[CDD-remplacement congés maternité] Un.e Coordinateur.ice de réseau

[CDD-remplacement congés maternité] Un.e Coordinateur.ice de réseau

CONTEXTE :

L’association Strasbourg Initiation Nature Environnement gère le Centre d’Initiation à la Nature et à l’Environnement de Bussierre (Strasbourg Robertsau). Elle fait partie du réseau régional d’éducation à la nature et à l’environnement (réseau Ariena). Elle a pour objet :

  • D’organiser, coordonner et promouvoir des actions d’éducation à la nature et à l’environnement de tout public sur le territoire de l’Eurométropole de Strasbourg et ses environs ;
  • De gérer le Centre d’initiation à l’environnement de Bussierre et ses équipements mis à disposition dans un objectif d’éducation à la nature et à l’environnement, et notamment :
    • d’organiser l’accueil des publics et des associations intervenant sur le site de Bussierre,
    • de mettre en oeuvre l’éducation à la nature et à l’environnement au sein des bâtiments et des espaces extérieurs,
    • de garantir la qualité et la cohérence des actions éducatives.
  • D’animer tout lieu mis à disposition de l’association pour la mise en œuvre d’actions d’éducation à la nature et à l’environnement
  • D’apporter sa compétence pédagogique au service de projets de sensibilisation du citoyen sur le territoire de l’Eurométropole de Strasbourg et ses environs ;
  • De réunir et favoriser la montée en compétences des acteurs, en particulier associatifs, œuvrant dans le domaine de l’éducation à la nature et à l’environnement sur le territoire de l’Eurométropole de Strasbourg et ses environs.
  • D’organiser des formations relatives à la transformation écologique et sociale du territoire de l’Eurométropole de Strasbourg et ses environs

Dans le cadre de la déclinaison de la feuille de route eurométropolitaine d’Education à l’environnement, l’Eurométropole de Strasbourg a souhaité renforcer dès 2021 le rôle de coordination de réseau de l’association SINE, en soutenant la création d’un poste dédié.

L’association SINE recrute un.e coordinateur.ice de réseau d’éducation nature et environnement, en CDD, en remplacement d’un congés maternité de janvier à septembre 2025.

MISSIONS

Sous la responsabilité du Président, du Conseil d’administration et de la directrice de l’association, le/la coordinateur.ice aura pour mission :

La structuration du réseau éducation à l’environnement sur l’EMS

Le réseau se structure petit à petit avec une charte qui a été co-construite avec les acteur.ices du réseau. La compréhension de cette charte, l’appropriation de ses valeurs, est un travail sur le long terme, qu’il est nécessaire de continuer et d’approfondir avec les acteurs.

  • Continuer à identifier les acteurs engagés dans le domaine de l’ENE sur le territoire de l’Eurométropole de Strasbourg, apprendre à les connaître, identifier leurs besoins et ce faisant, enrichir la cartographie des acteurs du territoire déjà existante ;
  • Réunir ces acteurs dans la continuité du travail abordé préalablement avec eux, en répondant à leurs besoins ;
  • Faciliter la co-construction de ce réseau en proposant et animant des temps d’échanges et de travail en collaboration ;

L’animation pédagogique auprès des acteur

  • Coordonner et animer des temps de travail collectif sur des thèmes répondant à la fois, aux besoins du territoire et des acteurs, et à la déclinaison de la feuille de route eurométropolitaine d’éducation à l’environnement ;
  • Apporter conseil et expertise auprès des associations qui souhaitent développer des actions d’éducation et sensibilisation à l’environnement sur le territoire EMS ;
  • Coordonner l’organisation d’événements inter associatifs (Faut qu’on s’bouge, Journées Nature et patrimoine, temps fort à l’Orangerie…) ;
  • Organiser la montée en compétences des acteurs du réseau sur le volet pédagogique, faciliter leur accès aux lieux d’animations du territoire (Bussierre, Orangerie, lieux annexes…)
  • Assurer une veille sur les dispositifs d’aide aux associations, les appels à projets, les formations, les événements pour une mise en cohérence sur le territoire et un partage au sein du réseau via des mails et une newsletter ;
  • Mettre en lien des acteurs selon les thématiques, les compétences et la localisation des projets ;
  • Coordonner la co-construction de programmes pédagogiques inter-associatifs ;
  • Coordonner le programme inter-associatif grand public de SINE et ses partenaires au sein de Bussierre, de l’orangerie, et sur le territoire EMS.

