L'arbre et la forêt avec Francis Hallé

L'arbre et la forêt avec Francis Hallé

L’association « Le bonheur est dans le pré » organise à Saverne, le 1er et 2 avril 2017 son premier forum, sur le thème de L’arbre et la forêt.
Au programme : Film  » Il était une forêt  » de Luc Jacquet ( accompagnement olfactif ), exposition des dessins de Francis Hallé, dédicace, balade découverte
des arbres remarquables de Saverne et Marmoutier, plantation d’un arbre symbolique et atelier dessin  » Artistes en Arbre « .
Francis Hallé, expert de renommée internationale viendra le samedi animer le débat après le film et participera à la sortie nature à la découverte des arbres le dimanche.
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pour aider l’association à financer la venue de Francis Hallé : c’est par ICI
pour voir le programme complet : c’est par là
 

Alsace Bossue : les associations dénoncent des destructions illégales de milieux naturels

Alsace Bossue : les associations dénoncent des destructions illégales de milieux naturels

 

Alsace Nature, la LPO et l’ANAB (Association Nature Alsace Bossue) organisaient vendredi 24 février 2017, une conférence de presse en Alsace Bossue, pour dénoncer les destructions de milieux naturels dans le cadre des opérations d’aménagements fonciers liés au contournement routier de l’A4-Lorentzen.

Le site du Morstberg notamment, exceptionnel du point de vue de la biodiversité, a subi ces derniers mois des dégradations (retournement de prairies, arrachage de haies …) d’autant plus inacceptables qu’il venait de faire l’objet d’un arrêté de protection de biotope.

Le site avant sa destruction, avec ses haies et ses prairies - Photo Eric Brunissen

Le site avant sa destruction, avec ses haies et ses prairies – Photo Eric Brunissen

Historique du dossier

Pour rappel, ce projet de connexion routière de 6 kilomètres, évalué à environ 16 millions d’euros à la charge du Conseil départemental, était dans les cartons depuis la construction de l’autoroute A4 entre Paris et Strasbourg. Cette route avait pour vocation initiale de soulager les traversées de villages et de renforcer les liaisons avec le pays de Bitche (Moselle).

Les premières études environnementales menées en 2005 étaient largement insuffisantes quant à la prise en compte des enjeux naturalistes, notamment sur le Morstberg. Le Conseil départemental du Bas-Rhin a fait procéder à de nouvelles études en 2010 et 2011 ; celles-ci ont mis en lumière pas moins de 11 habitats naturels et de 90 espèces d’intérêt patrimonial inscrites sur les listes rouges qui ont été observées en une seule campagne de prospection.

En raison de la richesse biologique exceptionnelle du site impacté par le projet de liaison routière entre l’A4 et le village de Lorentzen en Alsace Bossue, Alsace Nature avait déposé des recours devant le tribunal administratif pour faire annuler la Déclaration d’Utilité Publique du projet. Cela avait conduit le Conseil départemental à essayer de mettre en place une médiation. De leur côté, certains élus ont très vivement réagi contre Alsace Nature, qualifiant les militants associatifs de « terroristes environnementaux » dans une lettre ouverte et allant jusqu’à menacer de détruire des milieux naturels – menaces en partie concrétisées par la destruction de haies et du surpâturage programmé dans certaines prairies…

En dépit de la tension forte sur ce dossier, un protocole d’accord assurant une meilleure prise en compte de l’environnement a finalement été signé par les différentes parties en 2013 (Conseil départemental, élus locaux, Alsace Nature). Une modification du tracé a été concédée, ainsi que le maintien des bonnes pratiques de gestion agricoles et l’élaboration d’un Arrêté Préfectoral de Protection de Biotope (APPB) concernant les zones à enjeux dans le secteur. À l’issue de ces discussions, Alsace Nature s’est désistée de son recours et le tribunal en a pris acte le 6 août 2013.

