mercredi 3 Sep 2025 | A la une, Agriculture et Alimentation, Aménagement du territoire, Déchets, Eau et zones humides, Energies Climat, Forêt, Nature, Réseaux Thématiques
Entamée en juin 2024, la réflexion de la Commission européenne sur la simplification et la rationalisation de la législation environnementale fait l’objet d’une discrète concertation, en plein cœur de l’été 2025. Cette réflexion est pourtant loin d’être anodine.
Nous avons jusqu’au 10 septembre pour soutenir un droit européen protecteur de l’environnement. France Nature Environnement vous explique les enjeux et comment faire entendre votre voix !
Je réponds facilement à la consultation
Parce que 35 % des PME se disent confrontées à des procédures administratives ou juridiques complexes (Eurobaromètre 2024 des PME), la Commission européenne passe actuellement en revue toute la législation environnementale pour trouver les moyens d’en réduire la «lourdeur». Sans réduire les objectifs environnementaux, évidemment ! Pourtant, lorsque la recherche d’efficacité du droit fait rimer simplification avec rationalisation, accélération ou suppression d’obligation d’information, l’on peut entendre moindre protection de l’environnement.
La nature, une alliée de notre économie
La nature est indispensable à notre économie et à notre vie.
44% de la valeur ajoutée brute créée par l’économie française dépend fortement du capital naturel, c’est-à-dire des écosystèmes et de leurs fonctions écologiques. C’est la Direction générale du Trésor qui le dit ! La règlementation environnementale est donc autant là pour protéger notre santé que notre société.
Mal protéger la nature, ça nous coûte cher.
Car au-delà du PIB, c’est notre niveau de vie tout entier qui souffre des choix politiques allant à l’encontre du droit environnemental. En 2025, la Commission a publié un rapport faisant l’évaluation du coût de la mauvaise mise en œuvre du droit environnemental existant. Le constat est sans appel : décès prématurés, frais sanitaires, actions de dépollution, perte de productivité, dégâts matériels… L’Union européenne perd 180Mds€/an parce qu’elle manque à ses obligations de correctement protéger la nature.
Désormais, en plus de mal appliquer le droit, on veut le supprimer ! La prochaine facture risque d’être salée.
Que risquons-nous ?
Cédant aux sirènes du populisme et des intérêts économiques privés (ignorants de leurs propres dépendances aux services gratuits rendus par la nature), la Commission prépare un texte de simplification du droit environnemental. Dans le jargon politique, simplification est souvent synonyme de régression.
Dans ce nouveau paquet dit « omnibus » (qui permet de toucher à de nombreux textes en parallèle), la Commission met en péril toutes les avancées écologiques de ces dernières années, obtenues parfois après des décennies de batailles et de militantisme : restauration de la nature, surveillance des substances polluantes, évaluations des incidences environnementales, lutte contre la déforestation…
Après une année entière à soutenir des textes rétrogrades, le message est clair : la Commission prête son oreille à ceux qui valorisent leurs profits au-dessus de notre santé et de notre avenir.
Mais nous aussi nous tendons l’oreille, et nous leur répondrons !
Comment agir ?
La Commission a placé ses pions quand tout le monde avait le dos tourné, en lançant une concertation au plein cœur de l’été.
Vous avez jusqu’au 10 septembre pour vous mobiliser, et lui rappeler qu’une économie saine ne peut pas exister sans une planète en bonne santé !
Utilisez le formulaire ci-dessous pour lui envoyer un message, et dire clairement à vos représentant·es politiques que vous vous opposez à l’affaiblissement et à la suppression des lois sur la nature.
Grâce à cet outil, vous pouvez générer facilement un texte avec des arguments à personnaliser et envoyer.
Veuillez noter que votre contribution sera publiée sur le site web de la Commission.
Je réponds facilement à la consultation
vendredi 18 Juil 2025 | A la une, Agriculture et Alimentation, Eau et zones humides, Pollutions et santé
Une pétition a été déposée à l’Assemblée Nationale pour demander la réouverture du débat sur la loi Duplomb.
