c’est la commune qui devra
payer la dépollution, ou de nouvelles installations. » »

Etant en dessous du seuil de 30 tonnes d’intrants par jour (sont prévus 29,9 tonnes d’intrant par jour !!), aucune étude d’impact environnemental n’est nécessaire. Or, dans le plan d’épandage, on apprend qu’il est « possible que l’unité Kaligaz passe par la suite » au-delà des 30 tonnes.

Daniel Reininger, pilote du réseau Eau d’Alsace Nature, commente :
« C’est beaucoup plus simple de lancer un projet sous un statut peu contraignant, et, une fois qu’il existe déjà, de demander des dérogations pour passer à une activité plus intensive. La procédure sera une formalité. Ce n’est ni plus ni moins qu’une stratégie grotesque pour éviter la prise en compte des enjeux écologiques. » 

Des recours juridiques contre ce projet sont à l’étude.

Alsace Nature s’apprête également à demander une évaluation environnementale au préfet. Me François Zind, qui représente l’association environnementaliste, explique la démarche : « Vu la dimension du projet, la sensibilité du site et le fait que celui-ci est placé en zone Natura 2000, donc reconnu pour son intérêt biologique, la préfecture devrait accepter. Sinon, nous contesterons le refus devant le tribunal administratif. »

Selon Jean-François Fleck, de France Nature Environnement, la méthanisation n’est pas motivé par l’intérêt général de la production vertueuse d’énergie, mais par des enjeux financiers : « Si on suit la Région, en 2030, il y aura un méthaniseur tous les 12 kilomètres en zone agricole, et tous les 5 kilomètres en 2050. L’épandage impliquerait une pollution massive de la nappe phréatique. Les unités doivent être alimentées par des cultures en plus des déjections d’animaux. Une immense partie de la surface agricole serait alors utilisée dans ce but. C’est insensé. »

Daniel Reininger, d’Alsace Nature, est implacable : « Nous sommes bien-sûr favorables aux énergies alternatives, mais là, c’est de l’agrobusiness. Nous sommes contre ce projet. La méthanisation à grande échelle aura des impacts dramatiques sur l’environnement. C’est une voie qui va à l’encontre de la transition vers une agriculture paysanne et nourricière. La direction à prendre, c’est exactement l’inverse. »

Près de trois cent personnes ont manifesté le samedi 5 juin.

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Alsace Nature soutient l’association Hardt environnement dans son combat contre l’implantation d’un grand méthaniseur à Munchhouse et appelle à participer à la

 

MANIFESTATION LE 5 JUIN 2021

A 14h place de l’Eglise MUNCHHOUSE

 

L’installation de méthanisation agricole en projet à Munchhouse à l’Est d’Ensisheim concentre les défauts qui en font une bombe à retardement pour l’environnement et la nature : dangers pour l’eau de la nappe phréatique, la ressource principale pour la production d’eau potable, trop grandes distances pour l’acheminement des produits pour alimenter le digesteur, épandage des résidus de la digestion (digestat) du Nord au Sud du département, risques de détérioration accrue des terres et prairies, biodiversité impactée, …
(voir nos infos : ICI)

 

Les 2 porteurs du projet opèrent depuis plusieurs années dans le Territoire de Belfort un méthaniseur sous un feu nourri de contestations (y compris mise en demeure par le préfet du Territoire de Belfort pour non conformités).

 

Si de nombreuses stations de méthanisation sont correctement conduites, nous craignons que le projet de Munchhouse n’en fasse assurément pas partie.

 

Nous espérons que vous serez nombreux à vous mobiliser contre ce projet.