Ainsi, depuis 2013, ce projet a fait l’objet d’un important travail de la part des associations naturalistes rassemblées sous l’égide d’Alsace Nature afin d’évaluer justement les impacts. Malgré tous ces efforts, nous constations dès 2013 et de manière régulière des destructions de milieux naturels (arrachage de haies, destruction de prairies,…). Le 4 août 2016 verra la publication de l’APPB qui devait permettre, comme nous l’avions imaginé au moment du protocole de 2013, la protection de ces mêmes milieux naturels, donc l’espoir de voir ces destructions sauvages cesser.
Pourtant en août 2016 nous constations à nouveaux des destructions de haies.

Début novembre 2016, de nouveaux arrachages de haies ont été constatés dans le lieu dit Witterholz sur la commune de Thal-Drulingen. En février 2017, les destructions prennent une tout autre dimension avec non seulement l’arrachage de haies mais aussi le retournement de prairies dans des secteurs où ces pratiques sont totalement interdites.

Le même site après les travaux - Photo Sébastien Didier

Le même site après les travaux – Photo Sébastien Didier

Illégalité des travaux

Pourtant deux textes interdisent ces pratiques :
• l’APPB qui stipule que sont interdits «toute exploitation forestière », « tout abattage d’arbres fruitiers », « tout retournement de prairies »,
• l’arrêté du Président du Conseil départemental qui instaure l’Aménagement Foncier Agricole et Forestier (AFAF). Cette procédure destinée à redistribuer les
parcelles agricoles et forestière lors d’un projet d’aménagement tel que celui de la RD18 a pour effet, du jour de l’ouverture de la procédure jusqu’à se fermeture, de figer le paysage.

 

Impacts des dernières destructions

La destruction de vergers paturés avec la destruction d’arbres fruitiers et de haies, et le retournement de prairies sur plusieurs hectares à Lorentzen est dramatique pour la conservation entre-autre de trois des espèces les plus menacées d’Alsace et de France : le Pie-grièche à tête rousse, le Pie-grièche grise, et le Milan royal. Ces 3 espèces bénéficient d’un Plan national d’actions décliné au niveau régional et financé par l’Etat français.

Pie Grièche à tête rousse - photo Nicolas Hoffmann

Pie Grièche à tête rousse – photo Nicolas Hoffmann

Les Pie-grièche à tête rousse et Pie-grièche grise comptent moins de 6 couples nicheurs en Alsace et étaient observées sur ce secteur.
Le Milan royal chassait sur ce secteur.
De plus, près d’une trentaine d’espèces protégées étaient recensées sur ce secteur dont la Chevêche d’Athéna qui bénéficie d’un programme de mise en place de nichoirs. Un nichoir a d’ailleurs été retrouvé dans une benne alors que l’arbre porteur était abattu…

 

Avis des associations

Les associations de protection de la nature sont d’autant plus révoltées qu’elles sont les seules à avoir respecté les engagements pris lors des différentes phases de concertation depuis 2013.

Le Conseil départemental s’était engagé à associer étroitement les associations aux travaux d’évaluation environnementale, de définition des mesures d’évitement de réduction et de compensation. Cela n’a pas été suivi des faits. Il doit par ailleurs veiller au bon respect des textes qui régissent les AFAF. Pourtant, l’ensemble des destructions de haies et de prairies qui ont déjà eu lieu et qui lui a été rapporté n’ont jamais fait l’objet de poursuite, excepté un simple courrier de rappel à la Loi. De plus, il n’y a eu dans le cadre de l’AFAF aucune demande de dérogation pour la destruction ou la perturbation d’espèces protégées !

Au moment de la mise en place de l’APPB, la profession agricole s’est rapprochée des associations de protection de la nature pour faire évoluer un des éléments du règlement. Là encore, les associations, partant du principe du partenariat et de la confiance dans la parole donnée, ont accepté de faire évoluer la situation pour ne pas pénaliser inutilement des exploitants agricoles.

