Y a-t-il du bonheur dans le pré ?

Y a-t-il du bonheur dans le pré ?

affiche-rencontre-conviviales-agriculture-3Alsace Nature et son groupe sectoriel Mossig vous proposent de participer à cette 3ème soirée conviviale, organisée dans le cadre de leur campagne pour « Des Prix Justes pour le Respect du Vivant ».
Une soirée de témoignages de la part des éleveurs laitiers et des professionnels ayant à faire aux débouchés du lait pour répondre à la question : quelle production et quel prix pour le lait : avec ou sans le respect du vivant ?

En effet, la fin des quotas laitiers risque de conduire à encore plus d’intensification. La pression sur le prix du lait favorise des usines à lait comme le projet des 1000 vaches en Picardie (auquel les associations s’opposent). D’autres élevages s’arrêtent. Pourtant beaucoup d’éleveurs aimeraient pouvoir vivre avec « seulement »  une cinquantaine de vaches. Et que deviendront les prairies ? Quel bien-être connaitront les vaches et les veaux ? Des éleveurs nous parleront de deux options : conversion à l’agriculture biologique ou intensification. Quels peuvent être leurs choix ? Où se trouvent les responsabilités ?

Rendez-vous à La Charrue à Marmoutier le vendredi 11 avril de 18h30 à 22h. Cocktail dinatoire bio (16 € boissons comprises).

Renseignements et inscription obligatoire Alsace Nature au 03 88 37 07 58.

L’écho des terriers de Jojo le blaireau – Mars 2013 – Le goumi !

L’écho des terriers de Jojo le blaireau – Mars 2013 – Le goumi !

Bonjour à tous !!!
De quelle création du bon Dieu cet écho des terriers va t’ il vous parler ?
Je m’en vais vous entretenir d’un végétal trop peu connu des jardiniers français qui régalera dans les années à venir, je l’espère, tous les blaireaux, renards, muscardins et autres mangeurs de baies vivant autour du meyersbuhl pour peu que les essais de multiplication en cours aboutissent !
Son nom scintille, mes amis, tel l’éclat du soleil sur l’acier poli du katana d’un shogun japonais manié par une aube opaline au pied du mont fuji : voici le« Natsu gumi » !
Ce nom qui flore bon le japon, nos amis nippons le donne à un « Elaeagnaceae» qui pousse, jusqu’à 1800 m de haut sous des températures de bac à surgelés.
Selon le professeur Hiboux le système racinaire des arbrisseaux de cette famille serait équipé de nodules qui fixent l’azote atmosphérique afin de produire des substances protéiques chose utile pour l’arbuste lorsqu’il s’agit de s’implanter dans une terre pauvre et très favorable pour les plantes du voisinage qui savent en tirer profit. Certains néo-jardiniers utilisent ce concept à des fins d’engrais vert (Le robinier faux acacia par exemple est un améliorant de sol sur une zone de 15 m à partir du tronc).
Le « Natsu gumi », revenons a lui, est présent au refuge LPO de Pascal et Viviane grâce à la rubrique « annonce » d’un vieux numéro de la revue « fruits et abeilles ». Ce fruitier asiate qui nous a donné ses premiers fruits l’année dernière est l’un des arrières petits « fillots » d’un arbrisseau importé à Baccarat en 1861. Un certain M. Joseph Clarté consacra à ce nouveau venu en 1877 quelques chaleureux écrits qui aurait pu permettre la propagation de ce courtaud, rustique et peu frileux arbuste. Il n’en fut rien. Rebaptisé « goumi » au pays des « brimbelles », la présence de notre feuillu reste peu mentionnée, me semble t-il, hors du plateau lorrain et de quelques localités vosgiennes de St Anould à Senones.
Feuillage caduc, rameaux longs et pendants de 2 à 3 m de haut pouvant être très touffu, le « goumi » sera très apprécié dans un refuge d’accueil animalier par le petit gibier et les oiseaux qui peuvent s’y planquer, y manger, y nicher. Les fleurs en avril-mai petites, blanches-jaunes, mellifères, nectarifères et parfumées feront la joie des butineuses gourmandes !
Les fruits, sortes de micro-olives rouge franc dotées d’un très long pédoncule, légèrement sucrés, astringents, acidulés, gorgés de vitamines et de minéraux, se consomment sous forme de confiture, de gelée, de sirop ou d’un vin appelé « gumishu » au pays des « sushis ».
A cueillir bien mûrs… s’il vous en reste !!!
Résumons : Buissonnant, plus large que haut ne nécessitant pas d’entretien, aimant comme vous et moi les situations chaudes et ensoleillées, s’adaptant facilement aux sols les plus pauvres, le goumi se reproduirait par rejet, bouturage ou drageons, sans aucune difficulté semble t-il.
Vous connaissez ma gourmandise, j’adore les baies ! Je le clame haut et fort : le « Goumi » mérite d’être multiplié afin de rejoindre entre prunelliers sauvages, merisiers, sureaux noirs, groseilliers, cassiers, framboisiers et amélanchiers ces haies dont on raffole !!!
NB : Le Goumi bien qu’auto fertile produit ses fruits en plus grosse quantité si on l’associe à une autre variété, je pose à tout hasard la question à mes lecteurs lorrains et vosgiens : est il un cultivar qui pourrait nous être troqué contre autre chose (Je propose : graines de morelle de Balbis, physalis, radis noirs, racines de consoude de russie ou de bardane japonaise…) ?!!!
A très bientôt,

