[Découverte de la semaine] – Faucon pèlerin (Falco peregrinus)

[Découverte de la semaine] – Faucon pèlerin (Falco peregrinus)

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Le Faucon pèlerin niche sur les falaises rocheuses jusqu’à plus de 2000 m d’altitude dans les Alpes du Nord. En hiver, il fréquente les plaines, désormais on le rencontre également sur des sites artificiels, tels que des châteaux d’eau, cheminées de centrales électriques et nucléaires, cathédrales, carrières, etc. Comme tous les faucons, le faucon pèlerin ne construit pas de nid. Il utilise les cavités et plateformes existantes. Les couples adultes se retrouvent tous les ans sur le même site. Il se nourrit exclusivement d’oiseaux de petite et moyenne taille qu’il attaque en plein vol.

Son envergure est de 70 cm à 85 cm chez le mâle, et de 95 cm à 105 cm chez la femelle. Son poids est de 800 g à 1000 g pour une femelle, 550 g à 650 g pour un mâle. Le Faucon pèlerin peut vivre jusqu’à 20 ans. Le faucon pèlerin se caractérise par un corps puissant et fuselé, à large poitrine. Les parties dorsales du mâle présentent une coloration gris bleu métallique, alors que les parties ventrales, plus claires, sont striées de bandes noire. La femelle est généralement plus rousse et plus mouchetée à la gorge. Chaque année, le faucon renouvelle intégralement son plumage. La mue commence au mois de mars (au début de la période de reproduction) et s’achève à l’automne. La mue de la femelle est plus précoce et plus rapide que celle du mâle.

Le faucon pèlerin fait l’objet de nombreuses lois de protection et il fait partit de la liste rouge des espèces menacées en France. Il est victime des concentration de pesticides dans ses proies ainsi que de tirs et de désairage des nichées (récupération les nouveaux nés avant leurs premiers vols). Il est aussi perturbé par les activités de pleine nature (escalade, randonnée), notamment lors de sa période de nidification.

[Noël Autrement] – Le Repas

[Noël Autrement] – Le Repas

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Que serait Noël sans son repas ? Ce festin ou l’on sait que l’on va trop manger, mais en même temps, c’est tellement bon qu’on peut pas s’en empêcher … Aujourd’hui on vous donne plusieurs solutions afin de réduire l’impact de votre repas de Noël !
Depuis 50 ans nos modes de consommation ont évolués, et on achète beaucoup plus de produits transformés (chips, conserves, surgelés, confitures…). En France, l’alimentation représente entre 20 et 50 % de notre empreinte environnementale. Plus de 95 % des exploitations françaises fonctionne avec de l’agriculture conventionnelle ou intensive. A cela, s’ajoute la mondialisation, avec de nombreux produits du monde entier disponible dans votre épicerie du coin.
Il y a d’énormes quantités de ressources utilisées à chaque étape de la chaîne alimentaire (production, transformation industrielle, transport, stockage, distribution, consommation) ; comme des énergies (fioul, électricité), de l’eau, de la matière première pour produire les emballages… En France, chaque année, 10 millions de tonne d’aliments sont gaspillés sur toute la chaîne alimentaire. Ce qui équivaut à 150 kg par personne.

17 % des victuailles de Noël finissent à la poubelle.

Le gaspillage alimentaire est un fléau de notre société, chaque français, à la maison, jette 29 kg d’aliments à la poubelle chaque année.
En plus du gaspillage alimentaire, il y a beaucoup d’autres sources de déchets ; notamment si vous utilisez de la vaisselle jetable. Et tout ce qui concerne les « déchets cachés » de vox choix alimentaires.
La viande est beaucoup plus gourmande en énergie que les cultures céréalières. En tout, c’est 70 % des terres arables mondiales qui sont utilisés pour l’élevage animal, ce qui équivaut à 30 % des surfaces émergées de la planète. Sans compter que les élevages rejette du CO2 dans l’atmosphère, qu’ils contribuent à la pollution de l’eau et la perte de la biodiversité. Et on ne vous parle même pas du bien-être animal…

