jeudi 10 Juin 2021 | Groupes Locaux, Nature, Presse, Réseaux Thématiques, Revue de presse
Le groupe local Alsace Nature – Fecht et le collectif SOS massif des Vosges, ont dénoncé lors d’un communiqué de presse, deux projets de loisir dans le massif Vosgien.
La via ferrata du Tanet, recalée par le préfet en 2015, n’a jamais été complètement abandonnée, et le projet de tyrolienne est soutenu par l’exploitant de la station du Gaschney, qui souhaite développer la station quatre saisons, pour élargir l’offre d’activités touristiques tout au long de l’année.
Les deux associations environnementalistes, comme une partie de la population, déplorent des projets qui
vont « abîmer la biodiversité, les plantes de rochers, les zones humides et déranger l’avifaune rupestre au Tanet » ; et « abîmer le paysage en site inscrit, artificialiser un peu plus le versant du Braunkopf ».
Les impacts sur la nature seront nécessairement plus importants, liés à l’augmentation de la fréquentation, de la circulation, les parkings supplémentaires, la pollution, les déchets… Alors que « la biodiversité recule partout dans nos montagnes. »
Concernant le projet de tyrolienne entre le Gaschney et le Braunkopf, celui-ci aurait une longueur de descente d’environ 2km et un dénivelé de 317 m. Outre les 2 pylônes de départ et d’arrivé, 2 pylônes intermédiaires seraient construits.
L’exploitant annonce une fréquentation de 20 personnes/heure maximum.
Mais, le site retenu se trouve en ZNIEFF de type 2 (420030275 « Hautes Vosges haut-rhinoises »), au sein du Parc Naturel Régional des Ballons des Vosges et passe à proximité de zones Natura 2000 (FR4201807 et FR4211807), donc dans des secteurs à enjeux naturalistes forts.
La préfète de la Région, dans le cadre d’une « Décision relative à un projet relevant d’un examen au cas par cas en application de l’article R. 122-3 du code de l’environnement construction d’une tyrolienne sur la station du
Gaschney à Muhlbach-sur-Munster et Metzeral (68) » a choisi de ne pas soumettre à évaluation environnementale ce projet.
Il s’agira d’être vigilants sur la suite des décisions prises sur ce dossier, et l’éventuel démarrage de travaux.
mardi 16 Mar 2021 | Groupes Locaux, Nature, Presse, Réseaux Thématiques, Revue de presse
Un loup a été observé, la semaine dernière, dans le Kochersberg, jusqu’à une douzaine de kilomètres de Strasbourg. Selon les informations diffusées dans la presse régionale, il aurait vu plusieurs fois près des villages de Saessolsheim, Berstett et Ingenheim, de part et d’autre de la ligne du TGV .
Ce loup est probablement un jeune loup qui, après avoir quitté sa meute, est maintenant « en recherche d’un territoire et d’une partenaire« . Pendant cette période, il est susceptible de « parcourir une grande distance ».
Que faire si vous tombez nez-à-nez avec l’animal ?
Actu Strasbourg a posé la question à Stéphane Giraud, directeur de la fédération d’associations Alsace Nature.
Le laisser tranquille
Si jamais vous croisez le loup, il faut « en profiter pour l’observer de loin et lui foutre la paix la plus totale », explique Stéphane Giraud. « On a vu trop de gens lui courir après pour essayer de faire la plus belle photo ou vidéo à publier sur Facebook », insiste-t-il.
Se faire discret et ne pas perturber l’animal
« Plus on se fait discret, plus on favorise une cohabitation sereine avec l’animal », « Il faut le laisser faire sa vie tranquillement » résume Stéphane Giraud.
Le fait de s’approcher « perturbe l’animal, dans tout ce qui constitue sa vie biologique« .
Stéphane Giraud utilise le parallèle suivant : « Une fouine qui squatte le grenier d’une maison perturbe notre vie quotidienne et les gens trouvent ça intolérable. A l’inverse, les gens ne trouvent pas intolérable le fait de s’approcher d’un chevreuil. Ayons cette réciprocité de distance et de cohabitation ».
