200 amoureux de la nature ce sont donnés rendez-vous sur le Rhin à Kembs, ce dimanche 28 janvier 2018, pour la fameuse Croisière Oiseaux d’Alsace Nature.
Cette sortie hivernale atypique, proposée en partenariat avec la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO), permet aux petits et grands d’aller à la rencontre des oiseaux venant tout droit des pays nordiques pour passer l’hiver sous nos latitudes plus clémentes.
Comme chaque année, le succès de cette sortie ne se dément pas !
Un dizaine de guides nature, dont les « Curieux de Nature » ont accompagné les participants dans leurs observations des différentes espèces présentent sur le fleuve.
Foulques macroules, canards colvert, canards chipeau, canards siffleurs, pléthore de cygnes tuberculés et de cormorans, ouettes d’Egypte, mouettes rieuses, goélands leucorrhées et argentés, harles bièvres, fuligules morillon, fuligules milouin, tadornes casarca, grèbe castagneux et une petite nouvelle cette année, une oie à tête barrée, étaient présents pour le plaisir des yeux et des oreilles !
La croisière a été agrémentée des superbes commentaires et anecdotes de Pierre Hieber et Edmond Herold, nos deux spécialistes ornithologiques et des activités ludiques et éducatives mises en place par l’équipe des « Curieux de Nature », plébiscitées par l’ensemble du public présent sur le bateau.
Le Harle Bièvre, aussi appelé Grand Harle est une espèce de canard piscivore. Il mesure entre 58 et 75 cm de long, avec une envergure de 82 à 97 cm. Il pèsent environ 1,3 kg pour les femelles et 1,6kg pour les mâles.
Le mâle possède une tête vert foncé avec une huppe peu marquée et un long bec rouge foncé, mince et crochu. Le cou, la poitrine et les côtés sont blancs, le dos est noir. Les ailes sont blanches sauf aux extrémités où elles sont noires. Le croupion et la queue son gris. Au printemps, pour son plumage nuptial le Harle Briève mâle à la poitrine teintée de rose saumon.
La femme quant à elle, a la tête brun roux (tout comme les poussins), son dos est gris.
Son bec denticulé lui permet d’agripper les poissons qu’il trouve dans les roselières, où viennent frayer de nombreux poissons. C’est un excellent plongeur, il plonge entre 20 et 30 secondes et peut s’enfoncer jusqu’à 10 mètres. Il se nourrit le plus souvent de poissons de moins de 10 cm.
La femelle pond une couvée par an de 8 à 12 œufs. Le nid est habituellement dans une spacieuse cavité d’un grand arbre creux, à une hauteur d’environ 12 m. Il se peut cependant que le Harle Bièvre niche dans une cavité ou un escarpement sur la berge, ou encore sur un amoncellement de cailloux au sol.
Hors de la saison de nidification, c’est un oiseau sociable, qui peut se rassembler en groupes important d’une centaine d’oiseaux. Il peut vivre avec d’autres espèces de canards plongeurs dont il ne se souci pas.
Le Harle Bièvre est un canard d’eau douce, il fréquente les fleuves et les rivières assez larges. Ainsi que les lacs et les grands étangs. On le trouve en Europe, il niche dans les forêts septentrionales de Scandinavie et du Nord de la Russie. Le Harle Bièvre vient passer l’hiver en France, étant un migrateur partiel. Il niche au Danemark, en Allemagne, et en France, sur la Seine, la Loire, le Doubs et le Rhin.
Chaque hiver le Rhin accueille un grand nombre d’oiseaux venus de Scandinavie ou d’Europe de l’Est qui trouvent refuge sous nos latitudes et devient ainsi la 2e zone d’hivernage de France après la Camargue.
Ce dimanche, Alsace Nature et la Lpo Alsace organise l’annuelle Croisière Oiseaux, où vous pourrez venir découvrir les oiseaux hivernant qui nichent sur les berges du Rhin. La Croisière étant déjà complète, on vous dit à dimanche et on espère apercevoir un Harle Bièvre !