Le repas zéro-gaspi

700 kg de dinde sont achetés chaque minute au court du seul mois de décembre en France !
On vous conseille donc de limiter la viande lors de votre festin de Noël, de consommer bio, local et de saison en favorisant les circuits courts. Tout cela pour limiter les pollutions générés par la production des aliments et favoriser votre économie locale !
Afin de limiter le gaspillage alimentaire, cuisinez en quantités adaptées en fonction de tout ce que vous servez ! Et, après si il y a encore des restes, ne les jetez pas, cuisinez-les, ou congelez-les ! Cela vous fera moins de travail pour l’année prochaine, ou vous pourrez avoir un petit goût de Noël au printemps ! Sur ce, on vous laisse réfléchir à vos petites recettes et on vous souhaite un Joyeux Noël !

[Découverte de la semaine] –  Lamproie marine (Petromyzon marinus)

[Découverte de la semaine] – Lamproie marine (Petromyzon marinus)

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La Lamproie marine est une espèce de poisson sans mâchoire. Elle possède une disque buccal garni de nombreuses pointes cornées et d’une lame courte armée de deux pointes contiguës. Son corps est marbré, elle possède deux longues nageoires dorsales distinctes. Le mâle à une taille maximale de 120 cm pour une masse maximale connue de 2 kg. La longévité maximale connue pour la Lamproie marine est de 9 ans.

Les jeunes sortent de l’œuf au stade larvaire, ils sont aveugles mais sensibles à la lumière. Enfouis dans la vase ou des substras sablo-vaseaux, ils se nourrissent par filtration. Une fois qu’il ont atteint une certaine longueur, les larves se métamorphosent ensuite en jeunes lamproies qui entament une vie parasitaire en se nourrissant des tissus et du sang du poisson hôte. En effet, les Lamproie peuvent s’accrocher à diverses espèces de poisson, pour se faire transporter quand elle sont jeunes ou pour se nourrir quand elle sont plus âgées. Au bout d’un ou deux ans, les Lamproies marines on atteint leurs maturité sexuelle et cessent de se nourrir pour remonter les courts d’eau où elles vont frayer puis mourir.

Principalement aux Etats-Unis dans les Lac Champlain et dans les Grands Lacs, la Lamproie marine est considérée comme nuisible, un catégorie spéciale de pesticides dits lampricides est utilisé contre elle. Des mâles stérilisés sont aussi introduit dans les rivières en période de reproduction pour tromper les femelles. En Alsace, la Lamproie marine est inscrite sur la Liste Rouge des espèce menacées.

[Noël Autrement] – Les Cadeaux

[Noël Autrement] – Les Cadeaux

furoshiki-emballage-cadeaux-japonais-860x616Le carnage des cadeaux :

Emballage éventré, carton déchiré, plastique découpé, polystyrène mutilé, tant d’atrocité que l’on peut voir dans les poubelles après Noël ! Les cadeaux constituent la plus grande partie des dépenses lors des fêtes de fin d’années. On se sent obligé d’offrir des cadeaux à un peu tout le monde par politesse. Toute cette réflexion participe à la surconsommation durant les fêtes… tout ça pour les derniers gadgets à la mode, qui la plupart du temps nous servirons une fois l’an. De plus que tous ces cadeaux, sont, encore une fois, majoritairement été fabriqué en Chine et on traversés la planète pour finir au pied de votre sapin. Alors comment on fait pour réduire cette poubelle, et limiter la surconsommation ?

Moins de cadeaux, plus d’heureux,

Oui, vous pouvez faire moins de cadeaux ! Non, vous n’allez pas passer pour un rapia ! Vous pouvez offrir un cadeau expérience à plusieurs personnes, comme les fameuses box pour un dîner au resto, ou un week-end. Vous pouvez aussi offrir des abonnements pour toute une famille, au ciné, à la piscine, à la médiathèque, ou encore un abonnement à un service de VOD.

