mardi 24 Août 2021 | A la une, Aménagement du territoire, Groupes Locaux, Nature, Réseaux Thématiques, Urbanisme
En 2015, toute tentative de discussion avec la municipalité ayant été veine, Alsace Nature, en soutien à l’association locale CAPS 68, avait déposé un recours contre le Plan Local d’urbanisme de la commune de Sierentz, pour protéger la vingtaine d’hectares de collines constituant un corridor écologique abritant des espèces particulièrement riches et sensibles .
Le tribunal administratif de Strasbourg avait annulé la délibération approuvant le PLU de la commune de Sierentz dans un jugement du 29 septembre 2015, en fondant sa décision sur l’incompatibilité de ce PLU avec les principes d’équilibre et de gestion économe de l’espace prévus par les articles L.110-1 et L.121-1 du code de l’urbanisme. (cf infos ICI)
Malheureusement, nous avons perdu en appel et le PLU a été rétabli.
Depuis, les collines de Sierentz, inestimable écrin de verdure, indispensable poumon vert, précieux réservoir de biodiversité, sont restées, durant toutes ces années, très convoitées par les promoteurs.
En tant qu’association de défense de l’environnement, CAPS 68 a affirmé sa présence sur le terrain et sensibilisé la population sur la richesse des collines, informé sur les fonctionnalités du réservoir de biodiversité et du corridor écologique, exercé une vigilance sur les atteintes à la nature.
En 2014, une pétition « Contre l’urbanisation future des collines et pour leur classification en Espaces Naturels Sensibles » a été lancée. Cette pétition comptant 1092 signatures et a été déposée en mairie de Sierentz le 17 mai 2021.
Toutes ces actions ont porté leurs fruits puisque la nouvelle municipalité a fait la promesse de réviser le PLU (Plan Local d’Urbanisme) en vue de classer 20ha de collines en Espaces Naturels Sensibles.
Hélas ce n’est pas suffisant !
En effet, un projet immobilier d’ampleur couvrant 2,5 ha dans les collines est actuellement à l’étude. L’artificialisation des sols ainsi que la densité de population générées par ce lotissement (maisons individuelles et collectifs), porteront un coup fatal au réservoir de biodiversité, au corridor écologique ainsi qu’à une importante station d’ornithogale penché, fleur rare classée sur la liste rouge des espèces protégées d’Alsace.
La menace est imminente, il y a urgence à agir. Nous avons besoin de vous !
Rendez-vous sur la page facebook du CAPS pour vous renseigner sur le sujet, découvrir nos actions et nous soutenir : https://www.facebook.com/caps68510
Signez à la nouvelle pétition du CAPS
jeudi 22 Juil 2021 | A la une, Alsace, Aménagement du territoire, Communiqués de presse, GL EMS, GL Kochersberg, Transports, Urbanisme
Trois ans après le démarrage des travaux de construction du contournement ouest de Strasbourg (COS, A355 ou GCO), les questions cruciales de son utilité sont enfin analysées par la justice… et sévèrement mises en doute. C’est une petite victoire pour les opposants qui défendent depuis plus de 30 ans, preuves à l’appui, notamment que
- cette autoroute ne régulera pas le trafic autour de l’agglomération,
- ne réduira pas la pollution de l’air et
- qu’aucune mesure ne sera suffisante pour compenser la perte nette de biodiversité.
