Journée Portes Ouvertes de la Ferme Apicole du Neuhof

La Ferme Apicole du Neuhof et Asapistra, Association Apicole de Strasbourg, organise le dimanche 01 septembre 2013 de 10h à 19h, les leur 8e Journée Portes Ouvertes.
Une occasion unique de découvrir le monde des abeilles, de déguster des produits de la ruche, de participer à des conférences et ateliers… seront proposés à la Ferme Apicole du Neuhof. On pourra y voir comment vit et travaille l’abeille et découvrir cet insecte fabuleux, mais menacé.
La JPO de la Ferme Apicole du Neuhof, organisée depuis 2006, véritable salon des miels et de l’apiculture de Strasbourg a pour vocation de rassembler les différents acteurs directs et indirects liés à cette branche agricole pour créer une véritable dynamique régionale ; carrefour d’échange et lieu de rencontre, la JPO affirme son rôle de forum convivial en jalonnant le parcours des visiteurs de rendez-vous festifs.
 
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Le chantier "Physalis" en image

Les trois semaines de chantier ont permis à l’architecte allemand Marcel Kalberer de coordonner la partie technique. Des bénévoles locaux, mais aussi de Dresde et de Kermit (Allemagne), sont venus prêter main-forte. Une petite cabane a été rajoutée, et le plan a quelque peu changé pour permettre la circulation des véhicules si besoin.
Pour les promeneurs du parc Burrus, il sera intéressant d’observer ce monument végétal tout au long de l’année. (L’ALSACE du 13 avrl 2013)
Film Olivier PEPIN

"Pour un choc d'ambitions" – AG Alsace Nature

Suite à l’Assemblée générale d’Alsace Nature qui s’est tenue le 27 avril 2013, l’Alsace a publié un article intitulé :
« Alsace Nature pour un « choc d’ambitions »

 « La nature a besoin d’un souffle politique et administratif nouveau », estime Maurice Wintz, président régional d’Alsace Nature, qui a tenu son assemblée générale à Sélestat.
 
« La crise financière et économique sert de prétexte à lâcher du lest sur l’environnement, comme si les crises économiques et écologiques n’étaient pas liées par les mêmes causes » , estime Alsace Nature. Mais cette fédération de 140 associations et 2 500 membres individuels ne lâche pas prise, déterminée, plus que jamais, à
agir pour « plus de protection de la nature ».
 
C’était le message de ses trois présidents, Maurice Wintz pour l’Alsace, Jean-Paul Lacote pour le Haut-Rhin et Jean-Claude Claveri pour le Bas-Rhin, aux nombreux militants réunis en assemblée générale samedi à Sélestat, ainsi qu’au président du conseil régional, Philippe Richert, et au directeur régional de la Dreal (Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement), Marc Hoeltzel.
 
La protection de la nature est d’intérêt général, elle profite à toute la collectivité.« 

 
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L'écho des terriers de Jojo le blaireau – Mai 2013

L'écho des terriers de Jojo le blaireau – Mai 2013

Voici le dernier volet de cette trilogie printanière spécial anniversaire !

Vous l’attendiez fin Avril ne-te-découvres-pas-d’un-fil et le voilà en Mai fais-ce-qu’il-te-plait !

Classé comme le plus grand de nos mammifères insectivores bien qu’il soit plutôt omnivore, le « niglo » comme l’appelle les gitans – cela se traduit par piquant – est l’un de ces animaux que la convention de Berne à bien du mal à protéger.

A l’issue de cette lecture, les non initiés aux gestuels des « compagnons de la croix verte » auront, je l’espère, une approche moins basique de l’Erinaceus Europaeus, nom latin du hérisson, qui est, cela va sans dire, notre pelote d’épingle préférée ! Quelques spécialistes n’y apprendront rien puisqu’ils savent tout, aussi m’escrimerais je dans la langue de molière à les amuser à défaut d’ « inculquer » !

Ouf ! Fin du prologue !

Lançant ma plume versatile sur cet espace d’écriture tel un patineur sur la glace, je souhaiterais saluer l’habile Stéphane Giraud, le président d’Alsace Nature, pour sa dextérité dans l’art d’éconduire la bavure avant qu’elle ne soit !

Vous avez tous reçu dernièrement cette photo craquante qui annonçait ce courriel ?!