[article mis à jour le 22/07]
Plus de 160 000 signatures ont été rassemblées en quelques heures et le chiffre augmente très vite. Si la pétition atteint les 500 000 signatures, la Conférence des présidents de l’Assemblée nationale peut organiser un débat en séance publique. Aujourd’hui elle a dépassé les 1 500 000 alors qu’elle vient d’être lancée. Ce chiffre historique permettra l’organisation d’un débat parlementaire à la rentrée, le gouvernement s’est dit disponible et certains responsables politiques évoquent la possibilité d’une deuxième lecture si Emmanuel Macron en fait la demande, ce qui relancerait le processus parlementaire.
Vous aussi signez la pétition ! Pour ce faire, vous aurez à vous identifier sur le site de l’Assemblée Nationale en cliquant sur le bouton ci-dessous et à suivre la procédure de signature en renseignant votre département de résidence. Et c’est tout ! mais soyez bien attentifs à aller jusqu’au bout de la validation.
Votre signature peut tout changer !
Je signe la pétition
Comme promis, nous publions ici le vote des députés alsaciens lors de la séance du 8 juillet à l’Assemblée Nationale :
👍 Ont voté CONTRE cette loi mortifère (bravo et merci !) :
- Hubert OTT – MODEM (Haut-Rhin – 2e circonscription)
- Emmanuel FERNANDES – LFI (Bas-Rhin – 2e circonscription)
- Sandra REGOL – Ecologistes (Bas-Rhin – 1re circonscription)
- Thierry SOTHER – Socialistes (Bas-Rhin – 3e circonscription)
👎 Ont voté POUR le diktat de l’agrobusiness :
- Brigitte KLINKERT – EPR (Haut-Rhin – 1re circonscription)
- Bruno FUCHS – MODEM (Haut-Rhin – 6e circonscription)
- Charles SITZENSTUHL – EPR (Bas-Rhin – 5e circonscription)
- Didier LEMAIRE – HORIZONS (Haut-Rhin – 3e circonscription)
- Patrick HETZEL – Droite républicaine (Bas-Rhin – 7e circonscription)
- Françoise BUFFET – EPR (Bas-Rhin – 4e circonscription)
- Louise MOREL – MODEM (Bas-Rhin – 6e circonscription)
- Olivier BECHT – EPR (apparenté) (Haut-Rhin – 5e circonscription)
- Vincent THIEBAUT – HORIZONS (Bas-Rhin – 9e circonscription)
- Raphaël SCHELLENBERGER – Non-inscrit (Haut-Rhin – 4e circonscription)
- Théo BERNHARDT – RN (Bas-Rhin – 8e circonscription)
vendredi 4 Juil 2025 | A la une, Agriculture et Alimentation, Communiqués de presse, Eau et zones humides
1 semaine pour sauver notre santé : voici comment vous mobiliser !
C’est la semaine décisive ! Le 8 juillet, les député·es voteront la proposition de loi Duplomb. Pour espérer son rejet, il nous faut au moins 100 voix supplémentaires. Pour y parvenir, une mobilisation massive et ciblée est indispensable.
Comment se mobilier ? En réalisant les actions proposées ci-dessous !
📞 OPÉRATION « APPELLE TON DÉPUTÉ »
Nous avons identifié les député·es susceptibles de changer leur vote (principalement issus du bloc central). Pour cela, tu as à ta disposition :
Rejoignez notre boucle Telegram dédiée pour suivre toutes les infos et coordonner la mobilisation : https://t.me/+Tnco_13iL95lN2Y0
💻 INTERPELLE LES DÉPUTÉS PAR EMAIL
L’interpellation des député.es en ligne continue, grâce à l’outil Shake ton politique mis à jour, qui recense déjà plus de 200 000 interpellations.