Troisième avis défavorable ! Le Conseil National de Protection de la Nature (CNPN) a analysé vendredi 15 décembre 2017 le dossier présenté par Vinci/Arcos relatif à l’impact du GCO sur les enjeux environnementaux. Son verdict est à nouveau sans appel et l’avis est défavorable renvoyant Arcos à ses dossiers ! Une nouvelle fois, le CNPN confirme la position des associations de protection de la nature qui plaident depuis des années pour que ce projet ne vienne pas réduire à néant les efforts consentis pour la sauvegarde de la biodiversité.
Comment, dans ce contexte, le Ministre de la transition écologique peut-il annoncer qu’il autorisera le projet de GCO ! De plus, sans même attendre le résultat de l’enquête publique à venir !
A quoi servent les instances et les procédures si l’Etat lui-même s’assoit dessus dès que les conclusions de ces procédures contredisent ses projets ? A quoi bon faire semblant de jouer à la démocratie ? L’Etat prétend faire accepter à Vinci des mesures de compensations alors qu’il vient de disqualifier la seule instance indépendante capable de les évaluer. Et il a le culot de proposer un comité de suivi croupion sans aucun pouvoir ni moyen ! Si c’est ainsi que l’Etat veut regagner la confiance des citoyens, c’est très mal parti. En agissant ainsi, il ne fait que légitimer la lutte sur le terrain et perd toute crédibilité sur sa capacité à défendre l’intérêt général.
A ce titre ARCOS, cet après-midi s’est cru autorisé à se rendre sur le secteur de Kolbsheim accompagné d’un huissier pour relever les identités des personnes présentes. Cette substitution aux pouvoirs de police n’augure rein de bon pour l’avenir.
Dans ces conditions, la lutte contre le GCO prend encore une autre dimension : il s’agit, au-delà du projet en lui-même, de se battre pour conserver la possibilité aux citoyens d’avoir leur mot à dire dans les processus de décisions et pour enfin faire cesser la mascarade des consultations publiques actuelles. Ceci concerne tout le monde, en Alsace et ailleurs. Il est temps d’élargir la lutte !
Le Groupe Local Ried Alsace Centrale a réuni 150 personnes le vendredi 19 janvier au cinéma de la Bouilloire de Marckolsheim. Lors de cette seconde édition, la soirée s’est déroulée sous l’égide de partenariats et plus précisément ceux de Unter’M Baum, association fédérée de Mussig et les guides jardin de l’ACJCA (Amis du Compost et du Jardin Naturel du Centre Alsace). La presse locale, après avoir annoncé l’évènement, était présente malgré les vœux de maire annoncés un peu partout dans les communes environnantes et a relaté la soirée dans ses colonnes de manière tout à fait éloquente. Le succès a été au rendez-vous en termes de fréquentation et pour des raisons de sécurité il a malheureusement fallu refuser l’accès à la salle à une quarantaine de personnes, venues parfois de très loin. En introduction, Christelle Biry, responsable du groupe local a présenté Alsace nature et plus précisément l’implication de son groupe sur le territoire des Communautés des Communes du Ried de Marckolsheim et de la Communauté des Communes de Sélestat. Puis ce sont les partenaires qui ont fait le descriptif de leurs missions. Suite à la projection des deux films, Gérard Freitag, forestier retraité et auteur du livre l’Alsace Nature aux éditions du Verger, a introduit l’échange avec un bilan de la gestion des forêts vosgiennes, comparant les pratiques et la logistique avec les éléments vus dans le film, suivi d’un échange d’un certain nombre d’idées avec le public. Il semble qu’une prise de conscience populaire est en marche et ce, malgré la pression économique intense. Pour finir, l’intervenant a dédicacé quelques ouvrages de son livre, pour le plus grand plaisir des quelques amoureux de nature.