Offrez de votre temps,

Au lieu de vous coltiner tous les magasins pour offrir un gadget un peu inutile, passez du temps avec vos proches : emmenez-les quelque part ! Au ski, au cinéma, en rando, au théâtre, à un concert, au resto, à un match, à un spectacle, ça vous fera des souvenirs et vous partagerez un moment convivial ! Pour les enfants, vous pouvez les emmener dans un parc d’attraction, où leur offrir un stage de découverte en nature, un cours de musique, …

Pas besoin de lutins :

Confectionnez vos cadeaux, sans l’aide des lutins du Père Noël ! Alors, je sais que vous pensez au pull de mamie en laine qui gratte, mais pensez plutôt : jeux de sociétés fait maison. Un morpion, ou un jeu de dame est réalisable facilement, vous pouvez aussi faire votre propre jeu des 7 familles ! Vous pouvez aussi faire des confitures, des gâteaux, des bonbons ! Ou encore un album photo, une vidéo de vacances, …

L’occasion en or,

Et si vous n’avez vraiment aucun talent, ou que vous êtes particulièrement débordé, la solution c’est l’achat d’occasion ! On adore ! Des pièces uniques que personne d’autre n’aura, parfait pour les amoureux du vintage. Et en plus, dans les friperies, magasins associatifs, on y trouve de tout et pour tout le monde ! Pensez aux produits reconditionnés pour tout l’électronique et électroménager, des produits remis à neufs, garantits, et on sauve un objet de la décharge !

L’emballage parfait :

Concernant l’emballage des cadeaux, lui aussi produit énormément de déchets et participe au gaspillage des ressources. La solution ? Le Furoshiki, cet art japonais de l’emballage est totalement écolo ! On emballe tout dans des tissus réutilisable. Il y a plusieurs techniques, pour les livres, les boites, les bouteilles, ect…

On vous a même fait un petit tuto pour l’occasion, vous n’avez plus d’excuses ! Cliquez sur l’image :

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Alors a vos fourneaux, on compte sur vous pour dénicher le petit cadeaux sympa et éco-responsable qui fera plaisir à vos proches – au pire offrez leurs un câlin ! Et sinon il y a toujours la boutique d’Alsace Nature pour vous sauver la vie !

Elevages intensifs, élevages soutenables ? Un débat constructif à Truchtersheim

Elevages intensifs, élevages soutenables ? Un débat constructif à Truchtersheim

171206-Affiche-soiree-Elvage-indus-TrefleOrganisée par le réseau Agriculture d’Alsace Nature, avec le soutien du groupe local Kochersberg, la soirée débat du 6 décembre sur la question des élevages intensifs a attiré une soixantaine de personnes, au Trèfle à Truchtersheim, dont une bonne partie d’agriculteurs du secteur.

Après une brève introduction de Maurice Wintz, pilote du groupe local, Anne Vonesch, responsable du réseau Agriculture d’Alsace Nature et membre du Bureau Européen de l’Environnement,  a présenté la question de l’élevage, à travers des extraits vidéo.

Sabine Trensz,  photographe qui a parcouru le Monde avec Pierre Mann, a fait part de son expérience et dénoncé les saccages faits à l’environnement et aux hommes pour favoriser une  agriculture intensive et productiviste à outrance. Par exemple, la monoculture de l’huile de palme a détruit des centaines de milliers de km de forêts tropicales, anéantissant du même coup la biodiversité et les cultures vivrières des paysans des pays concernés obligés de fuir vers les villes ou employés dans des conditions indignes pour la production de cette monoculture. Elle a insisté sur la responsabilité de chacun : nous sommes tous consommateurs et si nous souhaitons que les pratiques agricoles changent, nous devons aussi faire des choix de consommation différents.

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Anne Vonesch, a enchainé par un argumentaire très documenté pour présenter des pistes de réflexion sur : « pourquoi il faut consommer moins de protéines

animales » et « Comment réussir à produire MOINS et MIEUX ?« , VOIR ICI la présentation

De nombreuses questions ont suivi, notamment de la part des éleveurs présents dans la salle, qui partageaient en grande partie le constat d’Alsace Nature mais qui ont fait part de leurs contraintes organisationnelles et financières.