Le loup n’est pas dangereux pour l’homme
Stéphane Giraud souligne par ailleurs que « le loup n’est pas dangereux pour l’homme ». « C’est un animal qui garde une distance extrêmement importante avec l’homme et qui ne présente aucun danger pour les gens qui font un jogging, se promènent à vélo ou font une promenade le dimanche » .
Voir l’article complet d’Actu Strasbourg : https://actu.fr/societe/le-loup-apercu-a-une-dizaine-de-kilometres-de-strasbourg-que-faire-si-vous-le-croisez_40229128.html
jeudi 28 Jan 2021 | Communiqués de presse, Forêt, Nature, Presse, Réseaux Thématiques, Revue de presse, Transports
Rhénanie – Palatinat
Projet d’autoroute (B10) à travers une forêt protégée par l’UNESCO : Les associations françaises et allemandes solidaires.
Elles réclament un moratoire pour le bien des humains, de la nature et des deniers publics (cf communiqué ci-dessous)
INVITATION à une TABLE RONDE (visioconférence) – Aménagement de la B10
Jeudi 25 février 2021, 18h30
Le lien vers l’événement sera communiqué via le site: www.bund-rlp.de/b10
La Table ronde mettra en présence les candidats aux élections régionales du Land de Rhénanie-Palatinat qui répondront aux questions des associations et du public.
Seront présents les candidats suivants :
Alexander Schweitzer (SPD)
Peter Lerch (CDU)
Heiko Drieß (FDP)
Lea Heidbreder (Grüne)
Frank Eschrich (Die Linke)
Kaycee Hesse (Klimaliste)
Plus d’informations:
https://www.bund-rlp.de/b10
http://bi-queichtal.de/
https://alsacenature.org/slider/revue-de-presse-alsace-nature-oppose-au-projet-dautoroute-b10
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Communiqué de presse du BUND Rheinland-Pfalz, de la BI Queichtal et d’Alsace Nature
Rhénanie – Palatinat
Projet d’autoroute (B10) à travers une forêt protégée par l’UNESCO : Les associations françaises et allemandes solidaires.
Elles réclament un moratoire pour le bien des humains, de la nature et des deniers publics
Mayence. « La réserve de Biosphère transfrontalière Vosges du Nord – Pfälzerwald est encerclée au Sud et au Nord par deux autoroutes de transit européen. Une bétonisation supplémentaire en plein dans ce massif forestier remarquable, le plus important d’Europe de l’Ouest, n’est pas acceptable. » C’est le constat partagé par Alsace Nature, la BI Queichtal et le BUND Rheinland-Pfalz. Les associations sont solidaires pour lutter contre le projet de mise au gabarit autoroutier de l’actuelle B10 entre Pirmasens et Landau qui serait non seulement destructeur mais inutile. Il s’agit de défendre l’inviolabilité de ce massif caractérisé par le grès rose avec ses rochers pittoresques et ses châteaux insérés dans la roche, là où l’Alsace et le Palatinat se rencontrent par-delà la frontière. Il s’agit de préserver la forêt de la Vasgovie imprégnée d’histoire et de légendes, où s’est joué le destin de Walther et Hildegund, notamment retracé par un moine bénédictin de Wissembourg dans la Chanson de Walther.
Ce projet a été intégré dans l’actuel schéma fédéral des transports (Bundesverkehrswegeplan), sans tenir compte des enjeux cruciaux du changement climatique, ni de la nécessité de préserver la biodiversité encore présente dans les secteurs concernés. Et ceci en dépit de la non pertinence économique du projet, mise en évidence lors de la première procédure de concertation. La réalisation de ce projet ne pourra être mise en conformité avec le statut de Réserve de la Biosphère, compte tenu de ses impacts sur la nature, le paysage, les pratiques de randonnée et le vignoble. On ne voit pas comment la zone protégée concernée pourrait supporter une armada de 10 000 poids lourds journaliers censés croiser entre Mer du Nord et Sud de l’Allemagne, selon les données du ministère des transports de Rhénanie-Palatinat.