Le groupe local d’Alsace Nature organisait sa 4ème sortie de la série : « les 4 saisons du Kochersberg », dimanche 21 janvier 2018. Le thème de la sortie était : Le Kochersberg en hiver. Maurice Wintz, pilote du groupe local Alsace Nature Kochersberg, a expliqué comment les plantes et les animaux passent l’hiver, quelles stratégies ils ont développées pour vivre dans des conditions parfois difficiles.
Une vingtaine de participants ont pris part à la sortie autour de Kienheim, à la découverte des petits bouts de nature nichés entre les champs, des vergers et des rangs de vignes.
Au loin des chevreuils … Après la balade, Sébastien Schmitt, agriculteur – maraîchais en bio, nous invite à une dégustation de jus de pomme et de soupe de légumes dans sa ferme (AMAP « Les saveurs de Kienheim »)
Aujourd’hui, on vous donne 8 astuces simples du quotidien pour être plus écolo à la maison et en même temps, faire des économies !
–Dégivrer son congélateur et son frigo
Le givre fait consommer plus d’énergie au réfrigérateur. Dégivrer régulièrement permet de faire des économies d’énergies.
–Faire ses courses en vrac
Cela permet d’acheter la quantité exacte dont vous avez besoin, de limiter la production de plastiques d’emballage, et donc de réduire les déchets et les pollutions qu’ils produisent.
–Mettre un couvercle sur la casserole lors de la cuisson
Vous pouvez alors réduire l’intensité du feu, et réduire la quantité d’eau dans la casserole. Cela permet des économies d’énergie pendant la cuisson de vos aliments.
–Manger moins de viande
La production de viande est l’une des industries les plus gourmande en énergie du monde, ainsi que l’une des plus polluante. Réduire sa consommation de viande diminue les pollutions.
–Diluer ses produits d’entretiens
La dose recommandée pour les produits ménagers est souvent plus grande que celle dont on a vraiment besoin. Réduire les doses et les diluées, permet de faire des économies, et de réduire le gaspillage.
–Récupérer l’eau dans la douche,
Le temps que l’eau chauffe, récupérez-là. Vous pouvez arroser vos plantes avec, ou encore utiliser l’eau comme chasse d’eau. Cela permet de faire des économies d’eau et de limiter le gaspillage
–Débrancher son chargeur du secteur
Dès que votre chargeur est branché, il consomme de l’électricité. Même si votre téléphone n’est pas connecté. Le débrancher permet de faire des économies d’électricité.
–Installer une multiprise à interrupteur
Vous pouvez donc éteindre complétements vos équipements électriques (comme la TV), et donc faire des économies d’énergies
Les guides d’Alsace Nature et de la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) vous proposent de partir, comme chaque année, à la découverte des oiseaux hivernants qui viennent passer la mauvaise saison sur le cours du Rhin franco-allemand. Chaque hiver le Rhin accueille un grand nombre d’oiseaux venus de Scandinavie ou d’Europe de l’Est qui trouvent refuge sous nos latitudes et devient ainsi la 2e zone d’hivernage de France après la Camargue.
Si l’aventure vous tente, dépêchez-vous de vous inscrire à Alsace Nature et embarquez pour une croisière conviviale et ludique à bord d’un bateau chauffé équipé d’un restaurant (Carte des boissons et repas disponibles) où vous apprendrez à reconnaître ces oiseaux migrateurs. Jumelles et longues-vues installées sur le pont, guides passionnés, ambiance conviviale, oiseaux d’ici et d’ailleurs, autant de bonnes raisons de vous joindre à nous.