Et bien posséder le charmant petit hérisson de la photo sous nos latitudes relèverait a priori du pénal car l’animal est en effet non un européen mais un adapté des brousses et des déserts de l’Afrique. Ses oreilles surdimensionnées à l’instar des sonars du fennec, malodorant cousin du renard, sont des instruments d’écoute qui semblent caractériser certains chasseurs des sables.

Les organes auditifs de notre Erinaceus local sont beaucoup plus discrets.

Ils suffisent alimentairement à détecter le glissement d’un vers de terre dans l’herbe.

Il lui est inutile de pasticher Jumbo l’éléphanteau, le prince Charles ou l’interprète du « poinçonneur des lilas » pour se nourrir.

Puisque nous parlons équipement de détection, «anecdotons ».

Lorsqu’il chasse, notre ami promène sa truffe tel un chercheur de trésor sur le plages du littoral en période estivale.

Capacité de détection des aliments : 3 cm sous terre.

Nous admirons la performance.

Il en fait usage sans discrétion, aucune.

Ce n’est pas pour rien que nos voisins anglais l’appelle « hedgehog », le goret des haies !

Pour manger, notre bogue de châtaigne sur pattes fait un tel barouf qu’on ne l’imagine pas si petit !

Postez vous à l’affût en début de nuit près d’une rangée buissonnante, clôture ou autre chemin de passage et… vérifiez !

Ça grogne, renifle, renâcle, soupire, mastique ? Ça fouille en grommelant racinaires et feuillage épars ? Ça projette avec hargne quelques décigrammes de terre en trop sur vos chausses imperméabilisées vert kaki de pisteur « vieux campeur » ?

C’est lui !!!

Après plus d’un semestre de comas alternés par de courts sursauts d’activité, ceux qui ont survécu à l’hiver ont repris leur rythme biologique des beaux jours composé de 18h de sommeil pour 6h de chasse.

Deux objectifs en ce mois de mai où les fleurs volent au vent si mignonnement : assurer la descendance par portées de quatre à six petits et reprendre du bide, les stocks de graisses disponibles étant généralement au plus bas !

Notre ami brûlerait pendant sa période de léthargie 2 grammes de gras par jour. Faites le calcul. Plus de six mois de sommeil épuisent rapidement le stock de nutriments disponibles, d’autant que chaque semaine, ce ténor du dodo, doit impérativement s’ébrouer et deux trimestres à faire le yo-yo avec la régulation thermique, le cycle ventilatoire et le rythme cardiaque, ça creuse !

Et pourquoi notre ami doit il s’ébrouer ?!

Réponse : ses hypothermies entraînent une acidémie, c’est à dire une diminution du PH du sang, et ça, c’est pas bon pour l’organisme.

En clair, chaque année de nombreux hérissons succombent entre janvier et mars car ayant épuisés leurs réserves il leur faut sortir sur un sol gelé trouver une nourriture qui leur fera fatalement défaut.

Vous avez bien lu : ils meurent de faim.

Vous voulez jouer l’utilité et l’efficacité ?

OK ! C’est parrrti !

Prévoyez dès cette année un poste fixe de distribution de nourriture qui pourvoira au froid.

Si présence de chats vous couvrirez la gamelle. Le couvercle utilisé dépassera de quelques centimètres. Sieur Hérisson selon la Hulotte n’en doutez pas de son nez s’en jouera.

Quand approvisionner la gamelle ?

En été pendant les grandes sécheresses : limaces, escargots, vers de terre se mettent en effet hors de portée en s’enfouissant au frais.

Vous réitérerez en automne par un approvisionnement régulier puis, au besoin, en période gélive.

Vous l’aurez compris, un hérisson trop fluet (juvéniles de seconde portée, adultes malades ou vieillards séniles) en septembre sortira des effectifs des bons vivants au printemps.

Dans le doute, pesez.

Si votre peluche à puces fait moins de 450 gr à la Saint Adelphe, attention danger !

Un adulte normalement constitué devrait osciller entre 800 et 1200 gr !

Confinez notre mal portant provisoirement au calme dans un carton contre une bouillotte et contactez sans attendre le centre de soins ou le véto le plus proche qui devrait pouvoir vous conseiller, vous relayer ! Si ce n’est le cas voir plus bas les adresses fournies !

(Le carton n’est pas une cage ! Champion de l’évasion votre alité n’y restera pas longtemps !)

Que donner en pitance ?