En face, toute la ligne de défense et la communication de l’État ainsi que du pétitionnaire Arcos (filiale de Vinci Autoroutes) a été de dire qu’ils avaient présenté un dossier exemplaire. Les magistrats du Tribunal Administratif ont donc suivi les recommandations de la rapporteur publique le 17 juin dernier, qui demandait l’annulation partielle des autorisations de construction de l’autoroute lors des audiences pour ces 6 recours portés par Alsace Nature contre le projet autoroutier [voir notre article détaillé]. Ils exigent une nouvelle étude d’impact, une nouvelle enquête publique avec une nouvelle saisine de l’Autorité environnementale. Durant cette période, la mise en service ne pourra pas se faire, même si les travaux ne sont pas suspendus. Le tribunal se prononcera sur les raisons impératives d’intérêt public majeur, vraisemblablement aux alentours de mai 2022, nouvelle étape juridique du dossier. L’Avocat d’Alsace Nature, Me François ZIND indique que « ce jugement ne révèle pas de simples irrégularités, mais d’insuffisances substantielles telles, qu’elles entrainent l’annulation des arrêtés préfectoraux » ! Il précise même que « dans un dossier « classique » qui aurait été jugé plus rapidement, le tribunal aurait annulé l’arrêté d’autorisation unique », entrainant l’abandon pur et simple du projet, ce qui aujourd’hui est impossible puisque les travaux sont près d’être achevés. Cette imposture, c’est ce qu’Alsace Nature et le collectif GCO NON MERCI ont toujours dénoncé : le passage en force des autorités pour démarrer le chantier et la lenteur de la justice pour juger le fonds du dossier. Pourtant, aux dires des promoteurs du GCO, soutenues par certaines collectivités publiques promouvant le greenwashing, ce projet, comme tant d’autres s’inscrirait parfaitement dans la transition écologique. Pour Alsace Nature, il est plus qu’urgent de changer de modèle, et d’arrêter l’hypocrisie actuelle. Depuis trois décennies, dans l’esprit des décideurs politico-économiques, le développement durable, la croissance verte, l’économie circulaire et maintenant la transition écologique n’ont été majoritairement qu’un moyen de faire perdurer un système foncièrement destructeur et inégalitaire. 
lundi 5 Juil 2021 | Energies Climat, GL M2A, Groupes Locaux, Réseaux Thématiques, Urbanisme
La m2a a entrepris l’élaboration d’un Règlement Local de la Publicité intercommunal (RLPi). Les discussions ont démarré fin 2019 et un projet a été présenté ce printemps aux associations. Un communiqué de presse a été co-signé par plusieurs associations (Paysages de France, Résistance à l’Agression Publicitaire, Alternatiba ANV-COP21, Alsace Nature et CADRes) dans lequel nous soulignons nos désaccords avec le projet proposé : https://paysagesdefrance.org/actualites/219/rlpi-mulhouse-une-reglementation-en-trompe-loeil/
Si chacun peut trouver la publicité plus ou moins gênante, il est important de rappeler que c’est de manière quasi systématique que l’affichage publicitaire va à l’encontre des actions de défense de la nature menées notamment par Alsace Nature.
La pub n’aime pas la nature
D’abord par le message véhiculé :
- Beaucoup de publicités font la promotion de l’automobile, mais jamais du vélo et des transports doux. Les publicités poussent systématiquement à la surconsommation qui s’oppose à la sobriété nécessaire à la sauvegarde de notre environnement.
- Beaucoup de publicités font la promotion des grandes surfaces et des centres commerciaux, souvent éloignés des centres-villes. Il n’y a jamais de publicités pour les commerces de proximité.
- Beaucoup de publicités font la promotion de la nourriture industrielle (plats préparés, boissons, surgelés, fast-foods…), jamais pour les circuits courts.
Ensuite par les supports employés :
- Affiches papiers remplacées toutes les semaines : consommatrices de papier,
- Affiches rétro-éclairées, panneaux déroulants et panneaux numériques : grands consommateurs d’électricité. De plus, l’éclairage des affiches participe à la perturbation de la faune nocturne .
Alors agissons !
Ce mardi aura lieu la réunion publique organisée par la m2a. Son objectif est de présenter le projet de RLPi, de répondre aux questions posées et de recueillir les observations des habitants de Mulhouse Alsace Agglomération. Cette réunion est ouverte à toutes et à tous.
Mardi 6 juillet 2021, de 18h à 20h, au Parc des expositions de Mulhouse.