La discussion s’est poursuivie autour du verre de l’amitié. Plusieurs agriculteurs ont exprimé leur satisfaction de pouvoir discuter de ces questions avec des membres d’Alsace Nature.

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[Découverte de la semaine] – Barbastelle d’Europe (Barbastella barbastellus)

[Découverte de la semaine] – Barbastelle d’Europe (Barbastella barbastellus)

 
barbastelleLa Barbastelle d’Europe est une chauve souris au pelage long, soyeux et de couleur noir, comme le reste de son corps. Elle ne ressemble pas aux autres chauves-souris, son museau est très plat et ses grandes oreilles plates se rejoignent sur le front. Elle mesure entre 4,5 et 6 cm de long (tête et corps). Les ailes ouvertes, son envergure atteint entre 20 et 30 cm.
Son alimentation est constituée de petits insectes tendres, avec une majorité de micro-papillons car la Barbastelle d’Europe à une mâchoire faible. Elle localise les petits insectes grâce à ses ultrasons au rythme irrégulier, de 30 à 35 kHz. Son vol est rapide et agile.
Répartie en Europe occidentale, le Sud de l’Angleterre, la Norvège et la Suède, cette espèce est typique des régions boisées de plaine et de montagne (jusqu’à 2000 m d’altitude). Elle préfère les forêts mixtes âgées à strates buissonnantes. Résistante au froid, même par températures négatives, elle affectionne particulièrement les gîtes dans les arbres tels que les cavités d’arbres et écorces décollées. Mais on trouve les colonies les plus importantes dans les bâtiments, pourvu qu’ils présentent des espaces étroits. Il lui arrive d’aller dans des grottes où des caves pour passer l’hiver. La Barbastelle hiberne de Novembre à Mars. Elle peut faire 300 km entre ses gîtes de reproduction et les sites d’hivernage.
La Barbastelle est généralement solitaire pendant l’hibernation. Les colonies ne se rassemblent qu’au printemps et rares sont celles qui regroupent plus de 50 individus. Elle a une longévité de plus de 20 ans.

La Barbastelle d’Europe est inscrite que la Liste Rouge des espèces menacées en Alsace. Sa population est sur le déclin à cause de plusieurs menaces tel que la raréfaction des insectes dû à l’usage intensif d’insecticides. Ainsi que la coupe des gros arbres morts ou fissurés dans lesquels elle fait son gîte. Il est donc important pour la chauve-souris de la laisser s’installer dans votre cave si tel est le cas où alors de ne pas couper les vieux arbres morts ou vieillissants qui constituent des gîtes nécessaires à son développement.

Zero-déchets : une soirée très appréciée à la médiathèque de Truchtersheim

 
Vendredi 1er décembre 2017, le groupe local Kochersberg d’Alsace Nature, organisait en partenariat avec la médiathèque et la Communauté de Communes du Kochersberg, une soirée-débat sur le thème de la réduction des déchets.
171201-affiche-soiree-dechets-MIKAprès une introduction poétique et littéraire, par Carine Marcot, directrice de la Médiathèque, Maurice Wintz, responsable du groupe local d’Alsace Nature, a présenté rapidement la thématique de la soirée et remis dans un contexte global la nécessaire réduction des déchets à la source.
Thomas Hussenet, chargé de mission à la Cocoko sur le plan des déchets ménagers, a appuyé ce propos avec des exemples concrets et rappeler le principe : extraire, produire, consommer et jeter. Il a insisté sur le gaspillage et sur l’accumulation de montagnes de déchets dans le monde (sur terre et dans l’océan) …
Ensuite, la famille « Zero Déchets », Marc et Marie Hoffsess, ont partagé leur expérience. Depuis septembre, toute la famille s’est lancée dans un défit : ne rien acheter qui ne soit recyclable et ne produire aucun déchet. Ils ont longuement expliqué leur démarche et leurs expériences pour arriver à une consommation réfléchie et minimaliste.
Si le but n’est pas que tout le monde n’achète plus rien et aille aussi loin qu’eux, ils ont donné des exemples concrets pour inciter chacun à réduire sa consommation de déchets – et donc sa consommation tout court – et ont répondu aux multiples questions sur le sujet.
La soirée s’est terminée par le verre de l’amitié, l’occasion de poursuivre la discussion … et de soulever d’autres questions liées aux problèmes d’environnement dans le Kochersberg.
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Voir l’article des DNA paru le 8 décembre 2017 -Vivre-sans-dechets