TARIFS 2018 :
ADULTE
ENFANT (de 6 à 16 ans) et ETUDIANTS
ENFANT
(- 6 ans)
MEMBRE
LPO ou Alsace Nature
32 €
22 €
GRATUIT
NON MEMBRE
39 €
29 €
IMPORTANT :
• Le tarif proposé comprend les 4 h de croisière et une collation (une boisson chaude et une part de gâteau par personne)
• Les participants sont autorisés à apporter un repas tiré du sac ou pique nique
• Le bateau propose un service de restauration (Carte des boissons et repas disponibles sur le bateau)
• Le bateau n’est pas accessible pour les personnes à mobilité réduite
• Les informations relatives à cette sortie, ainsi que les tickets d’embarquement et de restauration vous seront envoyés par voie postale à réception de votre paiement.
Les films sélectionnés témoignent de la nécessité d’ouvrir le dialogue avec les enfants, les parents, les éducateurs et de nous interroger sur nos souhaits pour l’humanité : – 5/02 – 20h15 : L’Arbre et l’Enfance d’Anne Barth suivi d’un débat animé par Laure Baudouin, productrice exécutive et monteuse de L’arbre de l’Enfance. – 6/02 – 20h15 : Childhood de Margreth Olin suivi d’un débat animé par l’Académie de la Petite Enfance.
– 7/02 – 20h15 : Le Lien de Frédéric Plénard suivi d’un débat avec le réalisateur Frédéric Plénard et le directeur d’Alsace Nature Stéphane Giraud.
– 8/02 – 20h15 : Etre plutôt qu’Avoir de Agnès Fouilleux
suivi d’une rencontre avec Agnès Fouilleux, réalisatrice du film.
Ces films vous sont proposés, en partenariat avec le réseau Colibris 67 Strasbourg, par l’Académie de la Petite Enfance, un réseau de professionnels de la petite enfance à Strasbourg.
Et la Fondation Terra Symbiosis, fondation basée à Strasbourg qui soutient des associations dans l’agriculture écologique, la gestion durable de la forêt et le lien entre l’enfance et la nature.
Il est conseillé de réserver dès que possible !
Vous pouvez réserver en caisse ou bien sur internet via ce lien https://www.cinema-star.com/saint-exupery/reserver/ en utilisant le code promo CL-QF-PWG qui vous permettra de bénéficier du tarif préférentiel : 5 euros (+50 centimes de frais de gestion). Notez bien que la réservation n’est valable qu’après le paiement en ligne.
Sinon, en caisse, vous bénéficierez d’un prix de billet réduit à 5 € en vous présentant avec la phrase « l’école de la nature ».
Le Triops cancriformis est un crustacé aquatique d’eau douce. Il fait partie de la famille des notostracés, apparue il y a près de 300 millions d’années. Comme les autres espèces de Triops, les Triops cancriformis sont considérés comme fossiles vivants, autrement-dit panchronique. C’est-à-dire qu’elle ressemble morphologiquement à une espèce éteinte.
Le crustacé vit dans des points d’eau, et notamment des mares temporaires. La plupart des Triops Cancriformis sont hermaphrodites. Ils produisent des œufs très résistants qui leurs permettent de survivre des décennies dans les sédiments des lacs et des mares qu’ils occupent. Les œufs résistent à la sécheresse et aux températures extrêmes.
On trouve le Triops Cancriformis en Europe, au Moyen-Orient et en Inde. En Europe, on trouve cette espèce particulièrement en Autriche. En Alsace, le Triops cancriformis apparaît de mai à octobre, profitant des crues du Rhin ou des pluies estivales.
Le Triops Cancriformis souffre de la réduction de son aire d’habitation et de la fragmentation de celle-ci. Mais aussi de la dégradation de la qualité de l’eau. La vente d’œufs et des prélèvements dans la nature pour en faire des animaux de compagnies et aussi une cause de régression de l’espèce à l’état naturel. En Alsace, il fait partie de la Liste Rouge des espèces menacées. L’espèce est considéré en voie de disparition dans plusieurs pays Européens.