Raymond nous a quitté !

Raymond nous a quitté !

C’est avec une profonde tristesse que nous avons appris, en ce début de printemps, le décès de Raymond Durr.
Pionnier de l’agriculture biologique, infatigable chercheur de solutions pour allier production et protection de la nature, militant convaincu, Raymond part en laissant derrière lui un grand vide.
Il aura ouvert la voie à de nombreux agriculteurs, à des beaux projets (nous lui devons la Tomme du Ried par exemple) et à une vision de ce que doit être l’agriculture dans des milieux aussi sensibles que les Rieds alsaciens.
Son départ laissera un immense vide dans le cœur de pas mal d’entre nous.
Salut Raymond…

 
Ses obsèques auront lieu jeudi 3 avril après-midi pour un dernier au revoir.

Plus qu’une journée internationale, nous voulons des forêts !

Plus qu’une journée internationale, nous voulons des forêts !

daniele-Foret-en-dangerAlors qu’en ce 21 mars la journée internationale des forêts va permettre de mettre la lumière sur la destruction de la forêt amazonienne, les programmes de reforestation,…il est peu probable qu’on parle de la forêt de proximité, celle au bout du chemin, celle où vous allez promener vos enfants…
Depuis les années 1990, la gestion de nos forêts a connu une évolution plutôt positive, notamment dans les forêts publiques, avec le développement d’une sylviculture plus proche de la nature. Mais les orientations plus récentes ne cessent pas de nous inquiéter dans la mesure où il existe une volonté affirmée d’augmenter la pression de prélèvement sur les forêts. L’usage du bois entre de plus en plus dans une logique industrielle et spéculative dans laquelle on demande à la forêt de s’adapter à l’industrie et non pas l’inverse.
Les conséquences déjà visibles de cette tendance sont le développement des pistes forestières (surdimensionnées), de la surmécanisation de la récolte avec des machines de plus en plus imposantes qui justifient des cloisonnements ajoutant à l’artificialisation des milieux.
Ceci est d’autant plus inquiétant que la future programmation des crédits FEADER (Fonds européen agricole pour le développement rural) qui est en cours de discussion actuellement en Alsace, tend à valider cette orientation. Les 1,5 millions d’euros pour des nouvelles dessertes et 1,3 millions d’euros pour la mécanisation de la récolte sont à mettre en perspective avec les 0,4 millions d’euros pour les plans de gestion ou les 0,5 millions d’euros pour les contrats NATURA 2000.
Il est encore temps d’agir pour que notre forêt ne subisse pas ce que nous avons fait subir à notre agriculture avec tous les “dommages collatéraux” que nous connaissons aujourd’hui (régression de la biodiversité, pollution de l’eau, des sols, de l’air, spéculation sur les céréales,…).
Alsace Nature estime que la pérennité de la forêt passe par un respect de ses fonctionnements écologiques, ce qui suppose, au contraire de l’artificialisation croissante qui se dessine, une réduction de l’artificialisation des forêts (en termes de gestion forestière, mais aussi de gestion des ongulés).
Nous pouvons tous agir dans ce sens : http://foretsebouger.tumblr.com/