Les destructions qui sont actuellement menées sur ce secteur d’Alsace Bossue montrent qu’il n’est finalement pas possible de travailler dans la concertation avec des acteurs qui ne respectent pas les engagements pris.

Les associations ne peuvent que faire le constat que le Conseil départemental du Bas-Rhin est actuellement en train de remettre à plat les décennies de partenariat construit entre les associations et la collectivités : suppression des subventions et non respect des engagements pris avec les partenaires associatifs sont de très mauvais signes actuellement envoyés aux citoyens qui donnent de leur temps pour le bien commun.

Les associations en appellent au Préfet pour qu’il fasse respecter les textes en vigueur sur les espèces protégées, au Président du Conseil départemental pour qu’il applique la règlementation liée aux aménagements fonciers et à la profession agricole pour qu’elle intègre, dans ses pratiques, la question environnementale.

Seul un travail conjoint respectant les engagements pris par le passé permettra de sortir de l’affrontement stérile. La politique des «terres brulées» n’a pas
sa place en 2017.

 
 
VOIR l’ARTICLE DES DNA du 25/02/17 intitulé : Alsace Bossue – Liaison A4-Lorentzen : « destructions illégales de milieux naturels »
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Extraits :

Alsace Nature, la Ligue pour la protection des oiseaux et l’association Nature Alsace Bossue constatent « des destructions illégales » de la nature en marge du projet de connexion routière entre Lorentzen et l’autoroute A4, dans le nord de l’Alsace.

Alors même que les travaux de construction de cette liaison n’ont pas encore commencés, « on a déjà tous les dégâts connexes relatifs au démembrement », s’insurge Daniel Reininger, président d’Alsace Nature.

Depuis 2013, « six parcelles » de vergers, prairies et haies, pour « un total de 50 000 m2 », accordées à des propriétaires fonciers pour compenser la perte de terres cédées pour permettre la construction de cette liaison routière ont été « illégalement détruites », dénoncent les associations de protection de la nature.

De tels faits auraient, selon les associations, des conséquences dramatiques sur la biodiversité, le paysage et la faune. Notamment pour trois espèces parmi les plus menacés d’Alsace et de France. Sur le secteur concerné par l’arrêté préfectoral de protection du biotope, « une trentaine d’espèces protégées d’oiseaux ont été recensées dont trois font partie du plan national d’actions : la pie-grièche à tête rousse, la pie-grièche grise, dont il ne reste plus que quatre couples en Alsace Bossue, et le milan royal qui avait l’habitude de chasser ici », témoigne Cathy Zell, chargée de mission vie associative-communication à la Ligue pour la protection des oiseaux.

Par ailleurs, « sur la colline du Morsberg se trouvent 65 espèces de papillons sur les 130 possibles en Alsace dont 13 figurent sur liste rouge », fait savoir Roland Gissinger, président de l’association Nature Alsace Bossue. « Ce site est d’une richesse exceptionnelle », ajoute-t-il.

Le Collectif GCO NON MERCI vous invite à sa 5ème «MARCHE DES CABANES»

Le Collectif GCO NON MERCI vous invite à sa 5ème «MARCHE DES CABANES»

Alors que les travaux préparatoires au Grand Contournement Ouest (fouilles archéologiques et forages géotechniques) ont commencé sur le terrain, le collectif GCO NON MERCI ne baisse pas les bras et continue ses actions pour obtenir l’abandon de ce projet d’autoroute payante, inutile, inadapté et destructeur.
Rappelons que ce contournement, s’il était réalisé, ne résoudrait pas les problèmes d’engorgement aux abords de Strasbourg mais conduirait à toute une série de nuisances supplémentaires, non seulement dans les communes traversées, mais aussi au niveau de l’Eurométropole : bouchons supplémentaires (échangeur d’Ittenheim), augmentation de la pollution atmosphérique dans la plaine rhénane, nuisances sonores tout le long du tracé, disparition irrémédiable de terres agricoles, atteintes graves à la biodiversité …
IL EST ENCORE TEMPS D’AGIR, ne soyons pas résignés !
Même si les travaux de fouilles archéologiques ont commencé, VINCI est loin de pouvoir commencer les véritables travaux du chantier. Toutes les procédures d’autorisation ne sont pas encore terminées, le plan de financement n’est pas bouclé, des recours juridiques déposés par les opposants n’ont pas encore été jugés …
 