Pour boisson, au lait de vache qu’il faut impérativement proscrire, vous préférerez l’eau, le fortol (aliment liquide hyper digestible et hyper appètent destiné à la réalimentation des animaux convalescents) ou le lait de chèvre.

Pour aliment solide, au pain, vous préférerez du pâté pour chat.

Achat-cadeau pour la mamie à hérisson du quartier ? Faites lui parvenir par un alsacien de l’igelfutter, c’est le corned beef spécial niglo commercialisé dans les animaleries allemandes.

Ils sont forts ces germains

Bad news from the stars… chantait Gainsbourg.

Des observateurs et scientifiques outre manche prédisent la disparition du hérisson sur le sol britannique pour 2025.

En 1950 il y en avait 30 millions.

En 1995 il en restait 1,5 millions seulement.

(95% de perte en 60 ans).

Le pays de Molière vaut bien la perfide Albion.

L’activité humaine y abaisse l’espérance de vie du « niglo » qui pourrait être d’une décennie à 2 ans !

Quels sont les principaux facteurs de ces chiffres accablants ?

Le trafic autoroutier

430 km de macadam suisse étudiés pendant 5 ans prouve qu’un hérisson meurt tout les 300 mètres chaque année !

Une étude effectuée par l’école vétérinaire de Nantes relèverait deux pics.

Mai-Juin. Ce sont surtout les mâles reproducteurs qui se feraient avoir en visitant les territoires des femelles fréquentables.

Août-octobre. Hécatombe chez les petits inexpérimentés et leurs mamans ralenties et affaiblies par la maternité.

L’empoisonnement alimentaire

Montré du doigt, les jardiniers adeptes de l’anti-création qui améliorent leurs rendements à coup de germicides, insecticides et désherbants font évidemment de gros dégâts. Le métaldéhyde molluscide étant l’ennemi public numéro un, tous les amoureux du beau, du bon, du merveilleux, vanteront le Ferremol de substitution quand les pièges à bières, barrages de cendres et d’ aiguilles d’épicéa s’avèrent inefficaces.

Je connais certains « puristes » qui utilisent les planches où les bâches à limaces sous entendant la récupération matin et soir des « baveux » qui s’y sont réfugiés.

A défaut d’avoir sous la main un laborantin qui en fasse de l’hélicidine, (eh oui ! le sirop antitussif !), il vous faudra si vous voulez les rejoindre – méthode dure – d’un coup de ciseau habile trancher, – méthode douce – vous en débarrasser dans un proche terrain vague (et non dans le jardin de votre funeste voisin !).

Le brûlage et débroussaillage

Chaque année, par milliers, ils sont brûlés vifs et déchiquetés.

Chaque année des agents d’ espaces verts, des agents communaux, des particuliers deviennent par ignorance, négligence ou malgré eux, des prédateurs-tueurs.

Au refuge du vordermeyersbuhl, nos belles âmes néo rurales jardinent gaiement dans l’amitié du bon Dieu et/ou de sa création : on ne brûle plus et comme rien ne se perd, on recycle.

Tout bois ou tas de feuilles non utilisé servira de matériaux de construction pour des abris adaptés.

Amies musaraigne et couleuvre, frère orvet et troglodyte, sœur salamandre, crapaud, hérisson et insectes divers, « oyez » le, nous assurons le gîte et le couvert !

Le parasitisme

Puces et tiques affaiblissent notre sympathique ami. L’infestation aboutit parfois sur des myiases : la multiplicité des piqûres engendre vite des plaies vives et purulentes où grouillent rapidement des colonies d’effroyables asticots affamés.

J’ai oui dire que certains jardiniers traitaient leur piquant ami contre le parasitisme leur assurant au passage quelques années de vie supplémentaires !

Bravo ! Excellent !

Si vous avez vous aussi, chanceux, un Hérisson à chérir, voici quelques dernières mentions glanées !

Vous utiliserez du frontline pour les puces, le retrait manuel pour les tiques, la moxidectine pour les acariens, la griséofulvine et l’énilcoazole pour les champignons suivant fidèlement les directives de votre ami vétérinaire.

Quand au tartre et gingivites, ils sont souvent le fruit d’une alimentation trop molle du type « j’ai familiarisé mon hérisson à ne manger que du Shebaa ! ».