📢 MOBILISATION TERRAIN AVEC LES KITS GÉNÉRATIONS FUTURES
Pour informer vos concitoyen·nes et les inciter à interpeller leur député·e, utilisez les kits disponibles en cliquant sur les liens ci-dessous. Ces kits comprennent :
- Une affiche avec l’adresse mail et la permanence du député
- Un tract avec coupon-réponse
- Les résultats du député au 1er tour des législatives
- La liste des communes et bureaux de vote où il/elle a obtenu ses meilleurs scores
🔥 Il ne reste qu’une semaine. Chaque action compte : appel, tractage, message. Merci de faire passer largement l’information et de mobiliser vos réseaux.
Ensemble, nous pouvons faire la différence.
Lettre ouverte interassociative à tous les député.e.s alsaciens
Mesdammes, Messieurs les Députés,
Alors que notre pays traverse l’une des vagues de chaleur les plus intenses de son histoire, les signaux d’alerte environnementaux se multiplient. Nous avons franchi 7 des 9 limites planétaires. En France, un tiers des captages d’eau potable ont été fermés en 30 ans à cause de pollutions chimiques (source : ministère de l’Agriculture). L’air que nous respirons rend malade, les pollinisateurs disparaissent avec la biodiversité, mettant en péril 84 % des cultures qui en dépendent.
Dans ce contexte critique, vous, nos 10 députés qui ont été élus et représentent la population alsacienne, serez amenés à vous prononcer sur la proposition de loi dite « PPL Duplomb », adoptée en Commission Mixte Paritaire (CMP) le 30 juin. Ce texte, sous couvert de simplification, fragilise encore davantage les garde-fous environnementaux. Dimanche dernier, des citoyennes et citoyens, y compris de nombreux paysans, ont manifesté dans toute la France – chez nous à Strasbourg et à Colmar notamment – pour demander l’abandon de ce projet. Leur message est clair : OUI, le monde agricole a besoin de soutien, mais NON, cela ne peut se faire au détriment de notre santé, de notre eau, de notre avenir.
Par ailleurs, le texte issu de la CMP va à contresens du dialogue. Il est imposé sans débat parlementaire, sans VOTRE avis, donc sans l’avis des citoyens que vous représentez. Ce texte renforce le poids des syndicats de l’agribusiness au détriment de toutes les autres parties prenantes. Il prévoit notamment :
Sur la question de la santé :
- le retour de pesticides interdits, dont des décennies de recherches scientifiques ont prouvé la toxicité. Ces substances, interdites depuis 2016, sont destructrices pour les abeilles et les écosystèmes en plus d’être néfastes pour la santé humaine, puisque nous les consommerons via notre alimentation, notre eau… Leur réintroduction serait un non-sens éthique et écologique, d’autant que 83 % des français y sont opposés (IFOP pour Générations Futures). La filière apicole, confrontée à d’autres difficultés, ne s’en relèverait pas.
Sur la question de l’eau :
- la modification de l’équilibre des représentants siégeant dans les Comités de Bassin hydrographiques, au profit des acteurs dits “économiques” (agriculture, industriels), donc au détriment des acteurs dits « non économiques » (consommateurs, associations) Ceci rendrait toute prise de décision systématiquement en faveur des pollueurs.
- la reconnaissance d’un « intérêt général » à des projets de prélèvements ou d’ouvrages hydrauliques contestés,
Sur la question de l’alimentation :
- l’assouplissement des règles pour les élevages industriels inhumain, alors que 84 % des Français sont opposés à l’élevage intensif (IFOP, 12/02/24),
- la remise en cause du rôle des agences d’État dans la protection de l’environnement.
Vous êtes attachés, comme nous, à l’Alsace, à la qualité de son eau potable (menacée de toute part, notamment par Stocamine, les PFAS, etc.), à la préservation de ses paysages et de ses milieux naturels. L’agriculture façonne nos territoires : ses choix nous engagent collectivement. Mais ces choix doivent être débattus, co-construits, et non imposés.
Nous vous demandons solennellement de ne pas voter cette proposition de loi. Ce rejet ne doit pas clore le débat, mais au contraire ouvrir un véritable chantier de concertation : celui d’un modèle agricole viable, juste, et respectueux de la santé humaine comme de la planète. Il est temps de sortir de la logique d’opposition pour construire ensemble des solutions durables.