POUR l’ABANDON DU GCO
POUR LA MISE EN ŒUVRE RAPIDE DE VERITABLES SOLUTIONS CONCRETES
POUR DES TRANSPORTS EFFICACES ET DURABLES DANS ET AUTOUR DE L’EUROMETROPOLE

 

SOYONS NOMBREUX !!

le dimanche 12 février 2017

à marcher entre Griesheim sur Souffel et Pfettisheim

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Le rendez-vous est fixé à partir de 9h30, au niveau du nouveau cimetière de Griesheim, à proximité de la déchetterie (pas loin de la cabane anti-GCO de Griesheim/Souffel-Pfulgriesheim). Un café vous sera proposé.
Le départ s’effectuera à 10h00, pour une arrivée vers 11h30 à Pfettisheim. Après un passage près de la cabane anti-GCO, l‘accueil se fera dans la cour de l’école de Pfettisheim.
page web de l’événement : ICI
événement facebook : ICI

29 janvier : Venez nombreux à la Marche des cabanes entre Stutzheim et Griesheim

29 janvier : Venez nombreux à la Marche des cabanes entre Stutzheim et Griesheim

 

MARCHE DES CABANES »
STUTZHEIM-OFFENHEIM – GRIESHEIM sur SOUFFEL

Pour sa 4ème « marche des cabanes », le Collectif GCO NON MERCI  vous invite le dimanche 29 janvier 2017 à marcher entre Stutzheim-Offenheim et Griesheim sur Souffel,
afin de percevoir les milieux naturels et les paysages  de ce secteur qui seraient impactés par le projet de Grand Contournement Ouest (GCO ou COS).
La marche traversera le vallon de la Souffel, menacé par la coupure du remblai de l’autoroute. Nous rejoindrons ensuite une ferme en plein champs sur la rive opposée de la rivière et proche du tracé.
Même si les travaux de fouilles archéologiques ont commencé, le dossier de VINCI est loin d’être bouclé avant de pouvoir commencer les véritables travaux du chantier. Toutes les procédures n’ont pas encore été réalisées (il reste notamment des enquêtes publiques à organiser sur certains aspects tels que la Loi sur l’eau …). VINCI a déposé cette semaine auprès de l’Etat, une demande de prolongation de la Déclaration d’Utilité Publique, n’étant pas sûr de pouvoir démarrer les travaux avant la fin de sa période de validité de 10 ans (janvier 2018).
Même en considérant le scénario le plus favorable à Vinci, la construction de l’autoroute ne devrait pas débuter avant septembre 2017. D’ici-là nous pouvons encore agir pour stopper ce projet insensé !
Rendez-vous dimanche 29 janvier 2017 à 10h00 à la cabane anti-GCO de Stutzheim*.
Arrivée prévue vers 11h30.**
VENEZ NOMBREUX !