Quelques sites qu’il est impératif de consulter si vous voulez parfaire vos connaissances : le sanctuaire des hérissons, l’Aspas, le Gorna Alsace-Lorraine et bien évidemment les associations de la rue Adèle Riton (Lpo – Gepma – Alsace Nature) !

Allez je vous balance la petite info qui agrémentera votre prochaine rencontre, votre prochaine photo !

Savez vous comment dérouler un hérisson qui s’est mis en boule ?

Faites comme moi, glissez votre main sous son ventre et de l’index chatouillez le !

Bon mois de mai à tous !

Votre mustélidé préféré : Jojo le rigolo

L'écho des terriers de Jojo le blaireau – Avril 2013

L'écho des terriers de Jojo le blaireau – Avril 2013

L’opération « amours des anoures » que je vous annonçais première quinzaine de Mars n’a débuté rue Altenhoff à Metzeral que le 10 avril 2013 pour s’achever (normalement) avant hier !
Malgré les quelques tracts apposés dans les commerces, un article de presse, une intervention radio, les panneaux artistiques de Jean Martin représentant des grenouilles invitant les conducteurs à ralentir leur allure, la mobilisation fut faible !
C’est normal : c’était la première année !
Une dizaine d’intervenants ont pu cependant sauver, en se relayant pendant plus d’une semaine de 21 heure à minuit, près de 900 grenouilles et crapauds !
Le nombre d’évacués par rapport au nombre d’écrasés étant très largement supérieur, nous parlerons de succès…
Même sur une route de faible circulation, pour nos amis batraciens, tout engagement de véhicule devient un pur danger.
Trois raisons principales à cela.
Un crapaud pourrait mettre jusqu’à vingt minutes pour traverser une chaussée de sept mètres de large.
Face au danger le crapaud se fige au lieu de détaler.
De nombreux mâles, prévenants, prévoyants, opportunistes, n’ayant la patience d’attendre d’être dans l’eau pour entamer les procédures d’approche, se font porter par leur dulcinée jusqu’à la mare ralentissant de ce fait les mortels franchissements d’asphalte.
A noter que, la création étant bien faite, la « moitié » de Monsieur en fait le plus souvent le double.
J’attire, sur ces déclarations, l’attention de tous les petits maris poids plume. Ne faites pas mauvais emploi de cette lecture. Votre épanouie et dodue épouse NE SERA JAMAIS la « Rossinante » attitrée de vos déplacements.
Ce qui est valable pour le Bufo bufo (nom latin de notre ami batracien) ne l’étant que pour le Bufo bufo…
Comment s’est déroulée notre action ?
Les deux premières nuits de sauvetage, l’opération fut simple.
Il s’agissait de transporter à la mare la plus proche de la direction empruntée les amphibiens récupérés. Ils hivernent aux abords de leur point de reproduction s’en rapprochant dès l’automne.
La love migration, au cours de la troisième nuit, se transforma pour les noceurs en chassé croisé délicat : les crapauds ayant procréé quittaient la mare, croisant ceux qui, n’ayant pas encore consommé l’acte printanier, s’y rendaient !
Un casse tête pour les sauveteurs !
« Et celui là, où qu’c’est qu’il veut aller ? » devînt un refrain pour chacun !
Nous remercions d’ailleurs Jeannine, membre LPO, pour les explications fournies sur ces notions de déplacement. Elles nous échappaient et nous étions partis pour ramener inlassablement à la mare ceux qui souhaitaient la quitter !
Ce qui eut fait désordre !
Une réunion soldera prochainement cette action réunissant au passage les membres d’une nouvelle section associative sur Metzeral vouée 100% à la protection nature. La LPO, Bufo Bufo, Alsace Nature, l’Aspas, l’association Mélés, la fondation Bardot et la SPA, y seront mises à l’honneur. Une adhésion de la section aux différentes revues éditées par les associations de la rue Riton de Strasbourg sera proposée.
(Que les lecteurs de la vallée relaient l’info à leurs amis écolos de Mittlach, Mulbach, Metzeral, Sondernach, cette section est pour eux!)
Pour clore ce courriel…
Oui je sais c’est un peu long aujourd’hui mais certains d’entre vous (quatre) sont devenus membres des baladins via les cinq euros de cotisation annuelle. Je voudrais m’assurer qu’ils en aient pour leur argent. Comme il y a peu d’adhérents, je ne voudrais pas les perdre en cours de route !