![](https://alsacenature.org/wp-content/uploads/2021/01/carte-A10-Pirmasens-Landau-300x192.png)
B10 entre Pirmasens et Landau
Les associations, qui ont déjà travaillé ensemble ces dernières décennies, ont décidé d’intensifier leur coopération afin d’obtenir, dans le cadre de cette année à élections législatives et régionales, un moratoire contre la mise à gabarit autoroutier en continu de la B10 entre Pirmasens et Landau. Ce projet n’a plus sa place dans le prochain schéma des transports. Les associations espèrent que le prochain réexamen du schéma permettra de retirer ce projet, d’autant que la crise du COVID 19 nécessitera une réorientation des crédits vers des priorités plus essentielles.
Concernant la question financière, il faut noter que de 1935 aux années 1980, il y eut au moins 7 tentatives de réalisation de ce projet, qui ont toutes été refusées par les décideurs, au motif que les contraintes géologiques et géographiques conduiraient à des coûts de réalisation non supportables. Un argument supplémentaire était lié à la richesse écologique du massif forestier. Les protecteurs de la nature des deux côtés de la frontière se demandent pourquoi ces arguments ne devraient plus compter aujourd’hui.
C’est pour cette raison que les opposants au projet, parmi lesquels le Bureau expert RegioConsult, s’appuyant sur le droit européen, critiquent fermement le fait que le schéma des transports de 2016 n’ait pas intégré une évaluation environnementale stratégique pour le projet d’aménagement de la B10 conformément à la directive 2001/42/CE. Cette lacune doit impérativement être comblée dans le cadre de la procédure d’autorisation.
Une telle nouvelle évaluation ne devrait pas poser de problème dans la mesure où, d’une part, une partie de l’aménagement réclamé par les promoteurs du projet a déjà été réalisée à l’ouest de Pirmasens. D’autre part, la procédure de planification de la partie de loin la plus importante et impactante du projet est loin d’être aboutie. Cela est particulièrement vrai pour le gigantesque projet de tunnel sous la ville d’Annweiler.
Cette situation différencie le projet B10 d’autres projets contestés, car en l’espèce, il existe encore des marges de manœuvre légales. D’autant que ce projet fait partie des plus contestables au plan fédéral. Un élément en faveur d’une nouvelle évaluation du projet existe à travers la proposition de compromis, qui a été élaborée à l’issue de la concertation de 2013 et qui reste d’actualité, bien qu’elle ait été négligée à l’époque.
Le caractère superflu de ce projet apparait clairement du fait de l‘existence de deux autoroutes (A4 en France et A6 en Allemagne) qui suffisent pour le transit européen, comme le constate également l’UE.
Il faut remarquer que le comité MAB responsable de la Réserve de Biosphère, qui avait formulé un avis très critique sur le projet en 2013, n’a pas donné signe de vie depuis, sans doute sous forte pression de la part des promoteurs publics du projet. Ce silence est perturbant, tout comme celui d’autres acteurs en vue.
Au contraire, les opposants au projet considèrent qu’il est temps de se prononcer clairement pour un arrêt de la destruction du Pfälzerwald. Les politiques doivent enfin prendre leurs responsabilités en termes de climat, de protection de la biodiversité et de générations futures.
Le groupe de travail transfrontalier a programmé un forum en visioconférence le 25 février 2021 ainsi qu’un séminaire d’experts à l’été 2021. Pour le forum, les premières confirmations de candidats aux élections régionales sont d’ores et déjà intervenues, faisant de cet événement un moment fort dans la lutte contre le projet.
— REVUE DE PRESSE —
- Article des DNA paru le 28/01/21, intitulé : « Alsace Nature opposée au projet d’autoroute B10«
« Une bétonisation supplémentaire en plein coeur de ce massif forestier remarquable, le plus important d’Europe de l’ouest, n’est pas acceptable », affirment dans un communiqué Alsace Nature, la BI Queichtal et le Bund Rheinland.