Avec toute notre considération,
Alsace Nature
Ligue pour la Protection des Oiseaux Alsace
Fédération des Syndicats des Apiculteurs du Bas-Rhin
Union Nationale de l’Apiculture Française


jeudi 26 Juin 2025 | A la une, Agriculture et Alimentation, Eau et zones humides, Groupes Locaux, Pollutions et santé, Réseaux Thématiques
Nous vous en avions parlé il y a quelques jours, la loi Duplomb qui doit définir le futur de notre agriculture, de notre santé et de notre environnement, est un mortifère retour en arrière.
Sous prétexte de “simplifier” le travail agricole, la loi Duplomb :
- Facilite l’expansion des élevages intensifs, sources de nombreuses pollutions et de mal-être animal
- Favorise l’implantation de mégabassines au profit de l’agriculture intensive, en facilitant les dérogations à la protection des espèces protégées
- Affaiblit la protection des zones humides, pourtant essentielles à la régulation du climat, la gestion des inondations et sécheresses et la préservation de la biodiversité
- Réautorise l’acétamipride, 7 ans après que la France a interdit les néonicotinoïdes en raison de leur dangerosité pour les pollinisateurs et la santé humaine
- Encourage indirectement l’usage des pesticides, alors même que leurs effets délétères sur la santé humaine et l’environnement sont largement documentés
+ d’INFOS ICI
À partir du 30 juin, la loi Duplomb sera discutée en Commission Mixte Paritaire le 29 juin 2025
Alsace Nature, la LPO et de nombreuses associations appellent leurs membres et sympathisants à se rassembler pour dénoncer cette loi et faire pression sur la commission.
APPEL NATIONAL A MANIFESTATION !
📣 Le dimanche 29 juin, à la veille de la Commission Mixte Paritaire, des dizaines de manifestations décentralisées sont organisées partout en France.
En ALSACE :
Rassemblement à STRASBOURG
place de la République
le 29 juin à 9h30
et
Banquet paysan à COLMAR
devant la préfecture
le 29 juin à 11h
Venez nombreux !
(cliquez sur les images pour agrandir)
vendredi 20 Juin 2025 | A la une, Agriculture et Alimentation, Eau et zones humides, Pollutions et santé, Réseaux Thématiques
LE CONTEXTE
Depuis plusieurs mois, le gouvernement et certains parlementaires, allant de la macronie au Rassemblement national, formulent des propositions qui constituent de véritables reculs en matière de protection de l’environnement et de bien-être animal, de la biodiversité et de la santé publique : remise en cause des compétences de l’Agence de sécurité sanitaire (ANSES), accaparement de la ressource en eau, réintroduction des néonicotinoïdes, pulvérisation de pesticides par drone, allègement des normes pour les élevages les plus intensifs, etc.
Dans la lignée de la proposition de loi “Ferme France”, adoptée au Sénat en 2023, le sénateur Laurent DUPLOMB (LR) revient à la charge avec une nouvelle proposition de loi régressive.
Favorable à un modèle intensif, cette proposition de loi vise, entre autres, à maintenir notre agriculture dans une dépendance aux pesticides de synthèse, abaisser la protection des zones humides et faciliter les projets d’élevage industriel.
UNE OPPOSITION
Générations Futures, France Nature Environnement, Greenpeace France, la Fondation pour la Nature et l’Homme, 4PATTES, CIWF France et la Ligue de Protection des Oiseaux (LPO) dénoncent cette proposition de loi et appellent les députés à s’opposer à cette loi rétrograde.
De nombreux rapports et études d’instituts de recherches, d’organisations environnementales et paysannes pointent les limites du modèle intensif et démontrent que le virage agricole dépend avant tout d’une volonté politique. Une telle proposition de loi ne ferait que retarder cette transition agricole.
Cette proposition de loi va inévitablement asseoir un modèle agricole industriel passéiste qui ne répond ni aux enjeux d’enrayement de l’effondrement de la biodiversité, d’atténuation et d’adaptation au changement climatique et de pollution globale (eau, air, sol), etc.