Venez nombreux et n’hésitez pas à faire circuler l’information !
Les informations sur le projet de RLPi : https://www.mulhouse-alsace.fr/agglo/urbanisme/reglement-local-de-publicite-intercommunal
Pour apporter votre contribution à l’élaboration du RLPi, écrivez à concertation.rlpi@mulhouse-alsace.fr
dimanche 20 Juin 2021 | Aménagement du territoire, Energies Climat, GL EMS, Groupes Locaux, Pollutions et santé, Réseaux Thématiques, Transports
Une cinquantaine de militants sont venus réclamer justice devant le tribunal administratif de Strasbourg, alors qu’avaient lieu les audiences pour 6 recours portés par Alsace Nature contre le projet autoroutier de contournement Ouest de Strasbourg.C’est la première fois que les juges se penchaient sur l’examen au fonds du dossier.
La rapporteur publique, Mme Bauer, a demandé l’annulation partielle des autorisations accordées à Vinci /ARCOS et la SANEF, sans toutefois demander l’arrêt des travaux du chantier.
Trois des dossiers concernaient les autorisations accordées à Vinci/ ARCOS, les trois autres les autorisations données à la SANEF pour la partie nord de l’autoroute (essentiellement échangeur avec l’A4 actuelle).
La principale demande concerne les mesures compensatoires
Selon la rapporteur, les mesures de compensation pour les atteintes aux espèces demandées dans les arrêtés d’autorisation « ne garantissent pas le respect de l’équivalence écologique et l’absence nette de perte de biodiversité« .
Alors que les concessionnaires et l’Etat s’étaient toujours enorgueillis de la qualité des mesures compensatoires de ce dossier, sont pointées du doigt les insuffisances dénoncées par les opposants et qui avaient valu 7 avis négatifs du Conseil National de Protection de la Nature (CNPN) et de l’Autorité environnementale !
Concernant l’autorisation unique accordée à Vinci/ARCOS,
Mme Bauer suggère de « reprendre l’instruction sur cette partie de l’autorisation dans un délai de 6 mois » et demande aux juges de conditionner la mise en service de l’autoroute (prévue fin 2021 – début 2022) à cette nouvelle autorisation modifiée.
Rappelons-le, lors d’un recours en référé en 2018, contre cet arrêté d’autorisation unique, le juge avait refusé d’accorder la suspension d’urgence des travaux « à titre exceptionnel » bien qu’il existait « un doute sérieux sur la légalité de l’arrêté », ceci pour éviter soi-disant des troubles à l’ordre public en cas d’arrêt des travaux ! (voir infos ICI )
Concernant les autorisations accordées à la SANEF pour la partie nord du tracé (échangeur agrandi au niveau de Vendenheim notamment),
Mme Bauer propose aux juges de régulariser l’étude d’impact en la précisant et de saisir l’autorité environnementale ensuite pour valider cette nouvelle étude, et cela dans un délai de 6 mois. La mise en service du GCO serait conditionnée à la réalisation de cette procédure.
Ce qui est par contre incroyable (mais nous l’avions déjà dénoncé ! Tout est incroyable dans ce dossier !), c’est que la magistrate dit expressément dans son rapport que si le dossier avait été jugé en 2018 (donc juste après les recours en référé et le début des travaux), elle aurait demandé l’annulation totale de l’autorisation ! Mais comme il y a le principe de réalité et que les travaux ont déjà bien avancé, on ne peut pas demander l’annulation complète ! C’est ce qu’Alsace Nature et le collectif GCO NON MERCI ont toujours dénoncé : le passage en force des autorités pour démarrer le chantier et la lenteur de la justice pour juger le fonds du dossier !
Concernant le recours contre la commune de Geudertheim,
la rapporteure publique estime que la délibération prise par la commune en 2017, autorisant ARCOS (Vinci) à procéder aux abattages d’arbres, doit faire l’objet d’une annulation. Cependant, même si les juges annulent cette délibération, le mal est fait puisque les arbres ont déjà été abattus !