Les gagnants du concours Plum'eau "Ma rivière" – 2e édition 2013/2014 –

Les gagnants du concours Plum'eau "Ma rivière" – 2e édition 2013/2014 –

Plum'Eau 2013 - affiche

Au cours du premier trimestre de l’année scolaire 2013/2014, les classes de primaire et de collège avaient la possibilité de participer à la seconde édition du concours littéraire « Plum’eau » , organisé par Alsace Nature en partenariat avec l’Agence de l’eau et l’académie de Strasbourg.

CATÉGORIE – Classes de primaire :

  • 1ER PRIX :
    La classe de CM1 de l’école élémentaire de Boersch, qui gagne une animation nature d’une journée, pour leur histoire imagée « La petite rivière qui voulait voir le monde » ;
  • 2e PRIX :
    La classe de CE2/CM1 de l’école élémentaire Les sources de Burnhaupt-le-haut, qui gagne un livre pour chaque enfant, pour leur « Lettre à mes parents » ;
  • 3e PRIX :
    La classe de CE2 de l’école élémentarie Eléonore de Strasbourg, qui gagne un livre pour chaque enfant, pour son poème écrit sous forme de « Calligramme ».

CATÉGORIE – Classes de collège :

  • 1er PRIX :
    La classe de 4e2 du collège du Rhin de Drusenheim, qui gagne une animation nature d’une journée, pour leur poème « Notre Moder… » ;
  • 2e PRIX :
    La classe de 5e1 du collège Pfeffel de Colmar, qui gagne un livre pour chaque enfant, pour leur recueil de textes ;
  • 3e PRIX :
    La classe de 5e3 du collège Stockfeld de Strasbourg, qui gagne un livre pour chaque enfant, pour leur recueil de poèmes.

Pollution atmosphérique : à quand des solutions efficaces ?