Les relations partenariales

  • Travailler en étroite relation avec les services de l’EMS sur le sujet de l’éducation à la nature et à l’environnement : participer activement (co-construction, bilan, perspectives…) au comité technique (instance de travail interne à l’EMS) ;
  • Apporter son soutien et son expertise dans le cadre de l’appel à projets éducation à l’environnement en participant aux auditions des porteurs de projets.

Vie de l’association

  • Participer activement aux réunions de coordination internes à SINE pour remonter les sujets du réseau et soutenir la Direction dans ses prises de décisions et ses missions ;
  • Participation active et implication dans les événements publics organisés ponctuellement par SINE
  • Prise en charge du volet accueil du public et secrétariat en cas d’absence d’autres collègues

En plus de ces missions la personne contribuera à la vie quotidienne de l’association : participation aux réunions d’équipe, aux journées de formation et aux temps conviviaux de SINE etc…

LIEU DE TRAVAIL

Centre d’Initiation à la Nature et à l’Environnement de Bussierre avec des déplacements fréquents à l’ancienne mini-ferme de l’Orangerie ainsi que sur le territoire de l’Eurométropole de Strasbourg.

TYPE DE POSTE,
expériences et qualifications souhaitées

  • Poste en CDD à temps plein
  • Expérience exigée dans l’animation de réseau
  • Bonnes connaissances du milieu de l’éducation à l’environnement
  • Bonne connaissance du tissu associatif local
  • Bonne qualités relationnelles et d’écoute, organisationnelles et capacités rédactionnelles
  • Expérience dans la conduite de réunion et de projet exigée
  • Expérience dans l’organisation d’événements souhaitée
  • Utilisation des outils informatiques de base (bureautique, présentations, internet)
  • Permis B nécessaire

Rémunération Basée sur la Convention collective ECLAT indice 375

MODALITÉS ET ÉCHÉANCES

Envoyer CV et lettre de motivation à l’adresse mail suivante : inscriptions@sinestrasbourg.org
Ou par courrier à
Monsieur le Président
CINE de Bussierre
155 rue Kempf
67000 STRASBOURG

Réponse souhaitée pour le 15 décembre 2024
Date d’embauche souhaitée : Janvier 2025

Décès de Bernard Sigrist

Décès de Bernard Sigrist

Alsace Nature, Association fédérative régionale de protection de la nature en Alsace, a la grande tristesse de faire part du décès de Monsieur Bernard SIGRIST, survenu le 15 octobre 2024, dans sa 93e année.

Bernard Sigrist, s’est, dès le plus jeune âge intéressé aux fleurs, aux plantes, aux arbres, aux animaux. Infatigable défenseur de la Nature, il s’est engagé rapidement au sein de plusieurs associations.

Dans les années 1960, il a encadré des groupes au sein des « Jeunes amis des animaux de Mulhouse ». Naturaliste passionné, il a animé de nombreuses visites guidées, participé à la créations de mares pédagogiques etc…

Il a été président de la section haut-rhinoise d’ALSACE NATURE de 1987 à 1992.

Dans les années 1990, il s’est beaucoup investi, avec les Amis du Moulin de Lutterbach pour faire de cette ancienne savonnerie, un Centre d’Initiation à la Nature et à l’Environnement, « le Moulin Nature », dont il était encore vice-président engagé jusqu’à la fin de sa vie.

Son engagement s’est porté parallèlement au niveau régional au sein de l’ARIENA, réseau alsacien d’éducation à la nature.

Il a aussi fortement contribué à la création du Centre d’Initiation à la Nature et à l’Environnement de Hirtzfelden.

