
Le hamster alsacien sème la zizanie
Un article de presse paru le 26 décembre 2012 dans le courrier international fait le point sur l’actualité du dossier « Grand Hamster d’Alsace ».
Pour lire l’article , cliquer ICI
Un article de presse paru le 26 décembre 2012 dans le courrier international fait le point sur l’actualité du dossier « Grand Hamster d’Alsace ».
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Article de France 3 Alsace du 21 décembre 2012
sur la cartographie des ondes de téléphonie mobile au niveau de la Communauté Urbaine de Strasbourg.
La municipalité avait levé le moratoire concernant l’installation des antennes -relais. L’opposition est opposée à la levée de ce moratoire.
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A l’initiative du Groupe d’Étude et de Protection des Mammifères d’Alsace (GEPMA), des « Mardi nature » alternant Film, diaporama et conférences ont lieu une fois par mois au Musée zoologique de Strasbourg.
La troisième soirée de ce cycle concernera « Les oiseaux, l’hiver en Alsace » et se déroulera le 18 décembre 2012 à 20h00
A l’approche de l’hiver, de nombreuses espèces d’oiseaux de notre région migrent vers des zones plus clémentes, pour trouver ailleurs la nourriture dont elles ont besoin et qui leur fait défaut en Alsace durant les mois les plus rigoureux.
Une petite proportion reste, car leur régime alimentaire le leur permet. Cette population est rejointe par de nombreuses autres espèces, venues du Nord de l’Europe ou des régions polaires où elles nichent en été, et qu’elles fuient à leur tour pour échapper au froid glacial de ces régions.
Il s’agit principalement des oiseaux d’eau, qui trouvent sur les plans d’eau alsaciens et le Rhin un site idéal d’hivernage. L’Alsace accueille ainsi le deuxième site d’hivernage le plus grand de France, après la Camargue.
C’est l’histoire de ces différentes espèces d’oiseaux qui passent l’hiver en Alsace que vous propose de vous expliquer Paul Koenig, ornithologue chevronné, administrateur de la Ligue pour la Protection des Oiseaux et bagueur à la Station ornithologique de Munchhausen.
Entrée libre<
Le délégué interministériel est chargé de préparer et de coordonner, sous la responsabilité du ministre chargé de l’énergie et dans le respect des conditions prévues notamment par les articles L. 593-25 et suivants du code de l’énergie, les opérations nécessaires à la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim et à la reconversion du site.
A cette fin, il conduit, au nom du ministre chargé de l’énergie et en lien avec l’Autorité de sûreté nucléaire, la négociation d’un protocole d’accord avec l’exploitant (EDF), précisant :
― les conditions juridiques, techniques, économiques et sociales de la fermeture ;
― les conditions de démantèlement de l’installation, notamment en ce qui concerne les rejets, l’état final du site, l’exutoire des déchets issus du démantèlement, en vue de la mise en œuvre des procédures prévues notamment à l’article 37 du décret du 2 novembre 2007 susvisé ;
― les modalités d’accompagnement des salariés concernés par la fermeture ;
― les modalités de participation de l’exploitant au devenir du bassin de vie et d’emploi de Fessenheim.
Le délégué interministériel élabore, en s’appuyant sur les services du gestionnaire du réseau public de transport (RTE) et à partir d’une analyse des conséquences de la fermeture sur l’alimentation électrique de la région Alsace, le plan permettant d’assurer l’équilibre du réseau local, national et, le cas échéant, transfrontalier.
Pour l’accomplissement de cette mission, il peut faire appel aux administrations de l’Etat et aux établissements publics nationaux pouvant concourir à son action.
Suite à la conférence de presse tenue le 11 décembre par Alsace Nature et les associations alsaciennes concernées par le Grand Hamster, les DNA ont publié l’article suivant :
« Sept associations de protection de la nature (*) ont décidé d’unir leurs forces de proposition pour définir une stratégie globale de protection du hamster.
L E CONSTAT : en 1993 il n’y avait plus guère que 150 communes en Alsace qui abritaient encore des grands hamsters. L’animal était déjà en voie de disparition et décrochait le peu enviable statut d’animal protégé. Aujourd’hui, ces communes se limitent à 18, pour l’essentiel à l’ouest de Strasbourg, dont 9 comptabilisent moins de cinq terriers sur leur territoire… En tout et pour tout, les hamsters communs ne seraient plus que 309 à vivre à l’état sauvage.
LES CAUSES : l’agriculture intensive et plus particulièrement la maïsiculture, ainsi que l’étalement urbain qui privent le hamster de son habitat naturel (champs de céréales d’hiver ou luzerne sur sol loessique).
LES RESPONSABILITÉS selon les associations de protection de la nature : « L’État, qui a trop tardé à prendre la mesure des enjeux et qui n’a pas su travailler en bonne intelligence avec les acteurs locaux, les collectivités territoriales qui continuent d’aménager et le monde agricole qui, malgré des efforts qu’il faut bien reconnaître, persiste dans des pratiques intensives destructrices de biodiversité », détaille Maurice Wintz, président d’Alsace Nature.
[…]
(*) Alsace Nature, GEPMA (groupe d’étude et de protection des mammifères d’Alsace), Sauvegarde Faune Sauvage, CERPEA (centre d’études et de recherches pour la protection de l’environnement en Alsace), Association Nature Ried, APELE (association pour la protection de l’environnement de Lingolsheim et environs) et SOS Grand hamster d’Alsace. »
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