Alors que l’épisode de pollution atmosphérique semble s’achever dans notre région dans l’indifférence quasi générale, il serait temps de tirer les enseignements de ce phénomène qui, sous des formes diverses (particules, oxydes d’azote, ozone…) touche régulièrement notre région et ses habitants. Les causes principales sont connues de longue date, il s’agit de la circulation automobile, et en particulier des motorisations diesel en ce qui concerne les particules. Les conditions météorologiques rendent la pollution plus visible mais en aucun cas ne la génèrent ! Les discours qui se réfugient derrière les apports polluants externes sont purement irresponsables, car même si c’est en partie le cas, cela montre simplement que le problème est de grande ampleur et qu’il justifie encore plus des mesures d’envergure et radicales.
Or que proposent les pouvoirs publics ? Soit des mesurettes ponctuelles comme la circulation alternée, qui si elles présentent une certaine utilité, ne règlent rien dans la perspective des prochains et inévitables épisodes de pollution. Soit, dans le cas régional, de poursuivre les aménagements routiers tels que le GCO pour favoriser encore davantage la circulation automobile ! On a bien vu que le phénomène de pollution, même s’il était un peu plus concentré sur certaines agglomérations, a été d’ampleur régionale.
Alsace Nature estime qu’il ne sert donc à rien de déplacer les axes de circulation car ils continueront à générer une pollution globale dans l’ensemble de la région. Et dans le cas du GCO, il ne permettra même pas une diminution de la pollution à Strasbourg (soulagement du trafic de moins de 4% sur l’actuelle A35, de surcroît transformée en boulevard urbain, ce qui augmentera mécaniquement les bouchons ; induction de trafic venant du GCO sur l’autoroute de Hautepierre de 14 000 véh/jour). Il s’agirait enfin de viser une politique cohérente et coordonnée entre les différentes collectivités visant à réduire significativement le recours aux déplacements automobiles, quitte à déplaire à certains lobbies du BTP. Par exemple :
– gratuité des transports collectifs. On peut s’étonner qu’en Alsace aucune grande ville n’ait pris des mesures de ce type. Cela aurait pourtant eu une double vertu, celle de diminuer le nombre d’autosolistes d’une part et pédagogique d’autre part en montrant que d’autres modes de déplacements sont possibles.
– fiscalisation du diesel
– mettre enfin en place l’écotaxe. Cette initiative vertueuse, servant à financer des transports collectifs a certes fait l’objet d’une opposition féroce par l’agro-alimentaire breton[1]. Mais il s’agit d’un enjeu de santé publique. Et en Alsace, nous avons une de fois de plus loupé le coche d’une mise en œuvre anticipée de l’écotaxe.
Les pouvoirs publics n’ont pas nécessairement montré ce type de courage ces derniers mois… Tant pis pour la santé des Alsaciens et la qualité des écosystèmes.
[1] L’agriculture selon le modèle breton, non contente d’avoir pollué les nappes phréatiques, s’oppose maintenant à l’amélioration de la qualité de l’air !

Rencontrez Alsace Nature près de chez vous !

Rencontrez Alsace Nature près de chez vous !

Alsace Nature vous invite à fêter l’arrivée du printemps à travers une série d’animations proposées par ses groupes locaux.

Mercredi 19 mars, à LINTHAL.

RDV à 14H00 devant la mairie.
Notre groupe local Florival et l’association VAL proposent une flânerie forestière et littéraire à la rencontre du réveil du printemps.
Un parcours sans difficultés permettra à petits et grands de partir à la découverte des prémices de la belle saison, entre faune et flore. La randonnée sera agrémentée de lectures de poèmes et de textes en prose liés à la thématique au printemps : le public cheminera ainsi en compagnie de Victor Hugo, de Jean Giono, de Louis Aragon, de Paul Verlaine, de Jean-Marie Gustave Le Clézio, de Nathan Katz ou encore d’Henry David Thoreau.
Un goûter issu des productions locales bio sera partagé au retour.
Les enfants seront invités à décorer un « arbre à poèmes » de leurs créations littéraires et artistiques. Un document pédagogique bilingue sera remis à chaque jeune participant.
INFOS :
Animation gratuite / Inscription au 03.89.76.31.48 (auprès d’Isabelle, après 19H00) ou par courriel à : val-linthal[at]orange.fr  / Durée totale des activités : 3H00

Vendredi 21 mars, à TRUCHTERSHEIM.

RDV à 20H00, à la maison des services « le Trèfle ».
Notre groupe local Kochersberg invite à une Conférence / Diaporama : « La Nature dans le Kochersberg »
Maurice Wintz, président d’Alsace Nature, y présentera les enjeux de la biodiversité de la trame verte et bleue dans le Kochersberg, avec projection d’un diaporama sur les oiseaux et les milieux naturels du secteur.
INFOS :
Entrée libre / informations  par tél. au 03.88.37.55.42  ou par courriel à : actu[at]alsacenature.org
 

Samedi 22 mars, à STRASBOURG (Robertsau).

RDV à partir de 13H30 au CINE de Bussierre (155, rue Kempf à Strasbourg Robertsau).