 

Alsace Nature lui restera reconnaissante pour son engagement. Bernard part en laissant derrière lui un grand vide…

Une cérémonie à sa mémoire aura lieu à PFASTATT le Jeudi 24 Octobre à 14H30 en l’église St-Maurice.

[Communiqué de FNE] L’Europe affaiblit la protection du loup : un coup dur pour la science et la biodiversité

[Communiqué de FNE] L’Europe affaiblit la protection du loup : un coup dur pour la science et la biodiversité

Mercredi 25 septembre, le Conseil de l’UE a adopté la proposition de la Commission européenne visant à abaisser le statut de protection du loup dans le cadre de la Convention de Berne. Ce changement ouvre la porte à l’abattage des loups comme fausse solution à la prédation du bétail, ce qui va à l’encontre de l’engagement de l’Europe à sauvegarder et à restaurer la biodiversité. La décision a été adoptée après que l’Allemagne a changé de position à la dernière minute, passant de l’abstention au soutien.

Avec cette décision, les États membres ont choisi d’ignorer l’appel de plus de 300 organisations de la société civile et de centaines de milliers de personnes les exhortant à suivre les recommandations scientifiques et à redoubler d’efforts pour favoriser la coexistence avec les grands carnivores par des mesures préventives.

Cette décision ne sape pas seulement des décennies d’efforts de conservation, mais représente également un revers important pour ce qui a été salué comme l’un des succès les plus notables de l’Union européenne en matière de conservation de la faune : le retour du loup après sa quasi-extinction.

Les loups sont strictement protégés par la convention de Berne et la directive européenne “Habitats”. Ils constituent une espèce clé, indispensable à la santé des écosystèmes et à la biodiversité dans toute l’Europe. L’affaiblissement de leur protection entravera la reconstitution en cours des populations de loups et compromettra les efforts visant à promouvoir la coexistence entre l’Homme et les grands carnivores, en optant plutôt pour l’approche à court terme du contrôle létal.

 

LIre l’article sur FNE.ASSO.FR

Urgence démocratique et écologique : mobilisation citoyenne contre l’extrême-droite

Urgence démocratique et écologique : mobilisation citoyenne contre l’extrême-droite

Communiqué de notre fédération nationale :  France Nature Environnement.

 

« En ce moment critique pour notre démocratie, nos valeurs républicaines et notre environnement, nous lançons un appel solennel à l’ensemble des citoyens et citoyennes, associations, syndicats, et partis politiques à se mobiliser contre l’arrivée du Rassemblement National (RN) au pouvoir. Un tel scénario serait un recul majeur pour les principes fondamentaux de liberté, égalité et fraternité qui définissent notre nation, pour la démocratie, ainsi que pour les défis écologiques qui nécessitent une réponse urgente. 

L’histoire a montré que les idéologies extrémistes et xénophobes promues par le RN sont en totale contradiction avec les valeurs démocratiques et humanistes de notre République. Tant les votes au Parlement que les prises de positions du Rassemblement National sur les questions environnementales montrent que son accession au pouvoir conduirait à des reculs très importants. En pleine urgence climatique et environnementale, l’arrivée au pouvoir d’un parti ouvertement climatosceptique signerait l’abandon de la lutte contre le réchauffement climatique avec des effets négatifs immédiats et durables et constituerait un crime pour les générations futures. Les politiques de division et de stigmatisation prônées par ce parti présentent le risque de fracturer notre société et remettre en cause les droits fondamentaux de nombreux citoyens et citoyennes, entraver la société civile, tout en passant par pertes et profits la protection de notre environnement.

Nous ne pouvons pas rester silencieux face à ce double danger. C’est pourquoi nous appelons au désistement systématique des candidates et candidats les moins bien placés dans toutes les triangulaires dans lesquelles le RN est en position de l’emporter. Nous appelons aussi l’ensemble des responsables politiques à retrouver le chemin de l’honneur et de la décence et à désigner clairement l’extrême-droite comme la menace à combattre. Nous appelons les électeurs et électrices à faire barrage par leur vote, même quand les candidat.es de la majorité présidentielle et de la droite n’auront pas su le faire.