D’autant qu’il est déjà « encerclé au sud et au nord par deux autoroutes de transit européen ». « On ne voit pas comment la zone protégée concernée pourrait supporter une armada de 10 000 poids lourds journaliers censés croiser entre mer du Nord et sud de l’Allemagne, selon les données du ministère des Transporte de Rhénanie-Palatinat », expliquent les défenseurs de l’environnement.
Voir l’article en entier : https://www.dna.fr/environnement/2021/01/27/alsace-nature-oppose-au-projet-d-autoroute-b10
vendredi 4 Oct 2019 | Agriculture et Alimentation, Agriculture et nature vivante, Bien-être animal, Pollutions et santé, Presse, Réseaux Thématiques, Revue de presse
Dans le cadre de la consultation publique lancée par le gouvernement sur un projet de décret et d’arrêté relatifs « aux mesures de protection des personnes lors de l’utilisation des produits phytopharmaceutiques à proximité des zones d’ habitation», Alsace Nature a développé son point de vue lors d’une conférence de presse le 25 septembre 2019.
Alors que le ministre de l’Agriculture, Didier Guillaume, plaidaient pour instaurer une zone de « 3 à 5 mètres » entre zones traitées et les zones d’habitations, les associations environnementalistes ont soutenu la demande du maire de Langouët de mettre en place des bandes de 150 mètres. Contrairement à ce qu’affirme le ministre, définir une zone de + de 100 mètres sans pesticide ne constitue pas « une menace pour l’autonomie alimentaire française« .
Même si Alsace Nature soutient la demande d’une bande de 150 mètres, Anne Vonesch, vice-présidente de l’association estime qu’ « Il n’existe aucune preuve scientifique que ces distances protègent la santé des personnes« . D’autant plus que sur ces espaces sont préconisées « des chartes d’engagement disparates et incompréhensibles, qui n’ont aucune valeur contraignante. »
Pour se faire une idée plus précise, les représentants d’Alsace Nature ont examiné les étiquettes et les conseils d’utilisation des pesticides et herbicides actuellement sur le marché.
Concernant l’herbicide Casper (dicamba et prosulfuron), il y est écrit que « pour protéger les organismes aquatiques », il faut « respecter une zone non traitée de 5 m par rapport aux points d’eau » et « pour protéger les arthropodes et les plantes non-cibles », il faut « respecter une zone non traitée de 20 m par rapport à la zone non cultivée adjacente ». Quid des être humains alors ?
Anne Vonesch est stupéfaite par « les conditions et risques » apparaissant dans les données de vente de pesticides dans le département du Bas-Rhin.« Très toxique pour les organismes aquatiques, entraîne des effets néfastes à long terme. Mais aucune ZNT (zone de non-traitement) », peut-on lire en face du Belem (époxicona-zole), un insecticide. On découvre également que le fongicide pour betterave, Resonance, a été retiré du marché au printemps dernier.
Daniel Reininger, président d’Alsace Nature, considère que la sortie des pesticides est possible. « La solution vient de l’intérieur, des paysans eux-mêmes qui découvrent tous les jours qu’on peut produire sans« , D’ailleurs il ne s’agit pas d’incriminer les agriculteurs qui sont le plus souvent « des victimes » mais plutôt le système qui conduit à industrialisation de l’agriculture et à l’utilisation de toujours plus d’intrants chimiques.
Contrairement à Didier Guillaume qui soutient que l’instauration d’un cordon de 150 m autour des habitations « serait la plus grosse artificialisation des terres jamais obtenue« , Alsace Nature réplique : . » Il ne s’agit pas de stériliser des terres mais de les flécher vers des productions bio, du maraîchage, des îlots de fraîcheur, des prés vergers… « . Cela représente une opportunité de mettre en place des ceintures vertes pour atténuer le changement climatique et améliorer le cadre de vie.
« Ces zones de non-traitement sont une opportunité et un levier pour changer de système. Il y a pléthore de solutions » conclut Anne Vonesch.