[Découverte de la Semaine] – Arnoséris naine (arnoséris minima)

[Découverte de la Semaine] – Arnoséris naine (arnoséris minima)

 
Arnoséris naineL’Arnoséris naine est une plante annuelle.
Elle mesure de 5 à 40 cm, et le diamètre de la fleur est de 4 à 7 mm.
La germination des graines donne d’abord une rosette de feuilles vertes au mois d’Avril.
Sa période de floraison est de Mai à Juillet, où plusieurs tiges non ramifiées et sans feuilles poussent. Sa fleur est de couleur jaune, et la base des tiges est de couleur violacée. Chaque tige est porteuse d’un seul capitule qui est également un pédoncule floral. L’élargissement du pédoncule sous le capitule est un des caractère distinctifs de l’Arnoseris naine.
Elle pousse dans les cultures et les talus. Elle est répartie dans beaucoup de départements de France, notamment dans le sud et dans le centre, mais aussi dans le Bas-Rhin.

L’Arnoséris naine est inscrite sur la Liste Rouge des Espèces Manacées en Alsace.

[Noël Autrement] – Les Décorations

[Noël Autrement] – Les Décorations

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Les illuminations de Noël sont chaque années plus nombreuses, plus sophistiquées, et surtout plus gourmandes en énergies. Quand on sait que les décorations lumineuses en période de fêtes aux États-Unis consomment plus d’électricité que l’Éthiopie en un an… On peut se poser la question si tout cela est vraiment nécessaire…

Un réacteur nucléaire pour Noël

Sur une période de trois mois, la consommation d’énergie explose, la puissance fournie en France à Noël est estimée à 1 300 MégaWatt. Ce qui est supérieur à la puissance électrique moyenne d’un réacteur nucléaire. Et lors des pics de consommations, l’énergie est issue d’énergies fossiles tel le charbon et le gaz.
Allumées toute la nuit, ces décorations consomment énormément d’électricité, mais en plus, elles contribuent à la pollution lumineuse qui perturbent la faune et la flore urbaine qui ne fait plus la différence entre le jour et la nuit.
Outre les décorations lumineuses, la plupart des autres décorations : boules de noël, guirlandes, ect… sont fabriquées pour la plupart en Chine et avec des matériaux non recyclables et non réutilisable. Ce qui alourdit leur impact environnemental.
Alors comment on fait pour être plus écolo ? Au lieu de dépenser des fortunes dans des décorations qui vous tiendrons un hiver, on vous propose de les faire vous-même !

Une déco zéro-conso

La solution tip-top, c’est les décorations maison… sans électricité ! Et oui, en plus d’alléger votre facture à la fin du mois, les fabrications maison ont encore plus de charme que toutes vos guirlandes réunies !
Encore un fois, pas besoin d’avoir un don pour les travaux manuels, une poignée de pommes de pins, des rouleaux de papiers toilettes, des oranges, des bouchons de liège, des pinces à linge, des canettes, ou encore de l’origami, tout est possible pour embellir votre nid douillet à vos souhaits.
Il suffit juste de libérer votre créativité et de passer une après-midi en famille pour décorer votre petite maison !

La semaine prochaine on va parler des cadeaux, alors en attendant, on vous laisse le lien de la boutique d’Alsace Nature là, si jamais vous voulez offrir une peluche hérisson trop mignonne à votre bambin. En plus au passage, vous soutenez l’association, et pour ça on vous remercie !

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