GCO : Tentative de déboisement à Kolbsheim Dépôt de plainte
Le 20 septembre dernier, en bordure de la forêt de Kolbsheim, un des lieux très sensibles du tracé du projet autoroutier de Grand Contournement Ouest (GCO) de Strasbourg, alors que les mesures préfectorales de dérogation autorisant la destruction des espèces protégées n’étaient pas respectées, l’opposition déterminée des citoyens opposés au GCO s’était concrétisée par un blocage des machines de déboisement.Cette tentative de réalisation de travaux préparatoires de déboisement prévus entre le 1er septembre et le 15 octobre 2017 s’est déroulée en infraction à l’article 415-3 du Code de l’Environnement en référence dans l’arrêté préfectoral du 24 janvier 2017. Ceci a amené le Collectif GCONonMerci, par l’intermédiaire d’Alsace Nature, à porter plainte contre les initiateurs de cette tentative de travaux.
Dépot de plainte
Cette plainte a été déposée contre les sociétés Arcos (filiale du Groupe Vinci), Socos et Schott Elagage -prestataire de service-, le 8 décembre 2017 dernier, auprès du service départemental de l’ONCFS (Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage) qui instruit désormais le dossier en direction du procureur de la République auprès du Tribunal de Grande Instance de Strasbourg.
Après les informations qui ont été rapportées sur les difficultés rencontrées par Arcos au cours du CNPN (Conseil National de Protection de la Nature) du 15 décembre dernier, notre crainte est de voir, en cas d‘un nouvel avis défavorable du CNPN, le Gouvernement passer en force comme cela a malheureusement déjà été évoqué par Madame Borne, Ministre des Transports, le 13 Novembre lors de sa présence à Strasbourg à l’Atelier Territorial des Assises de la Mobilité. A nos yeux, une telle décision serait une incohérence majeure entre d’une part, le discours porté par le Président de la République sur la lutte contre le dérèglement climatique et la nécessaire transition écologique au niveau européen et mondial et d’autre part, en France, la poursuite de la mise en place de nombreuses infrastructures autoroutières inefficaces et coûteuses dont celle du GCO de Strasbourg.
ARCOS et la politique des terres brûlées intolérable !
C’est pourquoi l’entière détermination du Collectif GCONonMerci à faire respecter le droit, l’amène à rendre aujourd’hui publique cette nouvelle procédure judiciaire.
Cette communication intervient dans un contexte particulier. En effet, appliquant la politique des terres brulées, les prestataires d’ARCOS multiplient les volontés de déboisements ces derniers jours. De nombreuses communes ont reçu des courriers les informant de futurs chantiers de déboisement sur leur ban communal. Il est intolérable que de tels comportements aient encore lieu en 2018 d’autant plus de la part d’une entreprise qui se veut « exemplaire ». Cela ne peut que conduire à des nouvelles confrontations et, potentiellement, à des dérapages.
La parole donnée doit encore avoir un sens et, si comme la presse l’a laissé entendre, le CNPN a une nouvelle fois émis un avis défavorable (sur le « très bon dossier » comme l’a appelé Madame la Ministre) alors, il est du devoir du gouvernement de rappeler son concessionnaire à l’ordre et d’interdire toute destruction supplémentaire tant que la situation n’est pas clarifiée.
La société ARCOS est l’unique responsable de cette situation. A penser qu’un mauvais dossier environnemental pouvait obtenir l’accord du CNPN, ils ont, semble-t-il, par deux fois maintenant, créé les dérapages de calendrier qu’ils dénoncent aujourd’hui. L’Etat ne peut être tenu responsable de cette situation et c’est donc bien au concessionnaire d’assumer cela dans le cadre des clauses du contrat de concession signé.
Alternatives et devoir d’exemple vis-à-vis des accords* de Paris de 2015
En outre, nous continuons à demander la mise en place d’un moratoire de fait de ce projet, au moyen d’une mission de médiation, demande qui nécessite l’ouverture du dialogue au niveau national.