*au voisinage de la ferme Quirin. Possibilité de stationnement à l’entrée Est (D41) de Stutzheim.
** petite restauration et boissons prévues à l’arrivée
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:: Télécharger l’affiche de la 4e marche ::


GCO NON MERCI contact@gcononmerci.org

Antenne-relais de Rosheim : la Cour d'appel confirme l'illégalité

Antenne-relais de Rosheim : la Cour d'appel confirme l'illégalité

 
Le 29 décembre 2016, la Cour Administrative d’Appel de Nancy a confirmé ce qu’avait déjà dit le Tribunal administratif de Strasbourg en août 2015 : la décision en date du 27 mai 2010 du maire de la commune de Rosheim de ne pas s’opposer à la déclaration préalable relative à l’implantation d’un relais de radiotéléphonie sur un terrain de la commune, déposée par la société Orange France UPR Nord-Est, est illégale. Son annulation est donc confirmée.
Pour rappel, cette déclaration avait été déposée en avril 2010. Devant la sensibilité de la question des impacts causés par les ondes électromagnétiques diffusées par ces antennes-relais, mais aussi en raison de la localisation du projet, Alsace Nature ne pouvait que réagir. En effet, la parcelle choisie pour l’implantation de l’antenne-relais se situe sur la face nord de la colline du Bischenberg, un site qui présente un intérêt patrimonial et paysager majeur, situé au sein d’un périmètre ENS (espace naturel sensible) et site inscrit.
Il aura fallu attendre plusieurs années pour qu’enfin ce contentieux soit tranché, d’abord par le Tribunal administratif, puis par la Cour administrative d’appel et que soit prononcée l’annulation de l’arrêt de non opposition.
Une victoire importante pour la préservation de ce secteur fragile, même si les arguments retenus pour justifier l’annulation sont plutôt détachés des préoccupations environnementale ayant fondé notre décision de saisir le juge (les caractéristiques des constructions auraient dû donner lieu à un permis de construire et non une déclaration préalable, et le maire a arrêté sa décision avant que le délai imparti à l’ABF pour rendre son avis ne soit échu).
 
 

Continuité écologique du Rhin : Le saumon mené en bateau ?

Continuité écologique du Rhin : Le saumon mené en bateau ?

Vendredi 2 décembre 2016, la coalition « Salmon comeback / pour le retour
du saumon dans le Rhin« , regroupant 21 associations de protection de l’environnement et des milieux aquatiques* des quatre pays traversés par le fleuve, était réunie dans les locaux d’Alsace Nature à Strasbourg.
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Le but de cette réunion était d’élaborer une stratégie commune face à la récente décision d’EDF de mettre en place une navette par bateau pour les saumons qui essaient de remonter le Rhin !
 
En effet, EDF, qui achève bientôt les travaux de la passe à poissons de Gerstheim, souhaiterait, pour des raisons budgétaires notamment, ne pas avoir à construire les 3 autres passes initialement prévues, Sa navette fluviale consisterait à faire franchir aux saumons et autres migrateurs trois barrages d’un seul coup (Rhinau, Marckolsheim et Vogelgrun).
EDF n’a plus que quatre années pour respecter les objectifs du plan saumon 2020 et pour gagner du temps propose ces « navettes ». L’idée est de capturer les poissons dans une nasse au niveau de la centrale hydroélectrique de Rhinau et
de les tracter par bateau vers l’amont via les écluses. Après le barrage de Brisach, les poissons seraient relâchés dans le Vieux-Rhin d’où ils pourraient rejoindre Bâle et les zones de frayères via la passe à poissons de Kembs.
Les associations rappellent que « la continuité écologique, c’est permettre aux saumons de remonter le fleuve par leurs propres moyens ».
Cela ne peut être qu’une solution d’attente. Le programme saumon 2020 élaboré par la CIPR, suite à une conférence ministérielle en 2007 à Bonn, ainsi que la directive-cadre sur l’eau, parlent de continuité écologique, pas de « taxi à poissons ».
De plus, rien n’est en effet prévu pour la migration des poissons vers la mer et un problème subsiste concernant les secteurs où le courant les attire directement dans les turbines des centrales où ils se font hacher.
Les ONG (dont Alsace Nature) restent mobilisées. Elles craignent en effet qu’une fois l’objectif  politique atteint (des saumons à Bâle en 2020), l’objectif écologique tombe à l’eau.
LIRE l’ARTICLE de Simone Wehrung dans les DNA du 7 décembre 2016