Renvoyer dos à dos l’extrême droite et le NFP, classé à gauche tant par le ministère de l’Intérieur que par le Conseil d’Etat, est une trahison démocratique qui ne peut servir que l’accession au pouvoir du RN. Ne laissons pas passer sans rien dire cette trahison des élites. Ne trahissons pas le climat, la biodiversité et notre environnement, ne trahissons pas la démocratie et la possibilité donnée aux générations futures à connaitre un monde vivable et juste.

Un autre futur que celui de la haine, de la dévastation environnementale et de l’autoritarisme promis par le Rassemblement National est possible. Face aux immenses défis sociaux, économiques, humains que font peser sur nos sociétés les urgences climatiques, de biodiversité et de pollutions généralisées, c’est ensemble, en nous basant sur la science et l’intelligence collective, que nous trouverons les moyens de reconstruire une société respectueuse, ouverte et durable. Cela commence dès dimanche par le vote.  »

 

 

Voir aussi l’article suivant :

Et si… l’extrême-droite arrivait au pouvoir ?

 

 

[Communiqué de FNE] Notre modèle démocratique et notre capacité à réussir la transition écologique sont en jeu

[Communiqué de FNE] Notre modèle démocratique et notre capacité à réussir la transition écologique sont en jeu

Après la forte poussée du vote pour l’extrême-droite aux élections européennes et le risque de la voir accéder au pouvoir en France après les élections législatives, France Nature Environnement, réunie en Assemblée Générale, « appelle tous les électeurs et toutes les électrices à s’unir contre les idées d’extrême-droite en votant pour un programme mettant le vivant et les plus vulnérables d’entre nous au cœur de ses préoccupations, défendant les libertés démocratiques et des politiques à même de répondre aux défis écologiques, économiques et sociaux de notre époque. »

 

L’analyse des votes et prises de position passées des élu·es d’extrême-droite, que ce soit au niveau local, national ou européen montre l’incompatibilité des politiques d’extrême-droite avec une transition écologique socialement juste. Leurs idées font également peser de lourdes menaces sur les libertés d’expression, de mobilisation et associatives. L’extrême-droite porte un projet de société incompatible avec les valeurs d’humanisme et de solidarité inscrites dans les statuts de France Nature Environnement.

 

Nous constatons également que la régression sans précédent du droit de l’environnement et des libertés associatives engagées par la majorité relative sortante et la politique du Président de la République, rendent impossible la transition écologique et sociale nécessaire pour répondre à l’urgence écologique et compliquent l’action tant sur le terrain qu’un niveau national des 6200 associations qui forment le mouvement dans l’hexagone et outre-mer. C’est pourquoi, réunie en Assemblée Générale, France Nature Environnement en appelle solennellement à une réaction forte de chacun et chacune, notamment toutes les personnes tentées par l’abstention.

 

Antoine Gatet : « Il y avait déjà urgence environnementale. Il y a maintenant urgence politique, démocratique et sociale. Les décisions politiques de la décennie en cours sont absolument cruciales pour maintenir un monde vivable. L’heure n’est plus à l’hésitation mais à un engagement total, fort et sans ambiguïté pour la défense de l’Etat de droit, de la démocratie, et pour les générations futures. »

Lire la motion

 

Le mouvement associatif interpelle le Premier Ministre !

Le mouvement associatif interpelle le Premier Ministre !

Les membres du Mouvement associatif ont adressé, le 27 mai 2024, un courrier au Premier Ministre pour exprimer leur inquiétude sur la situation préoccupante des associations et lui demander d’agir.