La décision des juges sera rendue le 15 juillet.

17 juin 2021 : Maurice Wintz, le président d’Alsace Nature, fait un point de situation à mi-chemin des recours examinés

Fin de l’examen des 3 derniers recours, notamment ceux concernant la Sanef. Maurice Wintz, le président d’Alsace Nature, nous fait un point rapide

François ZIND, avocat d’Alsace Nature fait le point à la sortie du tribunal
REVUE DE PRESSE
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ATTENTION CHANGEMENT DE DATE !!
Ce jeudi 17 juin 2021 aura lieu, au Tribunal Administratif de Strasbourg, les instances des jugements de six recours d’Alsace Nature au nom du collectif GCO NON MERCI contre le Contournement Ouest de Strasbourg (GCO).
Après près de trois années d’instructions, et tandis que les travaux avancent, la justice va enfin se pencher sur les demandes et recours contre ce projet climaticide.
Il s’agit d’un événement majeur dans notre lutte. Alors que la justice avait reconnu un doute sérieux sur la légalité en septembre 2018, “à titre exceptionnel”, elle n’avait pas suspendu les travaux. Suite à cela, la procédure d’instruction des différents dossiers a longuement suivi son cours et nous arrivons à cette étape importante qui, nous l’espérons, peut mener à un arrêt des travaux.
Le collectif GCO NON MERCI appelle au rassemblement devant le Tribunal Administratif, pour exprimer notre demande de justice.
- Justice pour la prise en compte de l’avis de l’ensemble des autorités environnementales et de concertation publique qui ont toutes dit “NON” à ce projet inutile.
- Justice pour les irrégularités dans le projet.
- Justice pour la stratégie d’imposer envers et contre tout des projets d’un autre temps qui ne font que dégrader notre climat, sans apporter les solutions nécessaires de mobilités douces !
Aussi, nous vous donnons rendez-vous le 17 JUIN dès 13h15 devant le Tribunal Administratif (31 Avenue de la Paix) à, Strasbourg.
jeudi 17 Juin 2021 | Aménagement du territoire, GL Piémont, Groupes Locaux, Nature, Réseaux Thématiques, Transports, Urbanisme
Le groupe local d’Alsace Nature et Nature & Vie se mobilisent contre un projet qui concerne le Mont Sainte Odile.
Conformément à la motion adoptée à la dernière Assemblée Générale d’Alsace Nature ne voulant pas que le massif des Vosges se transforme en parc d’attractions, nous sommes vigilants au sujet d’un projet de téléphérique reliant Saint Nabor au couvent du Mont Sainte Odile.
En effet, ce projet présente, à nos yeux, un certain nombre de points d’alerte
- Tout d’abord un défaut de démocratie, la population locale n’a pas été consultée et informée du projet et de son coût ( étude financée par la collectivité à hauteur, pour le moment de 160 000 € ).
- Une série « d’animations (tyroliennes, parc pour VTT…) » accompagnera ce projet, développant un tourisme de masse et une offre de loisirs consommatrice de Nature que nous dénonçons.
Il existe certainement des solutions plus acceptables pour monter au Mont Sainte Odile, et pour réduire la circulation automobile dans le massif, qu’un téléphérique qui porte atteinte au paysage d’une part et à la faune présente sur le tracé potentiel.
Outre l’artificialisation des sols (aménagement de la partie sommitale, création de deux gares à l’arrivée comme au départ, les câbles sont des pièges mortels pour les oiseaux comme le Grand corbeau ou le Faucon pélerin qui nichent dans la carrière de Saint Nabor (faisant l’objet d’un Arrêté préfectoral de Protection de Biotope) et qui sont sur les listes de protection au titre des espèces communautaires.