Pour clore ce courrier donc, disais je, je vous propose un article consacré à la sève d’ un arbre mythique pour de nombreuses peuplades du Nord, de la Scandinavie à la Sibérie.
Cousin du charme, aulne et noisetier, symbole de luminosité, voici la sève du bouleau !
Pascal à invité les quelques membres fondateurs des « baladins du meyersbuhl » à partager gratuitement cette cure tant vantée. Je mets en gras la gratuité, cet élixir de Dieu généreusement donné aux hommes étant commercialisé par les petits malins de l’écolo-business jusqu’à 30 euros le litre à Paris !
Posologie : un verre de 150 ml le matin à jeun pendant 21 jours entre la mi février et la mi avril – variable selon région –
Selon un certain Monsieur Docteur Tétau , ce « nectar »renferme du Bétuloside et du Monotropitoside qui, libère par hydrolyse enzymatique du salicylate de méthyle…
Si vous n’avez rien compris c’est normal : il faut être médecin pour s’exprimer ainsi et médecin pour le comprendre !
A moins de vouloir fanfaronner au sein de vos cercles, vos tablées et réseaux respectifs – en tel cas je vous conseillerai d’acquérir ce langage indécodable ! – vous retiendrez, ce qui est déjà fort habile, que la sève est analgésique, anti-­inflammatoire et diurétique. Elle amincirait.
La sève de bouleau (riche en minéraux, oligoéléments, acides aminés, sucres, antioxydants, vitamines A, E, D3, C, B1, B2, B3, B5, B6, B8, B9, B12, K1 …) permet à l’organisme d’évacuer toxines et déchets organiques (cholestérol et acide urique).
Le silicium permettrait de lutter contre l’ostéoporose,
Le calcium et le phosphore interviendraient dans la solidité des os,
Le potassium rééquilibrerait le rythme cardiaque et interviendrait dans la circulation sanguine,
Le magnésium et le lithium permettraient d’améliorer l’humeur (états dépressifs),
La vitamine C et le sélénium, antioxydants, lutteraient contre le stress oxydatif.
Fortement conseillée pour les trop bien portant, les personnes souffrant de rétention d’eau ou de cellulite. Elle s’emploie depuis des siècles comme dépuratif pour les surcharges diverses de l’organisme… et les problèmes de peau nous rajoute Pierre-François Percy, le chirurgien militaire et inspecteur général du service de santé des armées de Napoléon. Merci Percy !
Dès le douzième siècle, Hildegarde Von Bingen (sainte Hildegarde), vante les bienfaits de ce breuvage.
Le « Malarmé »de la « syphilis congénitale », le dermatologue-vénérologue Fournier, lui octroie le pouvoir de stopper la perte des cheveux. Nous le devinons, au vu de son frontal luisant, un intéressé de la chose !
Le médecin botaniste Matthiole qui fit un carton en publiant son best seller* de l’herboristerie au 16ème siècle – soixante versions, trente deux mille exemplaires – * la considère souveraine contre les inflammations rhumatismales.
A titre de comparaison sur le succès mis en avant, le roman photo commenté par Valérie Trierweiller sur son compagnon-président paru l’été dernier plafonnait deux mois après parution à moins de 2000 exemplaires vendus. (source / L’Express).
Imaginez vous le succès si ce Pulitzer praticien du végétal avait bénéficié en 1534 du pouvoir des mass médias actuelles ?
Bon, ne nous égarons pas et achevons ce courriel.
Ceux qui ont l’habitude de sortir de l’hiver enrobés et engourdis d’avoir trop hiberné n’auront qu’à me rejoindre en Mars 2014 pour chanter le « Buvez, éliminez ! » mercantile des spots publicitaires.
Le dangereux biosphénol A, ce poison dont l’on nous fait savoir aujourd’hui la haute toxicité et qui sera présent dans les embouteillages plastiques de flotte peut être encore jusqu’en 2015, date à laquelle les brillants savants pétrochimistes agro-alimentaires des rockfeller’s instituts devraient l’avoir remplacé semble donner d’ailleurs un double sens à ce slogan.
« Buvez, éliminez ! » !!!
Humour de mauvais goût, je vous l’accorde mais jeu de mot au passage.
Quoi qu’il en soit, pour la sève de l’année prochaine, nous utiliserons la bonne bouteille de verre de grand mère !