CE QUE VOUS POUVEZ FAIRE !
Le rapporteur de la proposition de loi, Julien Dive, a fait adopter une motion de rejet préalable avec le soutien des groupes parlementaires du « socle commun » (EPR, MoDem, Horizons, Droite Républicaine) et les voix des groupes LIOT, UDR et RN.
Cette manœuvre a pour conséquence d’envoyer directement la proposition de loi en commission mixte paritaire (CMP), sur la base du texte adopté au Sénat, privant les députés d’un débat sur le fond en séance publique et contournant ainsi le processus démocratique.
La date et la composition de la CMP ne sont pas officiellement connues. Une nouvelle lecture du texte sera faite dans les deux chambres du Parlement après la CMP donc continuons d’interpeller nos décideurs!
INTERPELLEZ VOS DÉPUTÉS
ET LE GOUVERNEMENT !
INTERPELLEZ VOS DÉPUTÉS ET LE GOUVERNEMENT
Le rapporteur de la proposition de loi, Julien Dive, a fait adopter une motion de rejet préalable avec le soutien des groupes parlementaires du « socle commun » (EPR, MoDem, Horizons, Droite Républicaine).
Une nouvelle lecture aura lieu à l’Assemblée après la commission mixte paritaire (CMP), il est donc toujours temps d’interpeller nos décideurs !
Les cibles prioritaires sont indiquées en bleu sur la page en lien ci-dessous. Il s’agit :
- de certains ministres et leurs conseillers
- ainsi que le rapporteur, les chefs de file et présidents des groupes parlementaires du « socle commun » (EPR, MoDem, Horizons, Droite Républicaine), qui ont déposé la motion de rejet.
!! SEULS LES DEPUTES DE CES GROUPES
SONT INTERPELLABLES !!
N’hésitez pas à personnaliser votre message !
ENVOYEZ VOTRE MESSAGE
AVEC SHAKETONPOLITIQUE.ORG
lundi 31 Mar 2025 | A la une, Agriculture et nature vivante, Nature, Réseaux Thématiques
Les haies apportent de nombreux bénéfices pour l’environnement et l’agriculture. Elles offrent de l’ombre au bétail, servent de réserves fourragères estivales, d’habitat pour la biodiversité, elles permettent de maintenir la structure des sols pour lutter contre l’érosion, favorisent l’infiltration de l’eau et améliorent sa qualité ; elles participent aussi au patrimoine paysager. Cependant, elles disparaissent de plus en plus vite : 23 500 km de haies ont disparu chaque année au cours de la dernière décennie (contre 11 500 km par an les dix années précédentes, selon un rapport du CGAAER de 2023).
Pour préserver et valoriser le réseau de haies, les associations du mouvement FNE vous invitent à vous mobiliser pour les haies à partir du 20 mars, à travers la campagne Sentinelles de la Haie !
Sentinelles de la Haie, à quoi ça sert ?
L’objectif est de recenser les actions positives pour les haies (inventaires, atlas de la biodiversité communale, gestion agricole exemplaire, préservation dans les documents d’urbanisme, plantations, etc.). La campagne permet aussi de recueillir les atteintes qui leur sont causées au printemps (arrachages, taille inadaptée en pleine nidification, destruction de talus, …).
Concrètement, comment agir ?
Vous pouvez participer de plusieurs manières :
- Parlez de la campagne autour de vous, à vos amis, vos collègues, vos associations, vos élus ;
- Imprimez et diffusez le flyer de la campagne autour de vous ;
- Contribuez à l’inventaire des actions positives et des atteintes printanières faites aux haies, sur notre outil Sentinelles de la nature ;
- Participez aux webinaires, en vous inscrivant ici pour en savoir plus sur la campagne. Ne manquez pas le webinaire de lancement, le 20 mars à 18 h !
Rendez-vous sur le site de la campagne Sentinelles de la Nature qui sera régulièrement mis à jour dès son lancement, ainsi que sur le kit Sentinelles de la Haie et sur le Wiki Haies pour en savoir plus sur les réglementations qui protègent les haies.
Je participe à la campagne !