Pourquoi ne pas envisager des navettes de transport en commun (électriques, à hydrogène…) aux départ des gares de Molsheim, Obernai et Barr ? ces navettes pourraient être redéployées en hiver pour acheminer les personnes désirant se rendre au Champ du feu.
D’autres solutions existent peut être ( train à crémaillère) pour peu qu’on n’oriente pas trop de façon délibérée les bureaux d’études dans leurs conclusions….
DOSSIER A SUIVRE …
Signer la pétition contre ce projet !
REVUE DE PRESSE
« Entre 70 et 80 personnes, soit un peu moins que la centaine espérée par les organisateurs, ont participé ce dimanche matin 13 juin, à Saint-Nabor, à un rassemblement contre un projet à l’étude de téléphérique qui relierait le site des anciennes carrières de la commune et le mont Sainte-Odile. »
« Plusieurs prises de paroles ont eu lieu autour de tonnelles où de la documentation était étalée sur les conséquences éventuelles d’un tel projet. Face à la problématique, bien réelle, du nombre de véhicules qui circulent dans le massif (500 000 par an), ces opposants voient dans le téléphérique « un modèle du passé de tourisme de masse » qui ne résoudrait pas les problèmes mais en poserait d’autres, en dénaturant ce lieu emblématique de l’Alsace : impact paysager, atteintes à la biodiversité, à la dimension spirituelle et patrimoniale du lieu, nuisances pour les riverains… »
Voir l’article de l’ALSACE « Entre 70 et 80 manifestants contre le projet de téléphérique » paru le 13 juin, : : https://www.lalsace.fr/environnement/2021/06/13/entre-70-et-80-manifestants-contre-le-projet-de-telepherique
vendredi 21 Mai 2021 | Aménagement du territoire, Energies Climat, Forêt, Groupes Locaux, Nature, Réseaux Thématiques
Notre collectif (constitué de CPLC Strasbourg, Emmaüs Mundo, Alsace Nature et Euroasis) a malheureusement dû reporter le festival climat qui devait se tenir place de l’Université à Strasbourg les 4, 5 et 6 juin. Ce dernier aura finalement lieu le weekend du 1er au 3 octobre 2021.
Néanmoins, et en attendant, un beau programme de conférences est offert à tous et toutes, les jeudi 3, vendredi 4, et samedi 5 juin !
Elles se dérouleront en présence à Ostwald et Schiltigheim le jeudi soir, et à Strasbourg les vendredi et samedi soirs.
Il sera également possible de les suivre en ligne depuis la page Facebook de CPLC Strasbourg : https://www.facebook.com/CPLC.Strasbourg
Vous trouverez, à la suite, le programme de ces trois soirées (à partir de 18h30) et les liens vers les billetteries en ligne correspondantes pour y assister en présence. Vous pouvez également vous inscrire en envoyant un mail à l’adresse cplc.strasbourg@protonmail.com (en précisant la ou les conférences concernée(s), le nombre de places désirées, avec vos noms et numéros de téléphone).
Nous espérons voir du monde dans les salles après ces longs mois d’isolement et d’événements en ligne !
PROGRAMME
JEUDI 3 JUIN, 18h30
- Schiltigheim, Hôtel de ville
VENDREDI 4 JUIN, 18h30
- Strasbourg, Église du Temple neuf
SAMEDI 5 JUIN, 18h30
- Strasbourg, Église du Temple neuf
Enfin, et pour clôturer ce beau programme, nous nous retrouverons le samedi 5 juin, une nouvelle fois à 18h30 Temple Neuf de Strasbourg pour échanger autour de la question énergétique. Cette dernière est essentielle pour comprendre l’enjeu climatique, et sera au cœur de la table-ronde qui réunira Barbara Nicoloso, coordinatrice de l’association Virage Énergie, et Thierry De Larochelambert, enseignant-chercheur en physique-chimie.
>> Inscription : https://www.helloasso.com/associations/cplc-strasbourg/evenements/energies-vertes-sobriete-energetique-d-ou-viendra-le-salut