Dans ce courrier, les signataires ont alerté le Premier Ministre sur :

  • les conséquences catastrophiques de l’inflation sur les associations : diminution des activités, risques de mises en tension du bénévolat, baisse des adhésions, hausses des charges non prises en compte, aides inadaptées… Beaucoup d’associations, notamment dans le domaine de la solidarité, se retrouvent prises en tenailles entre, d’un côté, une baisse de leurs financements et de l’autre, une hausse du nombre d’usagers et une augmentation de leurs charges.
  • le récent décret du Ministre de l’Economie qui prévoit 10 milliards d’euros d’économie. Comment ne pas s’alarmer des coupes budgétaires annoncées dans de nombreux secteurs où se développent les associations tels que l’écologie, l’aide au développement, la cohésion des territoires, la solidarité et l’insertion, le sport, la culture, etc…
  • les mutations en cours des modèles socioéconomiques des associations. Au cours de ces deux dernières décennies, la part des subventions publiques dans le budget global des associations est passée de 34% à moins de 20%, tandis que les marchés publics et la participation des bénéficiaires ont augmenté pour compenser cette baisse. Ainsi, la nature même des subventions a évolué, adoptant une approche descendante d’appels à projets plutôt qu’un soutien
    à des initiatives s’inscrivant dans l’intérêt général. De manière générale, la part des activités économiques des associations est passée de 49% en 2005 à 65% en 2020, reflétant à la fois le pragmatisme des associations et le manque d’ambition des partenaires publics en matière de développement associatif. Ces changements entraînent des conséquences sur les modèles associatifs, poussant les acteurs vers une concurrence au détriment de la coopération. Ils exigent également des compétences plus importantes pour les dirigeants associatifs, en particulier les bénévoles, ce qui soulève un paradoxe entre la volonté de simplifier la vie associative pour encourager l’engagement bénévole et la demande croissante de compétences complexes en gestion financière.
  • la nécessité de renforcer les associations dans leur fonction « employeur ». Alors que les associations représentent aujourd’hui près de 10% des salariés du secteur privé avec près d’1,83 million de salariés dans 153 000 associations, elles se retrouvent bien souvent en marge des politiques de soutien à l’emploi – tels que le CICE ou bien encore la suppression annoncée de la CVAE – étant donné leurs spécificités. A l’inverse, depuis 2017, le monde associatif a subi la suppression des 300 000 emplois aidés d’abord, puis la réduction drastique des Parcours Emploi Compétences. De ce point de vue, la suppression de la taxe sur salaires que nous portons depuis de nombreuses années pourrait soulager les associations employeuses qui ont vu leurs charges considérablement augmenter. Dans le même registre, l’unité FONJEP qui constitue une aide à l’embauche dans le secteur de la jeunesse et l’éducation populaire n’a pas été revue depuis 20 ans. Le Mouvement associatif souhaite que cette aide soit réévaluée à hauteur de 10 000€ par an, comme c’est déjà le cas dans le domaine de la solidarité internationale.
  • la possibilité d’expérimenter à plus grande échelle différents dispositifs innovants portés sur les territoires, tels que Cap’Asso en Région Centre Val de Loire qui vise au développement d’emplois d’utilité citoyenne ou Prev’asso, en Occitanie, qui permet de soutenir et accompagner les associations en grande difficulté financière. Travailler à leur déploiement serait une réponse attendue de nombreux acteurs associatifs dans la situation actuelle.

 

Au-delà des sécurisations juridiques, le monde associatif a aujourd’hui besoin de volonté politique forte en matière de soutien et de financement de la vie associative !

Les associations sont avant tout actrices de l’intérêt général et du bien commun. Soutenir la vie associative, c’est contribuer à dynamiser l’énergie citoyenne dont nous avons tant besoin aujourd’hui. Les associations sont le réceptacle de force citoyenne qui s’exprime dans tous les territoires. Elles valorisent le faire ensemble dans une période où nous regrettons la tendance à une forme de repli identitaire.

Les associations ont également demandé :

« Alors que le Conseil Economique Social et Environnemental se réunira demain pour donner ses conclusions sur l’avis concernant le renforcement du financement des associations, nous vous invitons à se saisir de ce rapport pour apporter des réponses à la hauteur des attentes du monde associatif.
Plus que jamais, nous avons besoin de construire une « politique de vie associative ambitieuse ». Nous vous invitons à échanger sur ce sujet fin juin lors d’une rencontre où nous pourrons revenir sur les principales difficultés du monde associatif et travailler ensemble les solutions. »

 

Télécharger le courrier au format pdf