Pour plus d’informations, télécharger les documents :
position argumentée de FNE sur les bandes sans traitements
cruauté des tests sur animaux pour l’autorisation des pesticides
position d’Alsace Nature dans le cadre de la consultation mise en place par le gouvernement
Voir aussi l’article des DNA paru le 26 septembre 2019 : 190926-POur AN la sortie des pesticides est possible – DNA
mardi 9 Juil 2019 | Déchets, Groupes Locaux, Pollutions et santé, Presse, Réseaux Thématiques, Revue de presse
VIGILANCE CYCLAMEN
Alerte à nos groupes sectoriels et à nos voisins du Grand-Est et des régions partenaires.
Cyclamen, recycleur de métaux non-ferreux issus de mâchefers, de broyage électriques, de broyage automobiles , a renoncé à s’installer à Malmerspach, le 11 juin , suite à une opposition tenace, depuis février 2019, de la part des riverains , de TET (Thur écologie transports ) et du groupe local Alsace Nature Thur-Doller. La présence, aux côtés des opposants, d’un entrepreneur spécialisé dans les équipements industriels antipollution, a donné du poids à l’argumentation. Et un travail en réseau, avec le service juridique de FNE, l’association du Havre EPLH et un journaliste d’investigation, a permis de mettre à jour le passé d’un entrepreneur suisse qui a défrayé la chronique des mises en demeure pour irrégularités industrielles avec son entreprise Citron au Havre, entre 1997 et 2006.
Malgré le lourd dossier à charge contre lui, le soutien politique à son arrivée dans la vallée ne semblait pas devoir fléchir et ce fut une surprise de voir d’abord les communes voisines, puis Malmerspach, puis finalement un certain nombre de conseillers communautaires, émettre des doutes. Les risques de pollution aux poussières de métaux lourds, de dioxines et autres, de bruit de machines presque en continu et de camions, d’insuffisance de contrôles prévus, l’absence de plan économique et de financement dans le dossier public, le manque de fiabilité de l’entrepreneur, l’incohérence du site choisi également, ont fini par avoir raison de l’urgence à investir. Entre temps, au mois de mai, la Préfecture avait accordé une consultation publique sur le sujet, qui n’a quasiment reçu que des avis négatifs.
Le Président de la Communauté de Communes quant à lui est resté étonnamment insensible, ne bougeant pas une virgule de ses éloges à la «belle petite entreprise non polluante et non bruyante», «prometteuse» qui aurait pu créer 15 emplois et permis de nouvelles recettes.
«Nous accompagnerons l’entreprise Cyclamen dans sa recherche de nouveaux locaux en-dehors du territoire intercommunal» a t-il conclu, justifiant le présent avis de vigilance.
Nous avons appris très tardivement que la Région Grand-Est avait voté une subvention de 384 000 € à Cyclamen en juillet 2018, après une dépose de dossier en décembre 2017.
Cet argent a-t-il été touché? En tout cas, en toute logique, Cyclamen devrait essayer de rester dans le Grand-Est ou dans une région partenaire, gardant une position centrale dans le flux de déchets européens.
Si nous sommes favorables au recyclage, celui-ci doit se faire à partir de tri amélioré au mieux et non à partir d’incinération et de broyage cautionnant tous les amalgames et poussières polluantes. Nous connaissons malheureusement l’inefficacité des filtres à capter les nanoparticules. Et comment arriver à ce que les contrôles se fassent en continu et par des organismes indépendants? Dans la seule logique économique et d’élimination des déchets qui est la nôtre actuellement, il faut veiller à ce qu’au minimum aucun habitant ne soit exposé comme l’auraient-été les riverains de Malmerspach et que les employés et ceux de la proximité soient équipés de protections.
Voir les articles des DNA sur le sujet :
190613-Cyclamen les riverains en colère ne lâchent rien – DNA
190613-Cyclamen renonce à s’implanter-DNA
190613-Polémique sur l’installation de l’entreprise Cyclamen à la Kleinau-DNA
190614-Les réactions à l’abandon du projet Cyclamen-DNA
190623-Cyclamen -Je suis le grand perdant de cette affaire-DNA
vendredi 28 Juin 2019 | Aménagement du territoire, Energies Climat, Nature, Presse, Réseaux Thématiques, Revue de presse