27 septembre – SOIREE RIED avec pierre Hieber

27 septembre – SOIREE RIED avec pierre Hieber

En compagnie de Pierre Hieber, vidéaste amateur et guide nature, l’association Alsace Nature vous invite à découvrir le Ried, milieu souvent mal connu et qui renferme une faune et flore spécifique d’une incroyable richesse grâce à son film.
RDV vendredi 27 septembre 2013 à 20H00 à la Médiathèque de Benfeld. ENTRÉE LIBRE

Etalement urbain : politique de la CUS

Alsace Nature a prévu d’organiser une journée de réflexion sur la thématique de l’étalement urbain en octobre prochain
 
Illustration de cette problématique avec cet article paru sur Rue89 Strasbourg, le 28 juin 2013 et intitulé :  » Coup de frein à l’étalement urbain : 534 ha agricoles « sanctuarisés » dans la CUS »

Extrait : « Cet effort est insuffisant pour l’association Alsace Nature, dont le président Maurice Wintz souhaite «un moratoire sur la consommation d’espaces pendant au moins 20 ans». Il s’explique : «Pour devenir innovant, il faut suffisamment de pression. C’est le seule solution pour trouver de nouvelles façons d’urbaniser. L’idée serait pendant le moratoire d’avoir un bilan à zéro.
C’est à dire que si l’on urbanise une zone, il faut en désurbaniser une autre, quitte à la dépolluer. Tant que ce sera facile de grignoter des terres, on sera dans le gaspillage d’espaces.
Ce qui est gênant aussi avec cette politique de densification de la ville, c’est qu’elle risque de supprimer les espaces interstitiels, ces terres agricoles qui, comme à la Robertsau, bénéficient de pratiques culturales moins intensives qu’à la campagne. Conserver cela, c’est l’un des vrais enjeux du PLU.»
Par ailleurs, Alsace Nature souhaiterait qu’au niveau national, les autorités décident que les PLU puissent imposer tel ou tel type d’agriculture dans certains «endroits stratégiques».
Sur le thème de la consommation d’espace, la fédération d’associations de protection de l’environnement organisera des Journées d’études cet automne.

Lire l’article en entier

Nouveaux comptages des Grands Hamsters

Nouveaux comptages des Grands Hamsters

Les agents de l’ONCFS ont procédé récemment au comptage des terriers de Grands Hamsters en Alsace.
Le nombre de terriers est à peu près stable par rapport à l’an dernier mais le nombre de communes où l’on trouve des indices de présence de l’espèce est en nette diminution.
Stéphane Giraud, directeur d’Alsace Nature, interrogé par Rue89 Strasbourg s’inquiète de l’inefficacité des réponses apportées par l’Etat sur cette problématique. Et reste pessimiste : «Quand on fait des relâchés, qu’on clôture autour des terriers et qu’on protège les hamsters de leurs prédateurs, je n’appelle pas ça de la protection d’espèce sauvage mais de l’élevage d’animaux de compagnie! Et plus l’aire de présence régresse, plus l’espèce peut disparaître d’un coup. »
 
Lire l’article paru le 23 mai 2013 sur Rue89 Strasbourg : Grand hamster :bientôt disparu ou domestiqué ?
 
Lire l’article paru le 24 mai 2013 dans l’Alsace : Hamsters  : Terriers en légère hausse communes en baisse
 
Lire l’article paru le 24 mai 2013 sur Romandie.com : La situation reste toujours critique pour le grand hamster d’Alsace

Grand Hamster – Sept associations font des propositions

Suite à la conférence de presse tenue le 11 décembre par Alsace Nature et les associations alsaciennes concernées par le Grand Hamster, les DNA ont publié l’article suivant :
« Sept associations de protection de la nature (*) ont décidé d’unir leurs forces de proposition pour définir une stratégie globale de protection du hamster.
L E CONSTAT : en 1993 il n’y avait plus guère que 150 communes en Alsace qui abritaient encore des grands hamsters. L’animal était déjà en voie de disparition et décrochait le peu enviable statut d’animal protégé. Aujourd’hui, ces communes se limitent à 18, pour l’essentiel à l’ouest de Strasbourg, dont 9 comptabilisent moins de cinq terriers sur leur territoire… En tout et pour tout, les hamsters communs ne seraient plus que 309 à vivre à l’état sauvage.
LES CAUSES : l’agriculture intensive et plus particulièrement la maïsiculture, ainsi que l’étalement urbain qui privent le hamster de son habitat naturel (champs de céréales d’hiver ou luzerne sur sol loessique).
LES RESPONSABILITÉS selon les associations de protection de la nature : « L’État, qui a trop tardé à prendre la mesure des enjeux et qui n’a pas su travailler en bonne intelligence avec les acteurs locaux, les collectivités territoriales qui continuent d’aménager et le monde agricole qui, malgré des efforts qu’il faut bien reconnaître, persiste dans des pratiques intensives destructrices de biodiversité », détaille Maurice Wintz, président d’Alsace Nature.
[…] (*) Alsace Nature, GEPMA (groupe d’étude et de protection des mammifères d’Alsace), Sauvegarde Faune Sauvage, CERPEA (centre d’études et de recherches pour la protection de l’environnement en Alsace), Association Nature Ried, APELE (association pour la protection de l’environnement de Lingolsheim et environs) et SOS Grand hamster d’Alsace. »

DOSSIER DE PRESSE
LIRE L’ARTICLE DE PRESSE