Notre groupe local CUS vous propose une Rencontre printanière à la Robertsau.
Rencontre des membres d’Alsace Nature du secteur de la CUS, pour discuter de notre association, des préoccupations sur nos territoires, ou faire connaissance tout simplement… tout cela de façon conviviale et détendue autour d’un verre.
Vers 15H00 nous vous proposons également, une sortie dans la forêt de la Robertsau d’environ 1H00.
INFOS :
Informations et inscription au 03.88.37.55.42 ou par courriel à : actu[at]alsacenature.org
 

Vendredi 11 avril, à MARMOUTIER.

RDV à 18H30, au restaurant «LA CHARRUE» (31 Rue du Général Leclerc) à Marmoutier.
Notre groupe local Mossi vous invite à une soirée/débat ayant pour thème : « Quel prix donner au lait avec ou sans le respect du vivant ? »
Dans l’agroalimentaire, deux enjeux sont particulièrement négligés : le bien-être des animaux d’élevage et la sauvegarde de nos milieux naturels avec leur faune et leur flore.
Les responsabilités sont partagées. Mais comment mieux faire ? Alsace Nature invite à une série de rencontres conviviales avec des professionnels (agriculture et débouchés des produits), et des acteurs de la société.
INFOS :
auprès de Anne Vonesch 06 89 66 71 50 ou anne.vonesch[at]wanadoo.fr  / Inscription au 03 88 37 07 58 ou siegeregion[at]alsacenature.org
Cocktail dinatoire – 14,00€ – sans boissons

Relance du GCO : des conclusions dictées par un lobby et contradictoires avec l'expertise du CGEDD*

Vendredi 7 mars 2014, Alsace Nature membre du « Collectif GCO NON MERCI » a tenu une conférence de presse afin de montrer la réalité des chiffres de l’expertise du CGEDD et constater que ce qui est proposé comme « la solution » pour Strasbourg n’est qu’un leurre.

En novembre dernier, suite à la restitution de l’expertise confiée au CGEDD, le projet GCO était relancé sous forme d’un scénario « GCO+PDU » soutenu aujourd’hui par les exécutifs du Conseil régional d’Alsace, du Conseil général du Bas-Rhin et de la Communauté urbaine de Strasbourg et ce malgré les déclarations antérieures de Roland Ries et Jacques Bigot estimant le GCO « inutile » et étant « une mauvaise réponse à un vrai problème ».
Et si cette résurrection du GCO n’était due qu’à l’effet d’un lobbying, aussi puissant et effréné qu’aveugle ?
En effet, la CCI (Chambre de Commerce et d’Industrie), poussée par le BTP, n’a jamais accepté l’arrêt du GCO en juin 2012, pourtant lié à l’impossibilité pour Vinci de boucler le montage financier du fait du risque de non-rentabilité. La même CCI a mené une intense campagne de lobbying pro-GCO (rédaction à grands frais d’une brochure « GCO 2016, tous gagnants », achats de pleines pages dans la presse locale pour diffuser des communiqués mensongers,…). C’est toujours la CCI qui a obtenu l’expertise du CGEDD et on peut se demander si ce n’est pas la même CCI qui a dicté les conclusions aux deux experts, ingénieurs des ponts, et imprégnés d’une culture du routière. Alors même que nous étions associés à la CCI lors de la rédaction du livre sur les mobilités en 2010, nous regrettons aujourd’hui son obstination. Après avoir rédigé et promu la brochure ‘GCO 2016, tous gagnants », elle refuse aujourd’hui tout échange public et médiatique avec nous sur la question. Pourtant, l’enjeu de la mise en place des bonnes solutions pour Strasbourg devrait réunir tous les acteurs.
Nous avons pris le temps d’étudier le rapport d’expertise, principalement alimenté par une étude commandée au CETE* de l’Est, et les chiffres qui y figurent démontrent l’inutilité du GCO et l’impuissance du scénario « GCO+PDU » à améliorer la situation, au contraire, elle sera pire qu’aujourd’hui. En 2005, l’expertise TTK avait déjà étudiée un scénario identique et conclu qu’il était irréaliste, notamment la partie consistant à transformer l’actuelle A35 en boulevard urbain.
 
Télécharger le DOSSIER DE PRESSE